Je pouvais entendre le son des sirènes s'approcher de plus en plus.

Il fallait que je m'échappe à tout prix d'ici avant qu'ils ne m'attrapent.

Pour où se fuir, par où se cacher ?
Et si ils me retrouvaient !?
Je cherchais désespérément un échappatoire. J'avais atterrit dans une fausse, un piège !
Pourquoi j'ai commis un tel crime ?
Et bien, figurez-vous que moi-même je ne le savais point.
J'étais sans doute devenu fou de rage, et c'est maintenant que j'observais son corps avec dégoût, qui lui, gisait dans sa propre flaque de sang.
Vite ! Il faut partir !
Je finis par ouvrir la fenêtre qui donnait sur la rue. Non ! Ce n'est pas le bon choix !
Je sortis en trombe de la chambre à coucher et arriva dans le long couloir au parquet de bois.
Bon sang ! Il doit bien y avoir une issue !
Je courrai dans tous les sens jusqu'à arriver dans la salle de bain dont la fenêtre donnait cette fois sur une impasse.
C'est ça !
Je sortis à toute vitesse de la pièce et me mis alors à courir. Plus jamais on me reverra, plus jamais je ne reviendrai. Je demeurai dans l'anonymat.