Rayane

Un lourd chagrin d'amour,
Les supplices que je savoure,
Avec ma grande bravoure.
Demeurent bien trop lourd

Ils m'ont emmené jusqu'à vos bras.
Ils chérirent cet esprit scélérat.
Celle qui a faussé même votre odorat,
Aux blessures aussi virales que le choléra.

Seulement, vous ne pouvez vivre,
Sans que la haine vous délivre
De mes sentiments imbus.

Ainsi je me retrouve bien isolée :
Vos bras étaient dans l'incapacité
De porter une enfant déchue.

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