Première fois

Vos douces lèvres me caressent,
Mon corps pesant sur votre âme,
Votre regard aussi transperçant qu'une lame,
Pourtant rempli de finesse.

Vos doigts divins qui m'affranchisse
De la tension dû à mes vêtements.
Vos doigts divins qui effleurent mes cuisses
D'un geste délicatement reposant.

Mes mains qui tendent vers votre buste,
D'une douceur incomparable mais robuste,
Nous étions deux martyrs aux regards noires
Désormais dans un paradis provisoire.

Dans un mouvement vif et décis,
Nous basculons,
Nos corps tel des violons,
Jouons cette symphonie !

La sensation de votre langue brûlante
Contre ma peau gelée, une langue dansante.
Mon Mont Venus à votre volonté
De m'assouvir tout ce que j'ai tant désiré.

Votre bouche qui remonte pour embrasser mon cou,
Puis mes yeux demandant la suite,
Mon corps qui dans un geste brusque vous mène où
Ce trouve le bonheur et l'extase, au plus loin de la fuite.

Fuir voilà ce que nous avions fait jusqu'à présent,
Pour éviter de souffrir car nous nous sentions faibles,
Nos baisers comme seul remède,
De se gène du malheur comme seul présent.

Ma langue en un geste circulaire,
Illumine vos ensorceleurs petits airs.
Balancements suprêmes
L'envie de vous dire „je vous aime"

Puis vous me retournez,
Geste douloureux.
Geste langoureux.
Geste adoré.

Chacun de vos vat-et-viens
Me plongent dans une ivresse.
Dans vos bras telle une déesse,
Dans un accord, nous deux sereins.

Nous perdons haleine,
Vous admirez mon corps,
Votre regard comme seul trésor,
Votre corps contre ma peau porcelaine.

Puis dans un mouvement vif tout ce termine,
Je vous sert contre ma poitrine,
Nos cœurs rechargés,
Nos cœurs à jamais liés.

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