Parfum

Un Parfum qui m'est d'abord apparu comme dérangeant,
Pourtant je restais accueillant.
C'était une légère brise qui m'envenimait
Je l'évitais mais mon être restait muet.

Je m'y suis accommodée le laissant entrer dans mon quotidien,
Vous n'étiez après tout encore rien.
Ou du moins une chose à oublier, je reprendrait le cour normal de mon existence
Sans aucune insistance.

Vous êtes restez.
Vous avez commencez
À m'intimider.
Je vous ai encore négligé.

Seulement un soir écœurant Parfum vous m'avez pris à la gorge,
Enivré de négativité je me tordais c'était nécessaire
De chercher à vous extraire de mon air.
Il y avait également ce défilé du temps sur cette horloge.

Essence putrescente et entêtante vous me restez encore désagréable.
Vous êtes pesant et affecté vous m'infectez.
Je n'ai jamais connu agacement semblable
Partez vous avez assez donné.

Mon corps devenait lourd,
Ainsi que la vue de ce qui m'entoure.
Parfum voilà le seul qui restait dans mes souvenirs.
Mon visage était devenu marbre.
Parfum êtes-vous un poison qui cherche à m'étourdir ?

Parfum étouffant, violant, électrisant vous m'étranglez.
Chaque mot, Chaque geste me martelant.
Je suppliais une nouvelle tournure de vent.
Parfum, vous altérez mes pensées, je veux que vous m'abandonniez.

Parfum d'une charogne,
Mon cœur est borgne,
Mes humeurs étaient bestiales.
Disparition d'un état convivial.

Vous m'avez défiguré me voilà devenue un monstre hideux.
Parfum laissez-moi me reposer, je deviens comateux.
Parfum pouvez-vous m'entendre ?
Vous pouvez désormais tout me prendre.

Triste tragédie,
Durant la nuit,
À jamais Paralysé,
Mais parfumé.

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