J'observerai pendant des heures votre finesse,
Dessinant en boucle les traits de votre visage :
Aussi mystérieux et fort qu'un orage
Qui au fond de mon âme me transperce.

Vous êtes une obsession, un vice qui m'a pris,
une inspiration que j'ai aspiré.
Je me sentais maudite en cet été,
mais vos mains m'ont refleuris.

Embrassez moi je me meurs
chaque instant loin de vous,
de votre corps, de votre douceur.

Puis vous décidez de partir,
Blessant mon amour fou ;
Vous n'existez que pour me punir.