Mon âme
L'enfer s'ouvre sous mes cuisses
Je ne porte rien que ma peau
Et prie pour que tu puisses
Me voir au milieu de ces eaux
Sombres et claires, et mortes, et vives
Aussi profondes que les âmes que j'aperçois
Les âmes qui du regard me suivent
Les âmes qui -mais alors... Elles me voient !
"Tu passeras sans crainte, m'avait-il dit
Elles ne reconnaissent que la mort"
Serais-je alors... Serais-je alors...
Mais tu es là, juste là, tu me vois et tu souris.
Mon âme, ne pars pas ! Je venais pour toi...
Mon horreur, serre-moi ! J'ai bien trop froid...
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