Sur les ailes du vent



Dans le vaste ciel, je prends mon envol,
Guidé par la brise, sans peur, sans boussole.
Là-haut, l'air danse, léger et doré,
Et le monde, en bas, semble un rêve effacé.

Les oiseaux, compagnons aux plumes éclatantes,
Jouent avec les nuages, âmes insouciantes.
Ils chantent des airs qu'aucune cage n'emprisonne,
Hymnes à la liberté que l'horizon résonne.

Le vent caresse, doux comme un soupir,
Il murmure des secrets, des promesses d'avenir.
Chaque battement d'aile, une étreinte au ciel,
Chaque courant d'air, une danse éternelle.

Voler, c'est oublier le poids de la terre,
Se fondre au bleu, toucher la lumière.
C'est sentir dans son cœur un élan d'infini,
Et rire avec le soleil, complice du midi.

Oh, si les hommes pouvaient un instant s'élever,
Goûter au frisson de l'air emporté,
Ils verraient que la vie est un souffle ailé,
Un chant de liberté à jamais exalté.

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