Sadhdrim : poèmes nains



Notre vie

Au milieu des glaces

La fournaise se réveil

Bien que le temps passe

L'âme de la forge veille

Proche du foyer

Toujours elle nous observe

Prête à nous aider

Du doute elle nous préserve

Elle est comme notre mère

Toujours nous protégeant

Son nom est Hanmer

Et nous sommes ses enfants

Au son du marteau

Nous nous rallions

Pour battre le fer chaud

Au son de cette chanson




Un nain seul avançait près de la grève



Un nain seul avançait près de la grève

Regardant alors le puis des rêves

Il trainait les pieds des plus malheureux

Il vit un avenir loin mais heureux

Depuis la chute, du royaume privé de poigne

L'ombre s'étant sur la montagne

Marchant au près des morts, des disparut

Seul, le nain face au chaos, a vaincu

Il et si solitaire et sans amour

Il a bâti un monde qui dur toujours

Il a gravé tous au fond de son cœur

Ces plus terribles, affligeantes rancœur


Et puis d'un coup le soleil c'est levé

L'ombre autour de lui c'est éclairée

Il rencontra la fille du rêve heureux

Ils se marièrent, les deux nais valeureux

Ces yeux brillaient, beau et scintillant

Telles les gemmes de ses habits brillant

Cachant dans son âme ses propres pleurent

Le royaume tremblait de sa douleur

Ils firent briller, leur royaume orgueilleux

Battirent de grands halls d'or merveilleux

Et puis un jour d'hivers elle n'a rien dit

La jeune femme d'elle-même est partie


Roche des montagnes, sur l'ile entourée d'écume

Le marteau tonnait lentement sur l'enclume

Tous comme dehors la pluie sur sa tombe

L'écho triste son amplifié par la combe

Le royaume a à nouveau chuté

Les boucliers brisés dans la neige gelée

Autour des cités cachées dans les gorges

Et les cendres qui refroidissent dans la forge

Ces grands halls en ruine et l'or ternie

Il est repartit seul et sans ami

Et au milieu des arbres se consument

Il vit au loin, nacré, un cygne blanc


Laissant derrière lui le Druzhakara

Le nain, peiné, abandonné, s'en alla

Sur sa barbe, par la lune éclairée

Roulait ses pleures devenant argentés

Telle des perles au fond d'un gouffre noir

L'ancien guerrier n'était plus qu'un vieillard

A travers les brumes bleutées il disparut

Un jour dans l'obscurité il mourut

Depuis les cygnes sont vénérés et crains

Ils ont apports de tous au peuple nain

La haut toujours il veille et attend

En silence, solitaire et prudent






Le nain et sa vie


C'est aventurier détestant le pain

Ne buvant pas de vin

Ne gaspillant pas son or pour rien,

L'or qu'il a gagné au bout du chemin

Un nain guerrier,

Ne peut supporter

Les elfes et les fées

Il les assomme à coup d'épée

Pour ne pas cassé

Leurs belles haches argentées.

Un nain prêtre

Déteste les traîtres

Comme les voleurs

Ou les ensorceleurs

Couard au bâton cireux

Et au chapeau miteux

Il préfère largement son dieu.

Un nain fier

Est un nain qui boit de la bière

Qui est plus dur que la pierre,

Qui utilise son derrière

Pour faire taire

Tous les ennemis à terre

Comme dans les airs.

Je dis "vive eux",

Car, même si ils sont peu,

Ils sont toujours courageux,

Aussi fourbe que rigoureux

Ils vivent pour eux,

Et avec leur argent, ils sont heureux.


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