Dans l'ombre de l'attente, mon cœur soupire,

Les heures s'étirent, le temps semble fuir,

Je cherche des réponses, des signes à saisir,

Mais le vide persiste, me laissant languir.

Les minutes s'étendent, interminables instants,

Dans l'attente d'un amour, d'un bonheur ardent,

Mon âme en suspens, mes rêves écorchés,

Je suis captif d'un temps qui refuse de s'écouler.

Chaque tic-tac de l'horloge résonne en moi,

Comme un rappel cruel de cette attente qui ploie,

Les jours se confondent, se fondent en un seul,

Et je me perds, égaré dans cette brume d'accueil.

L'attente se fait lourde, presque insoutenable,

Elle grignote mon âme, me rend vulnérable,

Je me consume dans l'incertitude oppressante,

Espérant en vain un dénouement qui me tente.

Les promesses se perdent dans les méandres du temps,

Les espoirs s'effritent, se ternissent lentement,

Et je reste là, figé, à contempler le vide,

Dans cette attente éternelle, si sombre et rigide.

Mais malgré la tristesse, une étincelle demeure,

Un souffle de foi qui éloigne mes peurs,

Car l'attente, parfois, peut engendrer des miracles,

Des rencontres inattendues, des chemins spectaculaires.

Alors, je patiente avec une lueur d'espoir,

Au cœur de l'obscurité, j'entrevois le pouvoir,

De transformer l'attente en une force intense,

Qui me mènera vers des horizons immenses.

Et quand enfin l'attente aura levé son voile,

Je sais que l'amour viendra en moi se dévoiler,

Et je comprendrai que chaque seconde valait la peine,

Car l'attente m'aura rendu plus fort, plus serein.