Enfer
Ceci est un message à tous mes proches. Oui, vous tous, qui pensez me connaître... Je vous ai tous mentis. Vous ne me connaissez pas. Vous connaissez mon masque, tous comme vous êtes. Vous ne connaissez pas la personne qui ne peut crier, qui fait des crises a s'en déchirer la peau. Le pire dans le tout, c'est que rien ne peut apaiser mes pensées. La seule chose que j'ai fait, c'est plonger en enfer. Vous savez, quand vous n'avez plus quoi faire et que vous vous plongez encore plus dans votre désespoir. Un peu... Comme si vous preniez une feuille blanche, un crayon de papier et un taille-crayon. Que des tas de gens ne te disent de rien faire, mais que tu n'es plus à ça près. Tu commence à colorier et tu plongés en enfer. Tu repensés à tous tes souvenirs d'enfants, tes premières années de primaires, quand tous tes amis t'ont abandonné un à un, que tu était tout seul dans la cour de recrée. Puis tu pense à tes nombreux déménagement, que ça n'a rien changé, que les gens ont continué à t'abandonner. Ton crayon n'a plus de mine, tu t'arrêtes, et tu le taille. Tu regarde ton dessin. Du noir complet. Tu reprend. Tu pense à ta famille, à la personne interdite, à la famille divisée, aux rôles inversés, à l'incapacité d'être libre. Tu éclate en sanglots, mais tu continue de colorier, de plonger en enfer. Tu continue, avec ce que tu pensais une vie meilleure, mais qui t'a conduit à une folie, ou tu as fini par t'imaginer des amis fantômes, pour ne plus être seul. Haha, quelle bonne blague. Tu te fais des amis, ils te cherchent des emmerdes, tu te raccroches à une bouée de sauvetage qui a déjà failli couler mais qui fait tout pour te garder à la surface, alors que toi tu ne fais rien pour elle. Finalement, ton crayon n'a plus de mine. Tu es au milieu de ta page. Tu souris, tu rigoles, et tu te dit que ça sers à rien d'être accroché aux gens. "Viens me chercher en enfer" Tu dis en rigolant. Tu retailler ton crayon, et tu termines. Ce sont des grand coup, et tes larmes se transforment en rire. Tu prend un plaisir à te faire du mal et à plonger dans des souvenirs tortueux. Tu penses à maintenant, que tu n'es plus juge si tu es seul, et tu te dis "Pourquoi je ne passerais pas mon temps tout seul ?" la, tu fais un rond. Tu le colories, en pensant à des pensées étranges... Tu penses à rester seul à vie, à ne plus aimer. Tu fais le deuxième rond, tu penses à l'unitilité de tous ces sentiments que tu ressens. Tu t'arrêtes, taille ton crayon et fait un immense sourire que tu colorie. Tu terminés ton dessin, reviens au présent et fond en larmes.
Vous savez, je suis fou. Ça fait des années que je le suis. Je suis pas comme les autres. "C'est la mode" Oh non, ce n'est pas la mode. Je suis fou. Quand ça fait des années que tu ne dis rien à personne, même à la personne la plus proche de toi a qui tu dis tout d'habitude, que tu n'arrives même plus à crier, que tu fais des crises à te taper la tête contre le mur, tu va pas bien. Quand tu imagine une personne qui viens t'étrangler, c'est qu'il y a un soucis.
Mais vous savez, j'aime être fou. Il n'y a que moi qui le sais. Les autres pensent juste que je suis une personne un peu bizarre qui veut juste faire son intéressant. Alala, pas du tout... Venez me chercher en enfer les amis... Mais ne vous perdez pas en route...
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J'avais déjà publié ce texte sur une histoire. Mais j'ai décidé de faire un tri sur mes histoires, et donc mes chapitres un peu glauques sont là
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