Le chemin qui se trouvait boueux et peu fréquenté fut a mes yeux l'unique et le seul. Malgré son image, ses odeurs, j'y avançais a pas non sur mais ce n'était pas non plus non chaland.
L'envie non évitable de m'y aventurer me caressait la joue.
Le crépuscule tombait laissant paraître tout sorte de bruit de la nuit.
Je pense que j'avançais vers la mort et je le savais.
Je le voulais en faite, je voulais me noyer dans ce drame.
La souffrance me convenais au final, de toute façon personne ne s'en souciait.
A quoi bon se soucier de choses que l'ont apprécie peu de choses qui nous importe pas.
Si la vie m'a créer ainsi il y avais très certainement un but.
Mais je ne l'aime pas cette vie, on a beau avoir plein de choses rien comble des vides en nous, rien nous répare réellement.
Il est tellement cassé que le jeté à nouveau n'en détruirais point plus
Mon âme me hurle de tout anéantir, mon cerveau me chuchote des banalités mon corps est paralysé.
Des mains rêches, des mains qui glissent sur mon corps m'abîmant.
Une douceur qui s'étale tout autour de moi, qui parais si nacrée est pourtant si empoisonnée.
Je l'ai voulu au final, je l'ai cherché je m'en suis délecté.