Princesse aux cheveux ébènes. {scorpra}


Je fixe ma petite amie allongée à moitié sur moi avec un sourire, cela fait quelque temps que nous sommes ensemble et elle a toujours cette manie de grimper sur moi et serrer ma chemise ouverte entre ses doigts comme si j'allais partir.
Je souris attendris et la repousse doucement sur le côté la rallongent dans le lit pendant qu'elle marmonne quelque chose d'incompréhensible et se tourne dos a moi en capturant entre ses bras mon oreiller. Je secoue doucement la tête et pars vers le balcon, la fenêtre laissée ouverte pour nous permettre d'échapper à la chaleur étouffante des mois d'été délivrant un doux vent. Je m'appuie à la barrière faisant apparaître d'un rapide accio ma cigarette et mon briquet entre mes mains. Que c'est bien d'être sorcier, pauvre moldus laissé à l'abandon de leur incapacité.
Je glisse cette chose infecte comme dirait chara entre mes lèvres avant de l'allumer, a peine quelques taffes tire je sens deux frêles bras entourer la taille et se poser sur mon ventre nu pendant que sa tête repose dans mon dos.

-C : Je déteste lorsque tu pars en pleine nuit fumer cette chose infecte.

Qu'est ce que je vous disais ? J'attrape doucement ses bras et la fait venir face à moi entourant sa taille de mon bras libre et nichant ma tête dans ses longs cheveux noir.

-S : mais tu adores me rejoindre et observer les étoiles sous mes baisers.

-C : à voir, je n'ai pas encore eu l'expérience des baisers ce soir.

Je secoue la tête d'un sourire amusé pendant que je sais qu'un de ses sourire en coin sublime ses douces lèvres.
Je décale doucement sa masse de cheveux et parcours sa nuque de baisers sous ses frissonnements, quelques instant plus tard elle glisse contre mes bras et m'arrache la cigarette qu'elle brûle d'un sort informulé avant de me fixer dans les yeux.

Mes yeux plus bleu que gris au contraire de mon père rencontre les siens aussi noir que le lac de Poudlard une nuit d'hiver.
Je me penche lentement vers elle et me perd dans ses lèvres et sa douceur si particulièrement teintée d'une folie que j'adore.

-C : retournons nous coucher veux tu ?

-M : A vos ordres ma princesse aux cheveux ebenes.

-C : idiot !

Elle rigole néanmoins et nous voilà à nouveau blottis l'un contre l'autre protégé de noirceur extérieure et des démons sans nez.

~~~

-C : OU ES TU ?!

Je souffle amusé, tiens, la marmotte est réveillée, peu de temps après elle déboule comme une furie dans la pièce, main sur les hanches a l'allure d'une tigresse.

-C : tu es encore partie du lit sans moi !

-S : Quelle infamie ! Je suis un horrible petit ami

-C : cesse donc de te moquer de moi !

-S : cesse donc de te plaindre, je t'ai préparé des pancakes !

-C : je ne sens pas d'odeur de brûler ?

-S : Connasse !

-S : connard.

Elle me fait un clin d'œil, embrasse ma joue et s'attable avec appétit sous mon regard amusé.

-S : j'ai un truc de prévu quand je rentrerai ce soir, soit prête tu veux bien ?

-C : Prête pour faire tourner toutes les têtes en t'appartenant totalement ?

-S : tu as tout compris !

-C : alors tu mets un costard.

-S : deal !

On se fixe entre amour et défiance, si vous saviez comme je chéris ce petit bout de femme.

~~~

Un costume sublimant mon corps pâle et muscle et couvrant mes cicatrices témoins de la guerre se déroulant dehors je rentre dans ce manoir familiale et attend patiemment avant de la voir descendre les marches d'un bas digne et fier symbole même de nos familles respectives, son corps merveilleusement bien mis en valeur dans cet robe de nos couleur, un vert ardent d'une longue robe moulante au buste qui s'échappe en de merveilleux évasion sur les jambes. Qu'elle est sublime. Je m'approche, lui tend la main et elle me fais un doux sourire glissant sa frêle main dans la mienne.

-C : ou vas t'on ?

-S : si je te le dis ça gâche tout.

-C : je déteste les surprises.

-S : mais tu adores les miennes.

Elle ronchonne dans la barbe qu'elle n'a pas avant que je ne l'embrasse longuement transplanant en même temps. Elle se recule de moi remettant timidement une mèche de cheveux derrière son oreille et observe notre environnement d'un regard perçant. Je sais très bien qu'elle analyse voir s' il y a pas de danger prêt à dégainer et sa baguette et la dague cacher à sa cuisse.

-C : Rome ?!

-S : tu avais envie des meilleures pâtes carbonara ? Alors Rome est notre destination !

-C : Tu es fou !

-S : comme toi c'est ce qui fait le charme de notre couple !

-C : tsss.

Elle me fixe faussement fâchée mais je devine le sourire qu'elle retient, j'attrape sa main et la tire entre les rues sous son rire, bien vite nous nous trouvons devant le restaurant, rentrant je demande notre table. Le repas se passe dans la bonne humeur, les piques et discussion animés. Puis nous sortons nous baladant sous les étoiles en silence. On voit une " attraction " pour amoureux et je la tire vers la.

-C : C'est ridiculement niais !

-S : Fais pas genre tu adores ça !

-C : je peux pas y monter avec ma robe.

Je l'attrape sous ses jambes et l'y emmène pendant qu'elle me fixe. Nous montons sous le sourire amusé de l'homme et nous voilà partis sur l'eau. Elle observe le paysage un sourire émerveillé et moi je l'observe elle aussi émerveillé. Que je l'aime...

( sélection de photos faite par ma petite amie génial, moi essayer de me faire pardonner de ne pas avoir été là pour la St Valentin ? Noooon voyons, en retard ( comme toujours lorsqu'on parle de moi ) mais voici un petit cadeau, et tu vois mes surprises à moi elle n'explose pas ;) ) alextraitdecitron

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