Gémissements de douleur ? ou pas. {Théodore X Ron }
( Lemon )
Je rentre dans cet ascenseur d'un air las, soupirant tout de même de contentement face à ma solitude, je m'appuie à la paroie glaciale défaisant ma cravate étouffante et commence la lecture de mon livre sur les runes anciennes.
Quelques minutes plus tard à mon grand désarrois l'ascenseur ce stop et les portes laissent entre un garçon que je devine être à l'odeur Weasley. Génial. J'avais vraiment besoin de ça.
-R : tiens donc qui voilà !
Ton père en string peut être Weasley ? Je roule des yeux.
-T : Fais moi le plaisir de te taire Wesley.
Il s'appuie d'un air désabusé à la parfois en face de la mienne pendant que l'ascenseur reprend sa route.
-R : tu lis quoi ?
-T : Un livre, sur ce que tu n'auras jamais ; un cerveau.
-R : Première nouvelle, tu sais lire plus que le titre. Félicitation chéri !
-T : première nouvelle tu porte un costume à ta taille et neuf, félicitations rouquin.
Je tourne la page dessinant un air mesquin sur mes traits, je sens d'ici qu'il commence à doucement s'énerver et je me félicite.
-R : c'est TELLEMENT important pour ton petit cul arrogant d'être bien fringué.
-T : bien plus que ta stupide notoriété gagné par ton tout aussi stupide " meilleur ami "
Avant même que je ne réagisse ou n'est le temps de comprendre je me retrouve plaqué au mur par ce petit crétin de roux et une voix sombre que je ne lui connaissait pas me susurre ses paroles.
-R : insulté moi autant que tu veux nott mais ne dis pas ça de Harry.
Bien évidemment, il protège son cher petit meilleur ami sauveur du monde sorcier. J'en aurais ris si la position était pas plus qu'inconfortable. A la place je laisse tomber mon livre pendant qu'un sourire froid se glisse sur mes lèvres.
-T : ou sinon quoi ? Tu vas me menacer de ta baguette cassée et cracher des limaces pendant 45 minutes ?
Un genoux se glisse alors entre mes jambes, jambes que je serre par automatisme.
-R : tu tiens à tes couilles chéri ?
-T : oh ..tu as un complexe tel que tu oserais me faire du mal à cet endroit pour te persuader d'avoir la plus grosse ?
-R : il y a d'autres manières de le découvrir.
Il me fixe dans les yeux de cette attitude défiante qui m'agace, j'attrape en un geste ses mains et le plaque contre la parois derrière lui ses mains au-dessus de sa tête, en parfaite position de faiblesse et ..soumis. je glisse alors ma tête à son oreille et murmure d'une voix froide " tes exs témoignent clairement en ma faveur ". Sans que je ne comprenne à quoi ce gosse joue il commence à lentement bouger les hanches contre moi. Je mord l'intérieur de ma joue pour empêcher tout son de sortir et me trahir.
-R : il n'est pas question de taille mais de qualité tu ne penses pas ?
-T : Quand on prononce Weasley on ne pense pas à la qualité.
Je recule alors.
-R : tu ne peux pas le savoir tu n'as jamais essayé.
-T : Et je suis loin d'en avoir envie.
-R : Ah ouais ? T'es sûr ?
Il me fixe purement provocateur, trouvant que cet ascenseur est bien trop long j'avance vers ses portes pour en sortir.
-T : Ouais. Je suis sûr.
Mais ..les portes ne s'ouvrent pas, elle reste définitivement clause. Me voilà bloqué dans un ascenseur avec un stupide garçon au corps me faisant fantasmer.
-R : ah mais c'est qu'en plus on est bloqué ensemble ?!
Je pose mon front sur la paroi glaciale, bravo Sherlock.
-T : bordel..
Je sens son regard sur moi, et je jurerais que cette situation l'amuse, il va sûrement chercher une nouvelle fois à me mettre hors de ses gonds.
Pendant que j'essaie encore et encore d'appuyer sur le bouton pour faire marcher ce stupide ascenseur il essaie les quelques maigre sort en sa possession. Un sort me viendrais bien en tête pendant que je fixe ma baguette mais si je l'utilise je serais automatiquement condamné à ses yeux et j'en ai pas forcément envie.
Mon livre apparaît devant mon champ de vision et je l'attrape sans un regard ou un merci.
-R : Un merci vaut tout ton coffre c'est ça ?
-T : il vaut le tiens Weasley.
-R : Pourquoi ne pas le dire s' il en vaut peu ? Tu as peur de la politesse ? Pourtant ton père est toujours extrêmement poli...il dit désolé avant de tuer.
Je sens chacun de mes muscles se crisper pendant que je ferme les yeux me répétant inlassablement de ne pas lui éclater la tête. J'essaie tant bien que mal un exercice de médiation dont parle en permanence Greengrass dans la salle commune. C'était presque réussi avant que j'ouvre mes yeux glacial tombant sur weasley qui c'est appuyé contre la parois d'une attitude..bordel de sexy. J'ai parfaitement envie de lui enfoncer la tête contre un mur ou de le prendre contre ce mur, quel choix cornélien.
-T : je dirais désolé alors.
-R : tu compte me tuer ?
-T : A qui tu manquerais ?
Je m'appuie doucement sur le mur face à lui, croisant les bras nonchalamment pendant qu'il souffle sur une de ses mèches de cheveux qui retombe sur son visage.
-R : on verra ça une fois que tu l'auras fait écouter.
Cette attitude provocatrice a mon grand désarrois est loin de m'énerver ..bien au contraire, je sens son regard, un regard indéfinissable parcourir mon corps de haut en bas et j'adopte une voix caressante.
-T : Je ferais ça après, et si tu es gentil ce serait sans douleur, sinon tu gémiras me suppliera puis hurlera.
-R : ça peut être très mal compris .
-T : comment le comprends-tu ?
-R : Si on en croit les rumeurs : tu veux me baiser.Néanmoins tu as l'air haineux donc bon.
-T : Tu crois les rumeurs toi ?
-R : c'est plausible. J'attends de voir comment tu comptes me faire gémir tu sais ?
Il bouge légèrement prenant une position plus innocente et moins tentante, mais c'est sa voix maintenant qui me tente et ..je suis faible face à la tentation. Alors je me décolle lentement du mur et approche tout aussi lentement de lui sous son regard effronté. Alors à nouveau je le plaque au mur, attrapant une nouvelle fois ses mains au-dessus de sa tête. Il garde ses yeux bleus dans les miens murmurant un faible " mes pauvres petites mains ".
-T : oh ferme la veux tu ?
-R : Ou sinon quoi, tu me torture ?
Sa voix si douce vient doucement murmurer ses paroles contre mes lèvres, je ne le torturerai jamais, sexuellement l'idée m'a déjà traversé l'esprit mais c'est tout. Je descend doucement le regard vers ses lèvres.
-T : pourquoi pense tu directement à ça ?
-R : tu parlais de me tuer tu sais ?
Son haussement d'épaules comme si tout était naturel m'agace. Je préférais être tué que torturait, et je sais de quoi je parle. Alors doucement je glisse mon visage contre son oreille et murmure un " désolé ". J'espère que cette tête de linotte comprendra la référence.
Je le sens essayer en vain de défaire ses mains de ma prise et je souris contre sa peau.
Loin de la réaction que je pensais suscitée, il enroule sa jambe à ma taille en collant nos bassins ensemble. La haine j'étais prêt, ça non. Je ferme les yeux essayant d'atténuer l'effet que ça provoque en moi.
-T : A quoi tu joues ?
-R : Et toi à quoi tu joues ?
Pris à mon propre piège, il murmure ses paroles à mon oreille, la douceur de sa voix évaporée et remplacée par le désir naissant. Ma voix a mon tour de fait caressante et froide, pendant qu'il presse un peu plus nos hanches ensembles de sa jambes.
-T : Je viens de m'excuser, je vais te faire gémir puis tu t'arrêteras et me supplieras avant de crier essoufflée et de t'arrêter ..mort.
-R : Voyons voir ça alors.
-T : Enculer de rouquin.
R : Je ne suis pas un Enculer.
Je détourne le regard vers la porte suppliant je ne sais quelle entité de me faire sortir de la avant que je ne fasse une horrible et délicieuse erreur. Mais rien ne se fait et je cède.. après tout ..on a qu'une vie.
-T : Pas encore.
Je lèche lentement l'arrière de son oreille que je sais sensible et son corps a l'air de me réclamer bien plus contre lui, grisé de cette réaction je plaque mes hanches au sienne en mordillant son lobe d'oreille. J'entend un gémissement percer la barrière de ses lèvres et je souris ravis descendant dans son cou le parsèment de long baiser. Il continue de gémir en enroulant son autre jambe autour de ma taille accentuant la pression de nos hanches, je le maintiens dans cette délicieuse position d'une main sous sa cuisse. Sa main à lui se perd dans mes cheveux les tiraillements avant que sa voix bien plus rauque qu'auparavant ne me parvienne.
-R : a-Arrete
-T : arrêter quoi ?
-R : tu me détestes pourquoi tu embrasses mon cou ?
-T : Tu me détestes pourquoi tu réagis autant ?
Je lèche longuement son cou pour lui prouver mes dires et il gémit une nouvelle fois.
-R : Mhm..parce que ...je sais pas.
Sa tête repose sur la paroi a présent, parfait cadeau me permettant un accès bien plus ouvert sur cette peau si douce et alléchante. Je caresse sa cuisse en retraçant sa pomme d'Adam de mes lèvres avant de planter mon regard onyx dans le sien. Son regard si bleu me fixe d'une manière dont j'ai toujours rêvé, désireux. Je lâche alors ses poignets et glisse ma main sur sa joue. De ce fait, sa main tombe dans ma nuque et il mordille sa lèvre, je soupire fixant ses lèvres si rose et qui m'appelle et au lieu de céder à cette nouvelle envie je décale ma main qui était sur sa nuque pour défaire sa cravate lentement. Lorsqu'elle est défaite je tire dessus le ramenant mieux contre moi et docile il se laisse entièrement faire sous mon sourire satisfait. De ce fait je défais un à un chacun des boutons de sa chemise en revenant torturer son cou de baiser, suçon, mordillement et de le lécher. Pour mon plus grand plaisir sa respiration monte d'un cran et il défait à mon tour quelques boutons de ma chemise en venant effleurer ma peau sous mes frissonnements. Sa main baladeuse s'aventure à mes boutons de chair venant les torturer pendant que de doux gémissements résonne tout prêt de mon oreille, a mon tour et pour la première fois un gémissement que je n'ai pas pu retenir sort de mes lèvres. Il Vient alors bouger des hanches contre moi et d'une main habile je termine d'ouvrir sa chemise et caresse avidement sa peau a ma merci en gémissant et plaquant plus nos bassin l'un contre l'autre. Je descend lentement mes caresses sur la peau fine de son ventre torturant de mes lèvres son téton et ses gémissements se font plus fort pendant qu'une autre main se glisse entre les pans de ma chemise parcourant ma peau. Lentement je fais le contour de ce teton de ma langue en le fixant dans les yeux, a mon plus grand damne il rejette la tête en arrière mordillant sa lèvre et a mon tour je mordille son téton murmurant d'une voix grave un " regarde moi ".
Il mord plus fort sa lèvre avant de descendre le regard vers moi et de me fixer sous mon sourire satisfait. J'entreprends alors de lécher longuement la ligne menant à son nombril, sa respiration augmente encore d'un cran avant qu'il ne défasse ses jambes me laissant plus ample accès et que les derniers boutons de ma chemise d'autre pendant qu'il caresse mes épaules,côtés et mon dos. Je ferme les yeux en embrassant la peau de son ventre savourant cette sensation sur mes lèvres avant de mimer de ma langue une pénétration à son nombril le fixant provocateur. Je vois ses joues se colorer d'une merveilleuse teinte de rouge pendant que ses mains se glissent dans mes cheveux et les malmènent doucement. Un rire caresse sa peau avant que je me relève face à lui baissant la tête pour pouvoir le regarder.
-R : tu es grand.
-T : c'est toi qui est petit.
Il embrasse ma clavicule après un grognement.
-R : au moins, je peux t'embrasser dans le cou.
Chacune de ses pauses et rythmée par ses baisers, sa langue et ses suçons, un long gémissement rauque sort de mes lèvres avant que je ne pose mes mains de chaque côté de lui pour me maintenir. Un sourire se glisse sur ses lèvres avant qu'il ne commence à doucement suçoter ma peau y laissant j'en suis sur un suçon. Mes doigts se crispent contre le mur et je me colle un peu plus à lui, sa main se glisse sur le bas de mon dos et il commence à frotter nos hanches ensemble, gémissant à son oreille je suis son mouvement de bonne grâce. Les vêtements entre nous me gênant fortement je pose mes mains sur ses hanches le stoppant avant de demander l'autorisation du regard de retirer son pantalon, d'un mouvement fiévreux il me l'accorde et je fais glisser chaque parcelle de vêtement au sol sous son rougissement. Je reprends à mordiller son cou sans pour autant rien faire de cet excès de peau enfin à ma portée , son gémissement me répond avant qu'une main timide ne vienne triturer mon pantalon. J'attrape cette main et la plaque entre son corps et la paroi derrière lui et il relève un regard soumis mais désireux de plus de liberté vers moi. Mais je le maintiens la reprenant mes délicieuses activités dans son cou, j'attend qu'il me supplie. Il se colle à nouveau à moi gémissant plus a mon oreille et je souris contre son oreille avant d'onduler du bassin contre lui, au vue de son membre désormais nub
ses gémissements se font bien plus fort, je continue ce mouvement léchant son cou.
-R : laisse moi te toucher..
-T : j'ai pas entendu.
-R : je veux te toucher.
-T : la politesse mon cher, la politesse.
-R: Est-ce que je peux te toucher ? Toi tu as même pas demander avec des mots c'est injuste !
-T : la vie est injuste chéri ( oui j'ai rajouter pour te faire plaisir ! )
Je m'éloigne légèrement et appuie mon genoux contre cette partie si sensible de son anatomie et il s'empêche de gémir tant bien que mal.
-R : je vois ça.
J'appuie un peu plus en le fixant dans les yeux, pendant qu'il ferme les siens en gémissant.
-T : demande le Ron..
-R : s'il te plait laisse moi te toucher ..
Je souris satisfait de cette voix suppliante et lâche sa main. Directement elle revient sur ma taille caressant ma peau pendant qu'il me demande une nouvelle fois l'autorisation, je rejette la tête en arrière avec un soupire face à ce toucher. Je n'aime pas le toucher, ce n'est pas un énorme spoil..mais le sien …il continue de me caresser sous mes frémissements avant qu'une voix timide résonne dans cet ascenseur.
-R : je peux enlever ton pantalon?
J'acquiesce lentement d'une voix plus rauque et il se glisse à genoux, retirant mon pantalon lentement puis se relève. Je passe un doigt sous son menton relevant son visage vers moi et je viens murmurer d'une voix suave à son oreille mon plan.
-T : gémissement, fait, supplication, fait. Il reste …
-R : crier ?
-T : Tu veux crier ?
-R : de quelle manière ?
-T : A toi de me dire.
-R : tu vas pas me faire du mal hein..?
Je baisse les yeux face à la peur que je lui fasse du mal que je vois dans ses yeux, je ne lui en ferais pas…
-T : ais je l'air de vouloir te faire du mal ?
-R : non.
-T : tu as ta réponse
-R : personne ne m'a touché comme tu le fais tu le sais ça ?
Son rire nerveux et ses paroles me percutent, je relance un regard vers la porte, je ferais mieux de partir. J'ai pas le droit de lui prendre ça.
-R : C'est juste pour te dire que je ne sais pas comment tu veux me faire crier et ..si tu pars là par contre moi j'aurais envie de te faire du mal.
-T : toi ? Me faire du mal ? Et comment ?
Je rigole pendant qu'il me fixe cette éclat fâché dans le regard en griffant ma taille.
-T : on m'as déjà fait pire tu es pas douée.
-R : tu veux que je fasse pire ?
-T : Tu oserais jamais, si tu fais ça tu restera nu dans un ascenseur me désirant.
-R : et si je désire que ton corps et pas toi ?
-T : je m'en fiche, ça change rien à ma vie ?
-R : d'accord.
Je caresse doucement sa clavicule sans le regarder.
-T : je te forcerais pas, Je suis peut être un connard un fils de meurtrier ou tout les autres choses que tu pense sur moi mais je suis pas un violeur.
-R : si tu le faisais maintenant ce serais pas un viol, car tu m'as pas force et ..j'ai envie.
Je souris content sous ses rougissements.
-T : c'est tout ce que j'attendais.
Je me penche vers lui et embrassa son front, sa pomme d'Adam et toute la longueur de son torse et il laisse glisser ses mains le long de mon corps, lorsque mes lèvres se pose sur l'intérieur de sa cuisse ses mains glisse dans mes cheveux, j'embrasse sensuellement la peau tendre en le fixant dans les yeux et deux yeux tempête emplis de désir me parvienne parallèlement à son gémissement. Il se glisse ensuite à ma hauteur et caresse mon corps d'un doigts pendant que je frémis les yeux fermés gémissant lorsqu'il remplace son doigts par ses lèvres. Puis je m'assoie sur ses genoux pendant que ses mains répondent sur mes hanches. Longuement nous nous caressons en se fixant, dans le désir et la découverte réel de l'autre. Lorsque les caresses descende sur son sexe il gémis mon prénom et … Mon dieu c'est la plus belle des mélodies.
-R : que veux tu ..?
-T : toi ..
-R : Comment ?
-T : Oh tu veux que je te dise ? Je veux que tu sois au bord de jouir arrêter te relever et plaquer contre ce mur une nouvelle fois, entouré ma taille de tes jambes te préparé puis te pénétré de mouvement doux et lent mais profond et rapide jusqu'à te faire crier mon prénom
Tout en proncant d'une voix lascive a son oreille je le branle lentement, une douce torture. Il roule des hanches sous ma main en gémissant un " fait le " j'accélère alors mes mouvements en torturant son cou de mes lèvres.
-T : tu fais ça lorsque tu es seul ?
-R : je ..eum c'est moins intense seul..
-T : que c'est ennuyant de le faire seul.
Je continue longuement caressant le gland de mon pouce et m'arrête au moment où je sens qu'il s'apprête à jouir. Un gémissement de frustration me parvient et il pose sa tête contre la parois en essayant de reprendre sa respiration, je me relève le relevant avec moi. Rapidement nous reprenons à caresser, lécher chaque parcelle de peau à disposition en gémissant. Lorsque nous nous retrouvons face à face, alors qu'impatient je griffé son dos légèrement au lieu de m'embrasser il vient mordiller ma lèvre sous mon râle de plaisir. Avant de se reculer, il vient lécher ma lèvre et je grogne.
-T : putain de provocateur.
-R : tu veux que je t'embrasse ?
-T : un baiser ? Très peu pour moi.
Il acquiesce en entrechoquant nos bassin sous mon gémissement, j'approche ma main de ses fesses et une voix caressante lui demande son accord, il acquiesce, j'humidifie mon doigts d'un sort et lorsque celui ci rentre doucement en lui il embrassa délicatement mes lèvres. Je le prépare consciencieusement en retenant mon propre désir et lorsque deux doigts sont en lui et qu'il ondule contre moi réclamant plus j'acquiesce à sa demande et rentre en lui sous son hurlements de douleur. J'attends qu'il s'habitue à ma présence et une fois que c'est fait je commence de lent et profond mouvement en lui avec un gémissement " tu es si serré" , malgré le plaisir que je sens il ressent aussi de la douleur, pour le distraire je caresse son membre de mon autre main sans cesser mes mouvements ,lorsque les gémissement de douleur ne devienne que pur plaisir j'accentue les mouvements pour qu'ils soit plus profond. Nous gémissons en cœur encore et encore et mes mouvements deviennent brutaux et profonds. Lorsque je touche sa prostate et qu'un long gémissement proche du cris sort de ses lèvres, grisé par cela je m'arrête avant de revenir brutalement taper contre encore et encore et il crie mon nom, je continue encore et encore au bord de l'extase avant qu'il ne vienne contre son et mon ventre, le crispement de son corps quand je suis en lui me fait venir en gémissant son prénom.
Nous restons longuement enlacé étroitement l'un a l'autre avant que je ne sorte de lui, il reste blottis dans mes bras et je respire son odeur mélangé à l'odeur du sexe qui est délicieuse. Délicatement il se met à nous nettoyer puis je sors ma baguette caressant son torse, au lieu du regard de sœur que j'aurais pu voir avant qu'il me fixe seulement fatigué. Je m'habille et le rhabille d'un sort en fixant ses yeux si bleu puis embrasse son front et pars vers les portes. J'entend un vague " au revoir " confus avant que je ne lance ce sort noir, les portes fondent et je n'ose me tourner vers, je pars donc tête haute, le souvenir de ses yeux bleu, trop bleu.
(Voici un petit, non long lemon fait grâce à l'aide de mon merveilleux petite ( fait exprès jugez pas ) meilleur amie ! ) happybutter_fly
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