Kisho Arima { Tokyo Ghoul }
Tu étais une jeune inspectrice qui venait de sortir du jardin ensoleillé, et par chance tu t'étais fais remarqué dès ton entrée au sein de l'organisation du CCG suite à une mission réussie avec brillance, s'en est suivit de nombreux exploits qui ne fit qu'accroître ta popularité chez les inspecteurs. Tu finis donc par te faire remarquer par le directeur.
Alors seulement après quelques semaines passés au CCG, tu te retrouvais déjà dans le bureau du plus haut placé pour obtenir une promotion. A présent, tout le monde connaissait ton nom, tu avais fais un parcours exceptionnel en très peu de temps et rare sont les inspecteurs qui ont eut un tel parcours.
- Après un long débat avec les membres du conseil, commença le directeur, nous avons choisis de t'intégrer dans un autre groupe pour que tu puisse mieux exploiter tes facultés prodigieuses.
Tu écoutais silencieusement ses paroles, hochant la tête de temps à autre pour prouver que tu écoutais bien.
- Après de mûres réflexions, j'ai trouvé le groupe idéale pour toi ! Il tapa dans ses mains. Tu verras, le chef est un peu dure et exigeant , mais sois en sûre, avec lui tu progresseras rapidement.
Tu entendis la porte du bureau s'ouvrir, mais tu ne pris pas la peine de te retourner en entendant des pas se rapprocher de toi. Le directeur se leva et adressa un signe de tête au mystérieux inconnu.
- Je te présente ton nouveau supérieur, Monsieur Arima.
Tu tournas alors la tête vers le nouvel arrivant et croisas un regard froid et dénué de tous émotions. Devant son imposante carrure, tu ne pouvais t'empêcher de te trouver faible et insignifiante.
Après quelques secondes de réflexion, tu compris que tu avais devant toi, la légende vivante du CCG celui surnommé " L'Ange de la Mort", grâce aux nombreuses ghouls qu'il a tué sans jamais connaître d'échec. Il ne devait avoir que deux ou trois ans de plus que toi, et pourtant, il était déjà très haut placé dans la hiérarchie.
Lorsque tu sortis de tes pensées tu constatas qu'il avait tendus sa main vers toi depuis un moment, attendant que tu la serre, ce que tu fis précipitamment. Rien qu'à travers une poignée de main, tu pouvais sentir toute la détermination de cette homme.
Après cela, le directeur vous laissa seule pour faire connaissance.
- Il faudra changer ton quinque, te dit il, sinon tu n'auras pas assez de puissance pour les prochaines missions qui s'avéreront plus compliqués que les anciennes. En attendant que tu trouve la bonne ghoul à abattre pour récupérer sa poche RC, j'accepte de te prêter un des miens. Son air s'assombrit. Chacun de mes quinques représentent pour moi une victoire, prends en soin. Je te fais confiance, tu as l'air d'être une personne soigné.
Tu le remercias brièvement avant de partir rapidement vers la cafétéria pour boire ton thé quotidien. Tu t'installas seule comme à ton habitude pour te reposais et méditais sur tes prochaines missions, c'était là, tes seuls centres d'intérêts, après tout, tu vivais loin de ta famille, n'avais peu voire pas d'amis et pas de copain non plus.
Tu trouvais ta vie horriblement ennuyeuse et seule ton travaille te permettait de faire des choses nouvelles, qui sorte de l'ordinaire, et tu y prenais d'ailleurs beaucoup de plaisir, si on omettait le fait que tu tuais des ghouls, tu les détestais mais tu ne prenais pas pour autant du plaisir à les tuer. Le simple fait de tuer ne te plaisait pas du tout, que se sois une ghoul ou un humain, tu prenais la vie de quelqu'un au détriment d'une autre certe mais tu ne pouvais t'y résoudre. Depuis ton entrée au CCG, tu avais mis cet opinion de coté, et avais fais abstraction de tes sentiments pour le bien de ton travail.
Après quelques mois passés avec ta nouvelle équipe, tu avais fais connaissance avec tes collégues, qui pour la plupart étaient devenus tes amis. Tu t'entendais relativement bien avec tout le monde ou presque. Seul ton supérieur était distant, au début, tu avais pensé qu'il était comme ça avec tout le monde mais en réalité, il n'adoptais ce comportement qu'avec toi. Cela te laissais indifférente au début, puis très vite, tu te remis en question, te demandant où tu avais pus commettre une faute. Tu avais beau chercher, demander l'avis de tes collèges, aucuns ne fut en mesure de te donner une réponse.
Cela devint insupportable, au point que tu avais envisagé d'aller le voire pour mettre les choses au clair, mais tu n'avais pas assez de courage pour faire une tel chose. Et très vite, cela t'obnubilas tellement que tu étais moins performante sur le terrain, ce qui ne manquas pas à ton supérieur. Alors un soir, alors que t'apprêtas à rentrer chez toi, tu fus interpellés avant. En te retournant, tu te retrouvas face à face avec Arima.
- Tu as quelques minutes devant toi, (t/p) ? te demanda t-il poliment en gardant le même air froid.
- Je vais rater mon bus si je reste là monsieur... protestas tu gentiment.
- Je te payerai le taxi dans ce cas, c'est important.
Devant son air déterminé, tu ne pus que te résigner à accepter, tu t'adossas au mur le plus proche en soupirant furtivement.
- Bien. Je ne vais pas y aller pas quatre chemins, je suis quelqu'un de franc. Tu bâcle ton travaille en ce moment et si tu continue je me verrais dans l'obligation de te virer du groupe, te dit-il d'une traite.
Tu restas quelques instants sous le choque avant de secouer la tête pour reprendre tes esprits.
- Mais ! Ce n'est pas de ma faute ! t'empressas-tu d'ajouter pour ta défense.
Il arqua un sourcil.
- C'est de la mienne peut-être ?
Tu inspiras un grand coup.
- Oui ! Il te regarda étonné. Vous me parliez comme si vous aviez toujours quelques choses à me reprocher ! Je ne comprends pas, j'ai beau réfléchir à ce que j'ai fais de mal, je ne trouve pas !
Devant ton air paniqué il ne put s'empêcher de soupirer à son tour.
- Je suis comme ça avec tout le monde tu n'as pas à t'inquiè-
- Non monsieur, sous votre respect, j'ai bien remarqué que vous n'êtes comme ça qu'avec moi.
Il passa sa main sur son visage d'un air exaspéré.
- Ecoute, j'ai pas l'habitude de mélanger les relations du travail avec la vie personnelle c'est ma seule règle, alors, lorsque je m'attache trop à une personne, je prends mes distances pour que ça n'interfère pas avec le travail. Il levas les yeux vers toi. J'espère que tu comprends.
- Hum, tu émis un petit rire gêné, non pas vraiment...
L'inspecteur se rapprocha de toi.
- J'essaye de garder mes distances tout simplement, c'est plus clair ? Devant ton air perdu, il lâcha brusquement. C'est parce que je t'aime trop que je suis froid avec toi, c'est bon ?!
Dès que tu réussis a assimiler tout ce qu'il venait de te dire, tu ne pus t'empêcher de sourire bêtement.
- Vous... m'aimez ?
- Oui enfin pas plus que ça non plus... répondit -il d'un air gêné en détournant les yeux.
Petit à petit, tu commenças à rire de plus en plus fort ce qui ne fit qu'accentuer le malaise du jeune homme.
- Tu es ridicule ! Parviens tu as articuler entre deux éclats de rire.
Tu venais de le tutoyer mais cela t'étais bien égale, tu te sentais plus proche de lui.
- Mais, (t/p), je reste ton supérieur ! Te dit il, un léger sourire aux lèvres.
- Désolée mais c'est tellement stupide la raison pour laquelle vous me parlez de cette manière !
A présent, un grand sourire était visible sur son visage.
- Je vais t'apprendre à te moquer de moi, te dit il en se rapprochant davantage de toi jusqu'à sceller vos lèvres.
Surprise, mais néanmoins heureuse, tu répondis avec joie au baiser d'Arima en passant tes bras autour de sa nuque.
Tu avais réussis à faire à l'homme qui respectait le plus ses engagements, a enfreindre sa seule règle en sortant avec toi. Décidément, on peut dire qu'au sein du CCG tu avais accomplis de nombreux exploits surtout un que personne d'autre n'aurais pus faire en réussissant à séduire "L'Ange de la Mort" du CCG.
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