- Amour, tristesse et papillon -
Puisse le ciel être à jamais obscurcit d'ombre,
La lune nitescente comme ton sourire,
Les charmantes étoiles perçant la pénombre,
Ta présence en eux ne cesse de rejaillir.
Puisse le ciel ne jamais cesser de pleurer,
Pour rejoindre l'orchestre de mon désespoir.
Mes orages bien-aimés me font demeurer
Dans l'étreinte de notre suprême au revoir.
Puisse le vent ne jamais cesser de souffler,
Le papillon trouvera sa voie jusqu'à moi,
Notre amour a vécu jusqu'à ton dernier souffle.
Puisse le papillon ondoyer pour toujours,
Seuls demeureront à jamais nos souvenirs,
Il les emportera aux couffins de l'amour.
{NDD : Le poème ci-dessus est un sonnet en alexandrin que j'ai écrit dans le cadre d'un devoir de français mais il s'avère que j'ai légèrement cafouillé sur les rimes à la fin donc bon... (^-^') Et le poème ci-dessous est la première version, qui n'est pas en alexandrin et qui ne rime pas parfaitement non plus (normalement c'est rimes croisées sur le schéma ABAB). Voilà, si vous pouviez me donner votre avis, j'apprécierais... =D (PS : je m'excuse pour la présentation fort peu agréable du poème en-dessous mais j'ai un léger problème de présentation... TwT)}
Puisse le ciel être à jamais obscurcit d'ombre,
Comme le fut mon coeur par la faute de la tristesse.
L'ombre de mon chagrin flotte dans la pénombre,
Alors que je m'en reviens, accablé, de la messe.
Puisse le ciel ne jamais cesser de pleurer,
Pour accompagner la symphonie de mon désespoir.
Empêcheras-tu ma tempête de demeurer ?
Tu es partie loin, si loin, sans même un au revoir...
Puisse le vent ne jamais cesser de souffler,
Le papillon trouvera son chemin jusqu'à moi,
Notre amour a vécu jusqu'à ton dernier souffle.
Puisse le papillon voler pour l'éternité,
Seuls demeureront à jamais nos souvenirs,
Il les emportera avec lui par-delà l'obscurité.
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