One Shot N°7 : Lemon Armadine

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Coucou les gens ! Aujourd'hui un OS sur notre couple du moment. Le gens on peux vous demandez un truc ? ON VEUX PLUS DE ARMADINE SUR CE SITE !! ON EST EN MANQUE ! Bref, avant qu'on pet un câble on vous dis :

BONNE LECTURE !

PS. LEEEEEMMMMMMMMMOOOOOOOOONNNNNNNNNN

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PDV de Saradine

Ça fais 3 ans que j'attends de ressentir quelque chose pour des hommes. J'attendais. C'est le premier jour des vacances d'été. Armand est à l'université maintenant, et là, est parti en vacance chez Clémence et Julien. Je suis donc seul. Le destin en a décidé autrement, quelqu'un frappe à la porte :

" - Armand ?! Tu es pas chez Clem et Julien ?

- Tu te souviens pas de notre rituel de la 6ème ? Tu sais, ce fameux rituel ou on sais dit que à chaque vacance, on les passais ensemble ? Dit-il tout en souriant. "

Je le lui rendis, je suis heureux de la voir. Comme à notre habitude, on s'installa dans ma chambre, à même le sol, nous mettant au frais. Je ne sais pas si c'est le temps qui a passé, si c'est nous qui avons grandit, mais ce n'est plus le même qu'autrefois. Arm' ne se mettais plus torse nu, et ne parlais plus. Au bout d'un certain temps, il pris la parole :

" - J'arrête pas de repenser à ce jour tu sais...

- ...

- Tu sais bien de quoi je veux parler hein ? "

Il parût tout à coup gêné. Moi, je me taisais, je voulais voir jusqu'où il pouvais aller :

" - Avec ton frère et son copain...

- Oui et ? Il fit la moue, je dus me retenir d'éclater de rire.

- Clément ! Il haussa le voix, me faisant sursauter. Tu le sais, et toi aussi tu y penses, j'en suis sûr !

- Gagné. Il écarquilla les yeux.

- Je vais te tuer... Je souris vicieusement.

- Approche... Il hésita. Et resta immobile. Je soupire, soudainement mai à l'aise.

- J'y repense sans arrêt. Et... J'ai vraiment envie de faire l'amour avec un mec. Il ne répondit pas à mes confessions, je paniquais.

- Arm' ! Je me jetai sur lui "

Sous le choc il n'osait pas me regarder en face. Je le forçais à croiser mon regard. Il me renversa à son tour, se positionnant au-dessus de moi. Je m'empourprais. Il se pencha et ses lèvres touchèrent les miennes. Nos langues se mélangèrent un long moment qui m'était exquis.

" - Clément, j'ai envie de toi...

- Moi aussi... "

On s'enleva mutuellement nos vêtements, mis à part nos boxers. C'était la dernière barrière pour se voir entièrement nus. On n'osait pas, pas tout de suite. De sa main il caressa mon sexe à travers le fin tissu. Je me sens très à l'étroit. Je me laisser aller. Il accéléra son mouvement.

" - Arm'... ahhh... Arm' "

Je jouis et me retrouva trempé, il rigola gentiment et m'enleva mous sous-vêtement couvert de ma semence. Ses yeux pétillaient en me contemplant. Je me redressai et d'un coup sec baissai son boxer. Son pénis est dressé, envoutant... J'ai envie d'y gouter. Comme s'il avait entendu mon désir, il se releva. Je me mis à ses genoux et emprisonnai son sexe de ma bouche. Il poussait des gémissement rauques qui m'encourageais à continuer. Il posa sa main sur ma tête, serra mes cheveux. Et il éjacule, j'avalais le fruit de son plaisir avec gourmandise. Je me caressai l'intimité avec désir. Armand n'en pouvait plus et je le retourna à nouveau pour qu'il se retrouve sous moi. Je soulevai ses jambes et les plaça sur mes épaules. Après l'avoir préparé, je le pénétra en fermant les yeux. A l'entente de son cri, je les rouvris, inquiet :

" - Ça va aller... " Dis-je pour le rassurer. Je le masturbas pour le détendre. La sensation de déchirure au bas de son ventre disparaissait. Il ne pouvait plus retenir ses cris :

" - Clément... Clément ! C'est bon...

- Ah... Ah... Armand... "

On poussa notre dernier cri a l'unisson. Nos deux corps étaient en sueurs, on était essoufflé. Je me retira, et jeta à la poubelle le préservatif remplis à ras-bord. Je lui tendis la main et le conduisit vers le lit, où nous nous effondrons. Épuisés, mais comblés. Je me sentais très bien avec lui. Comme si c'est 3 ans n'avais jamais exister.

FIN

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Voilà c'est fini !

Mimi : Déjà ?!

Moi : Et oui, déjà...

Mimi : En tout cas, merci pour ces conneries ! J'ai écris le plus dégueulasse !

Moi : Je vois pas de quoi tu parles...

Nous deux : Bref, on vous dit...

BESOU LES PANDAS ! ET A LA PROCHAINE !

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