Pdv de Reader :

Je me baladais à la recherche d'un quelconque diversement, n'arrivant pas à dormir à cause des mort qui nous entours chaque jours à passer à l'extérieur des murs. Cette fois-ci ce fus le tour d'une fille que j'ai rencontrée à notre formation où l'on avait sympathiser et la voir se faire avaler comme en amuse-gueule m'a fais froid dans le dos. Je n'ai rien pu faire pour la sauver. C'est donc en quête de quelque chose pour me vider l'esprit afin de ne plus trop y penser que je parcourais le quartier général. Tout ça bien évidement après le couvre-feu. "Si je me fais prendre je suis fichue. Surtout si c'est par le caporal." Un bruit à approximé de ma présence me fis lever la tête interloquée. C'est la que je vis de la lumière encore allumé dans la salle à manger. Poussée par ma curiosité je m'approchas subtilement et entrevis la porte. A ce moment précis je vus quelque chose qui me choqua. Incapable de bouger, même le plus infime de mes muscles je resta figée devant le spectacle qui s'offrait à moi. Dans cette salle ce trouvait le très redoutable caporal Livaï, entrant de manger des marshmallows tout en lisant ce que je percevais d'ici une histoire fantastique avec un chat gentillement allongé sur ses genoux ronronnant, un deuxième par terre à se frotter à sa jambe droite et le dernier sur ses épaules tout comme le second à réclamer des caresses en frottant sa tête contre sa joue. "C'est trop mignon !" Mais soudain interrompu dans ma contemplation notre cher caporal releva la tête surement sentant une présence non désirée. Qui est sans aucun doute la mienne, et ce mis à s'exclamer.

- Tch. Qui est là ?

N'osant pas bouger de peur d'être écraser je restais à ma place en essayant de retenir en vain ma respiration pour me rendre invisible.

- Si tu te montres pas maintenant je viens te chercher.

Mais toujours incapable de bouger par l'appréhension et surtout la peur je resta muette.

- Tch.

Il se me leva en posant son livre sur la table et en forçant ce pauvre chat si bien installé à descendre de son lit improvisé mécontent d'être ainsi dérangé. Il se dirigea à pas qui selon moi était lent mais visiblement pas assez vu qu'il ouvrit la porte à la volé m'arrachant un cri de surprise. Surprise qui était manifestement partagé vu son levé de sourcil dubitatif. Cependant il se reprit rapidement et bien avant moi qui ne pus réagir vu qu'il me pris par le col de ma chemise pour m'attirer dans cette pièce en vitesse. Ceci étant fait il referma la porte avec la même rapidité et me plaqua contre celle-ci. 

- Tch. Qu'est-ce que tu fous là gamine ?! Le couvre-feu est passé.

- Je.... Je suis pas une gamine. Dis-je non sur de moi puis je continua sur le même ton non rassurée. Et.... Et puis vous............ vous aussi vous avez dépassé le couvre-feu....

- Moi je suis caporal je fais ce que je veux. Toi tu te tais et écoutes.

- Je ne............ Je ne suis pas un chien !

- Tu es un soldat. Tu écoutes tes supérieurs point.

- Je.............

- Tch. Répons à ma question maintenant. Qu'est-ce que tu fous ici ?!

- Je........... Je voulais m'aérer l'esprit. Une amie à moi est morte au combat aujourd'hui.

- Et alors tout le monde meurt, c'est comme ça. Si tu voulais pas ça fallait pas t'engager.

Le trouvant horrible de sortir ces mots je fronça les sourcils de colère et répliqua sèchement une réplique que je regretta aussitôt sortis de ma bouche.

- Vous êtes bien cruelle pour quelqu'un qui mange des marshmallows tout en lisant des histoires fantastique en secret entouré de chats !!

Je sus instantanément que ce fus la phrase de trop au moment où mon regard croisa le mien. Effrayé je le fis me lâcher et courus jusqu'à ma chambre en ignorant le fait qu'il me disait de revenir immédiatement. Le lendemain ce fut la pire journée de ma vie, non pas parce que nous devions repartir sur le front mais parce que le caporal ne me lâcha pas d'une semelle que ce soit pour les entrainement où il me regarda fixement où bien à l'heure de la pause déjeuner où il s'assis à ma table sans prêter une quelconque attention aux bavardages remplissant la pièce. Je pus voir en relevant légèrement la tête qu'il me regardait avec des yeux qui tueraient n'importe qui, qui oseraient le défier mais aussi le commandant Erwin et Hanji le regarder tout aussi méduser que mes amis, restant survivants des combats passé, à ma table. Je rebaissa rapidement la tête en espérant à ne pas devoir croiser son regard ou encore lui parler mais mes prières furent vain quand il m'adressa la parole.

- Hey ! Relève la tête. 

Je releva légèrement la tête afin de pouvoir voir ses yeux mais n'osant pas affronter son regard je la rebaissa encore un fois vaincus par son regard assassin.

- T'étais plus entreprenante que ça hier.

 A cette phrase des exclamations ce firent entendre dans toute la salle. Je releva la tête rouge face au sous-entendu qu'il n'avait pas lieu d'être et ouvra la bouche pour parler mais fut incapable de dire quoi que ce soit, non seulement dû à ne pas savoir quoi dire suite à cette phrase mais aussi parce que sa main où jusque là était sous son propre menton afin de le soutenir vain se caler sous le mien pour pouvoir poser son pouce délicatement sur mes lèvres. Déjà rouge de gêne suite à sa phrase je me mis à devenir plus rouge suite cette fois-ci à son geste. Mais bien heureusement le gong de mon salut sonna quand Hanji s'exclama à traverse cette même pièce qui était la salle à manger mais aussi la salle secrète de l'homme se tenant en face de moi.

- Eh bien !! Shortty Tu dragues maintenant ?!

- Tch. Dis pas n'importe quoi Shitty Glasses.

Coupant ainsi tout contact avec ma peau il retira sa main pour se lever et partir vers la sortie mais avant de pouvoir disparaître de la vus de tous grâce à la porte il se retourna vers moi et me dit ses mots que je n'aurais jamais imaginée possible comme le reste des personnes présente dans cette salle.

- Ce soir viens me voir au même endroit et soit pas en retard.

Puis il ferma la porte sur une énorme exclamation général se traduisant par un mot plus connus sous la forme "quoi" que j'entendis prononcés comme si un seul homme parlait. Je restais toujours figer à cette étonnante demande, plutôt ordre, qu'il m'avait donné. Mes amis friands de ragot ce tournaient vers moi afin d'assouvir leur soif de potin pour me demander ce qu'il ce passait entre le talentueux combattant et moi. Incapable de parler ce fut Hanji qui parla à ma place. En débitant tout un tas d'absurdité qui empira à chaque fois.

- Oh ? Alors comme ça Shortty a une copine ! Il a réussi à trouver un femme plus petite que lui !! Et sans tombé dans la pédophile !! T'entends ça Erwin c'est pas génial pour lui !! Il deviendra pas un criminel !! Il pourra se reproduire sans utiliser des enfants !!!!! En plus elle a une poitrine ! Et pas n'importe laquelle une de qualité à ce que je vois !

- Hanji, s'il te plaît arrête tu choques tout le monde. En plus tu deviens viens juste de faire un harcèlement sexuelle.

- Mais non. Là j'en fais un. Dit-elle en me prenant un sein en main.

 -HANJI !!!!!

Rouge de honte je partis précipitamment de table et courus hors de cette salle à l'atmosphère insoutenable.

- Oups.

J'entendis cependant le commandant soupirer face à l'interjection d'Hanji avant de définitivement quitter cette maudite salle. Le reste de la journée se passa à peu près normalement si on omettait les chuchotements dans mon dos, tous diriger vers moi et mon prétendu copain Livaï que j'avais apparemment trompé avec Hanij. La plupart des personnes ayant déjà quitter la pièce avant que cela se produise. La minorité se croyaient malins en modifiant ce qu'il s'était passé. Même mes prétendus amis m'ont tournés le dos préférant ses ragot plutôt la part de vérité qu'ils ont vus de leur propre yeux. Et voyant que je dirais rien ils se sont tous à colporté contre moi. Faisant désormais le ménage seule dans mon coin entendant les commérages à mon sujet. Mais quand un hurlement ce fit entendre tout le monde se tut pour voir d'où il venait. Je tourna la tête également en découvrant un adolescent avec un étrange tête s'exclamer.

- Fermez là ! Ça c'est même passé comme ça ceux qui n'étaient pas là devraient juste ce la fermer au lieu de raconter de conneries ! Quant à ceux qui ont vus ce qu'il c'est passé ne raconter pas des bobards aussi gros qu'eux !!

- C'est toi qui devrait la fermer Jean ! Tu veux impressionner qui avec ta tête de cheval au juste !

- La ferme connard !!

- Calmez vous s'il vous plaît !! Tenta un autre jeune garçon blond.

- T'as dis quoi là !!!! Viens te battre si t'es cap' !

- Quand tu veux !!

Et se fut ainsi que les chuchotements à mon propos s'estompas pour laisser place à des cris prenant chacun le partis de leur préféré pendant que ces deux garçons se battaient. Mais une fille avec une écharpe s'interposa en parlant au second garçon.

- Eren, si tu continus le caporal va venir.

- M'en fous ! Il me gonfle !! Mais je dois avouer qu'il a raison à propos des abrutis qui se permettent de dire de la merde.

- Tch. Qu'est ce que c'est que ce foutoir.

Tout le monde devient livide suite à la soudain arrivée tant inattendu qu'effrayante. Sans un mot toute les personnes présentes ce remirent aux tâches qu'ils leurs furent attribuées. Puis un soupire commun ce fut entendre quand la présence partit. Quant à moi je me dirigea vers ces deux adolescents afin de les remercier. Arriver près d'eux je pus les entendre s'insulter à messe basse. Quand je me raclas la gorge pour signaler ma présence, les deux ainsi que le garçon et la fille qui avaient tenter tant bien que mal à les arrêter se tournèrent me remarquant enfin.

- Merci d'avoir pris ma défense.

- Oh, bah de rien !! Répliqua le premier qui avait pris la parole.

- En même temps ils racontaient n'importe quoi.

- Mmmh.

La fille se contenta de me toiser sans rien ajouter. Quant au petit blond pris la parole.

- Pourquoi n'avoir rien dit ?

- A propos ?

- Des rumeurs, si tu avais démenti dès le début personne aurait continuer.

- Tu penses vraiment ?

- Oui

- Si j'avais nier les gens ce seraient encore plus mis à colporté des absurdités à mon sujet. J'ai préféré ne pas m'en mêler pour la simple raison qu'après deux trois jours ils se seraient tous lassés. 

- Tu connais pas ces gens ! Me dit le prénommer Jean.

- Si, je les connais mais réfléchissez la rumeur ne concerne pas que moi. Vous pensez vraiment que le caporal aurait tenu longtemps face à ces commérages.

Ils déglutissaient tous, sauf la fille, et secouèrent la tête en signe de négation. C'est ainsi que je fis la connaissance de tout ce beau monde rejoins vite par un garçon nommé Connie et une fille Sasha. Le soir arriva bien vite en compagnie de cette joyeuse bande, même si deux d'entre eux se battaient pour un oui ou un non. Le repas se passa dans la joie mais quand je voulus partir une main me retenait par mon bras m'arrêtant dans mon élan. Nul besoin de spécifié à qui appartenait cette main. Le caporal me tira en dehors pour me mener devant son bureau qui ouvrit puis referma derrière nous. Je vus les chats qui étaient avec lui la nuit dernière venir vers nous. Mais je n'eu pas le temps de m'y attarder plus que ça me retrouvant coincé entre lui avec sa main sous mon menton et la porte.

- T'en as parlé à personne n'est-ce pas ? Dit-il en faisant disparaître peu à peu l'espace entre nous au point que le bout de nos nez se frôlent.

- De quoi ? Répondis-je rouge.

- Tch. Tu le fais exprès ou quoi ?!

- Hein ? Dis-je perdue. Puis me souvenant de tout ce qui c'est passé je secoua la tête.

- Bien. Ne parles de ça à personnes. Compris.

- Oui. Attendez ! C'est pour ça que vous n'avez pas arrêté de me suivre toute la journée ?!

- Bien sur. Pourquoi je me serais fatiguer à faire ça sinon.

Un silence se plaça entre nous qui avions gardés la même positon que depuis le début de notre conversation. Mettant peu à peu habituer à cette proximité mes rougeurs s'estompèrent progressivement. Mais en voyant ça Livaï fit un fi sourire qui ne présageait rien de bon. 

- Pourquoi ? Tu pensais que tu m'intéressais ?

- Qu..........?!

- Bien que je dois avouer que passer la journée à te............ mater était plutôt plaisant. Dit-il en remettant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille qui me fit légèrement frissonner. Et qui bien sur ne passa pas inaperçu au yeux du caporal. D'où cette élargissement infime soit-il de son sourire. Rouge d'embarras je réussis cependant à articuler quelque mots non sans bégaiement.

- Vous............ vous....

- Je ? Me chuchota-t-il en se penchant pour arriver au creux de mon cou.

Sentant son souffle sur ma peau je me figea il posa délicatement ses douces lèvres sur la base de mon cou pour remonter avec une lenteur démesurée pour venir me mordiller l'oreille. 

- Voir tes réactions plus mignonne les une que les autres me réjouissait plus que tu ne peux l'imaginer.

-Euh... Je.....

- D'où mon agissement lors du repas.

- Ça n'explique pas tout.........

- Je ne veux pas que d'autres hommes que moi s'approchent de toi.

Il se retira pour me prendre la main et s'asseoir lui sur son fauteuil et moi sur ses genoux.

- Tu sais ce que c'est n'est-ce pas ? Dit-il en prenant un marshmallow.

- Oui. Répondis-je peu sur où il voulait en venir.

Sans attendre plus longtemps il le mit dans sa bouche et vint m'embrasser avec ce petit nuage de sucrerie toujours dans sa bouche. C'est quand il mordis légèrement ma lèvre inférieur qui s'ouvrit instinctivement laissant ainsi un passa entre nos bouches que je pus goûter moi aussi à cette friandise qu'il raffolait tant. Et je compris pourquoi il en était dépendant même si ce n'était certes pas les mêmes raisons. On resta comme ça un long moment lui lisant son roman de sa main droite, quant à sa main gauche vint se caler sur ma cuisse. Tandis que moi je caressait ses chats si mignons et lui donnait quand il le demandait ces bonbons, avec mes doigts qui se fit un plaisir de lécher à chaque fois. C'est ainsi que je passa toutes mes nuits avec lui si bien que je nus même plus besoin de ma chambre, mes affaires était dans la sienne à sa demande. Et qu'on passa le plus clair de notre soirée moi assise sur lui à caresser ses, ou plutôt nos, chats et a lui donner ses friandises et lui s'amusant à lécher mes doigts et lire ses livres fantastiques. Même si on s'adonnait à un autre activité plus............ physique quelque fois laissant ses petits secrets de côté.

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Voilà le one-shot de TaeTaeDeLaStreet sur Livaï. J'espère qu'il va te plaire. J'avoue que ça ne parle pas trop de ses petits secrets, je sais pas si tu aurais aimé que j'en parle plus. 

Pour les deux autres OS je les ferais demain parce que mine de rien ça m'a pris 3 heures à le faire.

Sur ce. Byebye~~