Commande d'@KuroSnow, j'espère que ça te plait^^

C'est une suite d'un autre one shot^^

Chara appartient à @KuroSnow

Le très jolie média est un dessin @KuroSnow 

Des années qu'il ne dormait plus. Des années qu'il ne vivait plus. Des années que Nightmare et Reaper c'étaient allié pour lui faire bien pire que la mort. alors que le maître des cauchemars le torturait, la mort refusait de le fauché.

Pauvre Plum...

Condamné à la souffrance éternel. Et pourquoi ? Parce qu'il avait été abandonné par celle qu'il avait élevé et... aimé. Bien plus que comme sa fille, que comme ce qu'il aurait dû faire. Il l'aimait comme... un « homme » aime une « femme ». Il l'aimait sans le dire... et puis, il y a eut cette nuit. Cette nuit qui firent qu'il devinrent amant et amante, qui brisa leurs vies. Celle de Plum parce qu'elle était partie... et celle de Chara parce que, par peur, le squelette la fuit. Il avait eut peur de tout détruire entre eux. Au final, c'est ce qu'il fit en refusant de parler cette cette nuit fatidique... en l'évitant. C'était normal qu'elle finit par ne plus en pouvoir.

La détresse...

Sa seule raison de vivre était partit sans un mot, sans un moyen de la retrouver... il n'avait plus la moindre raison de vivre. Sans elle, la vie ne valait plus la peine d'être vécu. Sa première tentative de suicide après presque deux semaines de larmes. Deux semaines sans elle, à espéré qu'elle pourrait peut être revenir... en vain. Le prostitué prit alors une lame...
Fit apparaitre son âme...

Et la transperça...

Pour rien.

L'âme ne se brisa pas, la faucheuse avait décidé qu'il vivrait. Pourquoi ? Parce que Reaper savait très bien ce qui se passait. Lui savait pourquoi Chara était partit, pourquoi elle ne reviendra jamais. Et, surtout, pourquoi Sugar Plum, le Sans d'Underlust, devait souffrir. Il c'était associé avec Nightmare pour cela. Ils s'étaient associé pour punir ce père indigne qui avait consommé et jeté la jeune femme...

Il y eut bien d'autres tentatives de mettre fin à sa vie... tellement. Mais, à chaque fois, rien. Rien du tout. Il avait la douleur de la mort, à chaque fois, amplifié... mais jamais la fin de cette souffrance. Jamais il ne terminait sa vie. Il avait juste la douleur qui s'ajoutait toujours à celle moral.
Et, toujours, il y avait cette vision...

Chara...

Sa douce et belle Chara.
Son sourire enjôleur.
Ses yeux pétillants...

Plus le temps passait, plus il la transformait dans son esprit, une déesse d'une beauté indescriptible au charme ravageur qui chamboula son âme. Au final, il finit même par ce dire qu'il ne l'a reconnaîtrait pas. C'était impossible. Tout devenait flou. Le visage de la vrai femme devenait celui idéalisé...

C'était le plus dure.
Ne pas vraiment ce souvenir d'elle.

Le harcèlement n'était rien.

La souffrance n'était rien, surtout la douleur physique. Ce n'était que du vent qui le traversait sans le détruire, sans l'achever. Il était déjà mort à l'intérieur. Il était mort dès le moment que les vrais yeux, le vrai sourire avait commença à changé... il était mort. L'agonie continuait... mais il était mort à l'intérieur. Chaque jour, il re-mourrait. Encore et encore.

Il mourrait qu'elle soit partit...

Qu'il est été aussi bête.

Qu'il aurait tellement voulue ne pas perdre, qu'il voulait garder comme... la petite fille qu'il avait élevé... mais qu'il aimait comme la sublime jeune femme, parfaitement imparfaite, qui faisait battre son âme. En pensant qu'il allait en retenir une, il a perdu les deux. Peut-être avait elle été blesser par cette nuit ? Qu'elle voulait lui en parler pour soulager sa conscience et oublier ?
Il ne le saura jamais.

Son corps continuera d'airé dans l'AU... dans le multivers... mort mais vivant. Souffrant sans plus rien sentir. La vie d'un mort...

Il allait travailler, se laissait faire... et puis rentrait, avançant sans voir dans la neige de Snowdin. La neige...

il faisait froid.

Aujourd'hui, la tempête.

La grêle même ! Comme si elle ne tombait que sur lui... encore une torture. Il était si peu vêtit.. à quoi bon ? C'était tout ce qu'il méritait.

« -Au secours ! » une petite voix, ça lui rappelait quelque chose d'important.

« -Au secours ! »

Il se précipita alors, par réflexe. Un enfant était tombé. Il fallait qu'il le trouve le plus vite possible. Il fallait qu'il le sauve avant que la foule d'Underlust le trouve...
Vite.

Heureusement, l'enfant eut de la chance. Ce fut le Sans qui le trouva en premier.

« -Hey... » sourit-il doucement, prenant l'enfant contre lui.

Une petite fille d'environ six ans. Elle avait de grands yeux rouge, disant le squelette. C'était si familier... pour l'enfant en tout cas. Elle lui sourit alors. Sans un mot, elle lui fit comprendre qu'ils se connaissaient déjà sans se connaitre. Son rôle était de la protéger... parce qu'elle était comme Chara.

Oui... elle lui ressemblait tellement.

Son sourire un peu tordu, malicieux à en faire rougir les anges. Pas le plus beau mais surement l'un des plus expressif. Un sourire moqueur... oui, c'était le même.
C'est alors que l'enfant trembla, la grêle c'était arrêté, le vent soufflait encore.

« -Je m'appel Plum. n'est pas peur, je ne te ferais pas de mal. On va juste aller chez moi pour que tu récupère et, ensuite, je te ramène chez toi, d'accord ? »

L'enfant se serra un peu contre lui, cherchant de la chaleur, s'étonnant de sentir les os si froid de Plum... elle acquiesça alors. Il faisait trop froid. et ce Sans était très gentille, elle le sentait, il n'était pas dangereux. il ne lui fera jamais de mal... sa magie lui confirma.

Une fois au chaud, près de la cheminé que Plum avait rallumer pour la réchauffé, la petite surveillait tout. Ses grandes pupilles rouges...

Elle avait attaché ses cheveux violet très clair en une queue de cheval maladroite, très mal faite. Mais, au moins, comme ça, Sugar Plum eut la surprise de voir qu'elle n'était pas humaine mais squelette. Elle avait des pommettes légèrement rose, coloré par sa magie. En voyant que l'adulte regardait ce détaille, elle fit une grimace incroyable. Pressant sa mâchoire contre ses mains, tout l'os remonta, comme si c'était de la peu et des tissus mou.

« -Oh ! »

Plum se retenait de rire autant qu'il le pouvait. La scène était hilarante. Et il rit. Ça faisait tellement longtemps... mais il n'avait pas le droit. Il n'avait pas le droit de rire... comment être heureux sans elle. Pourtant, en voyant cette petite fille, si gentille et ses grimaces, il continua de rire, encourageant la petite à continuer et en faire d'autres. L'adulte se concentra alors, juste assez pour rentrer dans le jeu de la petite squelette et faire des grimaces.
Rire...

Ça lui avait tellement manqué.

C'était comme vivre, le bon de la vie.

De la joie.

La petite fille riait tellement, une vrai crise de fou rire qui se calmait après au moins deux minutes.

« -Tu ris comme moi ! » déclara-t-elle, souriant encore.

Plum ne comprit pas ce qu'elle voulait dire, lui rut qu'elle disait qu'ils avaient le même sens de l'humour. Pas du tout, l'enfant parlait littéralement de la façon de rire.

« -Merci. » sourit à son tour le Sans.

« -Tu es très drôle tu sais ?

-Oui !

-Comment tu t'appelle ?

-Lyria !

-Lyria ? C'est très jolie et ça te va très bien ! »

Il se redressa.

« -Tu as moins froid ?

-Oui... mais j'ai faim ! Et soif !

-Oh ! Bien sur, excuse moi. Tu veux quoi ?

-Un chocolat chaud... et de la confiture ! »

Plum réfléchit... il n'avait rien à manger ici. Il ne faisait même plus les course depuis qu'il était seul, il grignotait un peu au travail, juste pour survivre.

« -Je dois aller faire les courses alors.

-Oh ? Tu n'as pas de chocolat chez toi ? » s'exclama l'enfant, étonnée et même choquée.

« -C'est parce que tu as tout manger ? » elle fronça les sourcils.

« -C'est la seul excuse qu'on tolère !

-Qu'on ? Qui ça on ?

-Moi et ma maman !

-Ta maman doit être inquiète. Tu sais où tu es tomber ?

-Non... je ne sais pas où je suis mais je sais où on vit !

-Alors... il vaudrait peut-être mieux que je te ramène ?

-Je ne sais pas...

-Pourquoi ? » sa voix était la plus douce et gentille possible.

« -Ma maman et moi on voit dans un endroit tout seul et... elle ne serait pas contente si je reviens avec un inconnue. Même si tu es très gentil Plum ! Mais...

-Je comprend. » il réfléchit.

« -Je suppose que tu dois donc rentrer toute seule... mais pas le ventre vide et gelé ! » il monta et redescendit le plus vite possible, deux grosse vestes dans les bras.

Une pour lui et une pour enfant...

C'était une veste de Chara... un souvenir... mais, si c'tait pour le bien d'une petite fille, il était prêt à lui laisser. La petite l'enfila, toujours souriante.

« -Je vais faire les courses avec toi ?

-Bien sur, comme ça tu pourras choisir le chocolat que tu veux et la confiture.

-Et le pain ! C'est aussi très important un bon pain !

-Bien sur. »

Ils arrivèrent dans le super marché. Lyria craqua pour plusieurs confitures mais un seule chocolat lui plaisait. Elle fut aussi tenté par des pains aux myrtilles et chocolats pour elle et sa maman. Plum les prit volontiers, même un pour lui. La bonne humeur de la petite était plus que contagieuse. Une fois les achats fait, ils rentrèrent, l'adulte lui fit rapidement ce qu'elle lui avait demandé et ils discutèrent. Pas très longtemps, il fallait que Lyria rentre le plus vite possible pour ne pas inquiéter sa pauvre mère. Elle était un réconfort incroyable pour Plum... mais elle devait rentrer chez elle, il allait à nouveau être seul. Ce petit moment de vie avait u peu soulagé son âme... un peu comme s'il avait retrouvé quelque chose qu'il avait perdu. Quand vint le moment de laisser partir la petite fille, il se sentit si... triste. C'était comme encore perdre une raison de vivre. Oui, c'était stupide de s'être attaché à ce point à un enfant et aussi vite... mais ça lui avait rappelé tellement de bons souvenirs...
En voyant cela, Lyria lui prit doucement la main.
« -Dit, je pense que ma maman voudrait te dire merci pour avoir prit soin de moi. Si tu promet de ne jamais dire à personne ou on vit, tu peux me ramener.

-Oh oui, je te le jure ! » il retrouva le sourire.

Cette confiance lui faisait tellement plaisir.

La petite lui expliqua dans quel univers allé et où exactement. Ils y allèrent donc ensemble, apparaissant directement devant la maison.

« -Tu vise bien ! Tu pourras m'apprendre ?

-Oui, avec plaisir... enfin, si ta maman veut bien.

-Oh ! Bouge pas, je vais la chercher ! »

En attendant, il observa le lieux... un AU simple, route pacifique, un petit coin de paradis sous la neige. C'était même beau, la maison était un chalet au fin fond d'une foret ... très champêtre. La petite fille n'était même pas sur le pas de la porte que sa mère sortit de la maison... et la prit dans ses bras.

« -Me chérie, tu vas bien... j'ai eut si peur ! Ne pars plus jamais aussi loin !

-Pardon maman, j'ai essayé de me téléporte et j'ai raté... mais j'ai rencontrer un gentil Sans qui m'a aidé ! » elle montra alors la veste.

La femme l'a reconnue tout de suite, c'était celle qu'elle portait quand elle était petite...

Elle tourna alors la tête vers l'homme que lui indiquait sa fille... c'était lui, n pas de doute.

« -Ma puce, va vite chez Nightmare. Passe par le portail dans la maison.

-Mais...

-Obéit s'il te plait. »

Elle obéit, retissante. Pourquoi sa mère faisait ça ? Plum était très gentil... en plus, il y avait ce que sa magie lui disait... Lyria était presque sur, le Sans d'Underlust était son papa... alors pourquoi cette réaction ? Sa maman ne lui avait jamais mal parlé de son père, au contraire... alors pourquoi ?

Enfin...

Elle partit, laissant les deux adultes seul, en face à face...

Dès qu'il vit la femme... il l'a reconnue...

Pas de doute.

C'était Chara...

Aucun doute... il sentit son âme battre plus vite et plus fort... c'était elle.
Oui...

Un rêve qui devenait réalité, la revoir... sans réfléchir, il s'approcha... et elle lui colla la gifle de sa vie ! Elle était si en colère, même après tout ce temps, elle lui en voulait... la raison ? Elle l'aimait encore. Plum écarquilla les pupilles. C'était... Chara la mère de cette petite ?

L'enfant avait six ans...

Ça voulait dire que...

« -Comment ose-tu venir ici ? Parler avec ma fille ! » hurla-t-elle...

Mais le squelette ne réagissait pas... il n'y avait pas de doute... il y a environ six ans, il y avait eut cette nuit...

« -T... ta fille... » finit-il par bredouiller.

« -Oui. Ma fille. » sa voix trembla un peu, comme souvent quand elle était en colère.

« -Tu... pour... pourquoi ?

-Pourquoi quoi ? Pourquoi je ne te l'es pas dit ? pourquoi tu n'es pas au courant que tu es papa ? »

Il tomba...

Oui... Lyria était sa fille...

Il était père...

Sans le savoir...

« -Parce que tu ne m'écoutais pas. tu ne voulais plus me parler. Je voulais te le dire ! Mais tu m'as repoussé ! Tu m'as poussé à partir ! Tu es responsable de mon départ ! »

Elle lui cracha toute la douleur et la souffrance qui pesait sur son âme. Qui faisait que, chaque matin, quand elle allait réveiller sa fille, elle sentait un pincement au coeur. Parce que, oui, elle aimait encore Plum, elle n'avait jamais cessé de l'aimer. Elle voulait qu'il soit la pour elle et leurs fille... mais lui ne le voulait pas. Alors elle lui dit tout cela...

Et lui...

lui s'en voulait terriblement...

« -Chara je... je suis désolé... je... je ne savais pas...

-Si tu m'avais écouté, tu le saurais ! »

Il se releva.

« -Laisse moi une chance... je t'en prit...

-Tu avais ta chance !

-Je pensais t'avoir blessé cette nuit la ! J'étais gêné ! Je... »

Elle voulue partir, il la retenue sans lui faire mal.

« -Je t'en prit, écoute moi ! » supplia-t-il.

« -Alors vas y ! Parle ! » de plus en plus en colère.

Il ne dit alors que le nécessaire.
Que ce qu'il avait sur le coeur.

« -Je t'aime... mais je ne voulais pas que tu te sente forcé ou redevable... je... je ne voulais que ton bonheur et je pensais sincèrement que ce n'était pas près de moi que tu le trouverais... mais s'il te plait. Laisse moi une dernière chance. Une chance de te rendre heureuse. Toi et notre fille... s'il te plait... »

Elle le regarda alors droit dans les pupilles... il avait l'air si faible, si fatigué... la souffrance l'avait marquée au point qu'on ne lisait plus que ça en lui.

« -D'accord. » sa voix devint ferme.

« -Mais à mes conditions.

-Tout ce que tu veux. »

Elle l'embrassa alors, doucement. Lui y répondit... timidement. Ils passèrent la nuit ensemble.

Mais le squelette n'était pas pour autant pardonné, loin de la. Il fallut du temps, du temps pour qu'il apprenne aussi à connaitre sa fille, pour que les blessures du temps guérissent.

Avec le temps...

Ils finirent par ce trouver.

Par devenir la belle famille que les parents avaient toujours souhaités.

« -Papa ! Regarde ! » la petite s'était maquillé pour Halloween.

Un jolie petit clown tout ce qu'il y avait de plus adorable.

Plum sourit alors.

« -Tu sais que c'était le costume préféré de ta maman ?

-Oui ! Je sais.

-Tu lui ressemble tellement... » il embrassa sa fille, souriant.

« -Tu me compare toujours à elle papa.

-Parce que tu es aussi parfaite qu'elle. »