Mythes et légendes du soir
Résumé :
Nightmare travaillait beaucoup, il n'était pas souvent chez lui, ne passait pas beaucoup de temps avec son fils le plus jeune, Deus. Il s'en voulait encore plus, sachant que pour ses deux autres enfants, il avait toujours eut le temps. C'est pour cela, pour calmer sa culpabilité de père, qu'il prenait tout les soirs le temps de lire une histoire à son fils. Mais, les deux curieux et adorant cela, ils épuisèrent bien vite la bibliothèque pourtant infini du maître des cauchemars.
Le père et le fils décidèrent donc d'écrire ensemble une histoire, un chapitre par soir. Une histoire que Deus inventerait et que Nightmare écrirait. Le sujet ? Tout trouvé. Les deux passion du fils du maitre des cauchemar : la mythologie et torturer les sbires de son père !
Deus m'appartient ainsi que son frère et sa soeur. Les autres personnages ne m'appartiennent pas.
Bonne lecture^^
One shot :
C'était la nuit, l'heure d'aller dormir mais pas encore des cauchemars pour être plus exact. C'était le moment de la journée que préférait Deus, le plus jeune enfant de Nightmare et d'Hate. C'était une petit squelette aux os noir, couvert d'une corruption vaporeuse, dotés de pupilles rouge incandescentes. Il était encore très jeune, très petit aussi... très solitaire. Hate était fou de ses enfants, même s'il avait un peu plus de mal avec le petit dernier. Son deuxième fils souffrait de difficultés, surtout à exprimer ses émotions ce qui bloquait sa magie... même son développement en était ralentit. C'était très dure à comprendre pour sa « mère » qui, avait l'habitude de ses deux enfants ainés, très en avance, ne pouvait pas l'aider.
C'est aussi pour cela que, tout les soir, Nightmare prenait plus de deux heures avec son fils. Il retardait même les cauchemars, son travail, la raison de son existence et son moyen de subsistance pour être avec Deus et lui lire une voir plusieurs histoires jusque'à ce qu'il s'endors. Un moment très important aussi bien pour le maître des cauchemars que pour son fils cadet.
Généralement entre vingt-et-une heure et minuit, leurs petit moment journalier était le moment de ce découvrir, de se connaitre, leurs moment rien qu'à eux entre père et fils. Ils avaient découverts une passion commune pour la littérature, le jeune corrompus étant très créatif et imaginatif créant parfois des versions alternatives qu'il jugeait bien plus amusante et ce n'était pas le maître des cauchemars qui allait le contredire !
Le petit se développait, grandissait, s'exprimait infiniment mieux depuis que son père faisait ça...
Pourtant, ces précieux instants allaient peut-être s'arrêter. L'immense collection de livre du seigneur des malheurs était terminé. Toutes les histoires pouvant être lue à un si jeune enfant avaient été lue... Deus les connaissait toute...
Il n'y avait plus un mythe, plus une légende, plus une histoire que Nightmare n'avait pas déjà lue au petit... qui dit plus d'histoire, dit plus de moment à les lires... que faire ? Aller en trouver une nouvelle dans une librairie ? Non, surement pas. Une pièce devait être interessante, passionnante, il fallait qu'elle lui plait, qu'elle plait à son fils. Pas juste issue d'un achat impulsif au détour d'un pathétique rayon de librairie, né d'une plume pondant de façon industriel les histoires et saga pour faire plaisir au lecteur.
Les histoires sur internet ?
Et puis quoi encore !
Encore pire !
Des auteurs frustrés, sans talent, écrivant rapidement sans même se donner la peine de se relire pour la plus part, juste pour publier un chapitre par soir en espérant gratter autant de vue et d'abonnement possible. Tout pour avoir juste un peu de reconnaissance, de gratitude... surement complexé par un manque de compliment hors du monde de l'écran.
Mais alors lire quoi ?
Que faire pour passer du temps avec son fils ?
Pour créer ce moment de complicité !
Assit, devant son bureau, regardant ce qu'il avait dessus. Des feuilles vide, d'un blanc éclatant. Des stylos de toute sorte, éparpillé un peu partout sur le cuir qui protégeait le bois.
Une idée alors.
Et s'il écrirait lui-même une histoire pour son fils ?
Le maître des cauchemars, se sentant donc un auteur frustré, attrapa une des feuille et un des stylos. Un stylos à encre plus précisément, avec une jolie plume en métal argenté et au corps noir carbone. Mais, dès que le bout toucha la surface pure... qu'un tout petit point bleu nuit, couleur de l'encre, en pollua la surface, il retira.
Lui ?
Original ?
Créatif ?
Non !
Tout le contraire !
Ce moment d'égarement, à ce prendre pour un illuminé comme Ink ? Mais quel idiot ! Bien sur que non. C'était de la pure folie douce.
Il en était incapable...
Mais que faire alors ?
Qu'allait-il lire ce soir ?
Et c'est la, l'illumination, la vrai, l'unique, l'idée parfaite. Il prépara alors le même stylo, la même feuille et d'autres, beaucoup d'autres feuilles aussi blanche que la première.
Il avait eut l'idée qu'il fallait.
Si lui n'allait rien donner de bon, rien de lisible, de beau à lire, d'imaginatif, de créatif, juste bon à être mit à la poubelle, même pas à poster sur le net.
Non.
Il allait n'être qu'une plume.
L'auteur ? Le vrai ? Le cerveau génial ?
Son fils.
Deus.
Il racontera avec ses mots d'enfant, Nightmare elle formulera avec des mots d'adulte... ou pas ? Après tout, le plus jeune de ses enfants n'avaient jamais parlé comme un enfant. Il parlait, c'est tout. Il s'exprimait comme bon lui semblait. Il racontera comme bon lui semblera... et son père l'écrira surement mot pour mot.
Voila.
C'était décidé.
Ce soir, ils créeront ensemble une histoire au lieux de la lire ensemble.
Quoi de mieux comme soirée entre père et fils ?
Ink ne ferait pas mieux pour stimuler la créativité de ses enfants !
(Auto-flagellation en vue, ne vous sentez pas visez, je ne lis personne sur Wattpad en plus.)
Deus était dans son lit, un tentacule dans ses mains, c'était comme son doudou. Sa magie était un profond réconfort pour lui-même. C'était surtout un bout de son père qu'il avait toujours avec lui. Un bout de lui qui ne lui voulait que du bien, prendre soin de lui. Comme son père d'ailleurs... il était trop jeune pour savoir que c'était le maitre des cauchemars même qui avait mit un peu de sa magie autour de son plus jeune fils, pour le protéger, le consoler, être toujours proche de lui même quand il ne l'était pas. Le petit ne s'en rendait pas encore compte, pour lui, c'était son inconscient qui faisait ça.
Enfin, bref. Il attendait, comme toujours, avec une grande impatience, son père. Quel histoire allait-il lui lire ? Quel grande aventure ça allait être ? Une nouvelle mythologie peut-être ? Une légende ? Un demi-dieu héroïque brillant d'intelligence... ou juste un tas de muscle sans cervelle qui terrasse un terrible, ou malheureux, monstre ? Le jeune fils de Nightmare c'était toujours demandé s'il était le seul à voir les histoires différemment. Pour lui, Méduse n'était pas un horrible monstre, juste une pauvre femme blessé et souffrant sur laquelle on continuait de s'acharner. Pareil, Athéna n'était pas si sage que ça, très impulsive, prête à punir ou blesser au moindre mot prononcé contre elle...
Mais c'était quand même les histoires préférés du petit squelette. La mythologie grec, les douze travaux d'Heracles, la première histoire que son papa lui avait lue. nightmare entra alors, pas avec un livre à la main mais avec un paquet de feuille et un stylo ? Etrange.
« -Papa ? Pourquoi tu as tout ça ?
-J'ai eut une idée mon grand.
-Ah ? C'est quoi ? » un ton enfantin, impatient et curieux.
« -Je me suis dit que, comme tu es très imaginatif, tu vas imaginer une histoire et, moi, je l'écrirais pour qu'on puisera relire ensemble.
-Oh ! Mais... moi ? Imaginatif ?
-Bien sur mon grand.
-Mais... je ne sais pas quoi raconter et...
-Détend toi. » sa voix calme, tranquille.
Il prit sa chaise, la rapprocha du lit où était déjà couché son fils. Il s'installa avant de caresser doucement le crâne de Deus.
« -C'est une histoire pour nous. Il n'y aura que nous qui pourront la lire, aucune raison d'être nerveux.
-Vraiment ?
-Oui, c'est pour s'amuser. On essaye, si ça ne te plait pas, je te lirais de nouveau des histoires le soir. D'accord ?
-Mh... » petit réflexion du plus jeune.
C'est vrai que ça devait être amusant de raconter une histoire comme il le voulait. Il en avait tellement entendu, certaines l'avaient marquée, lui avait plue... mais pas toujours. En fait, un genre en particulier lui posait de gros problèmes : les actes des héros.
Et voila l'idée !
« -Je sais quoi raconter !
-Je t'écoute. » le sourire aux dents, plaçant la feuille, prêt à écrire, content que son fils soit partant pour tester l'idée.
Deus prit une seconde pour choisir son début, jugeant que les premiers mots étaient les plus important.
« -Alors ! » finit-il par déclarer.
Nightmare commença alors à écrire.
« Killer était un squelette aux pupilles marquées par des sortes de larmes noirs coulant sans fin mais ne dépassant jamais le bas de la mâchoire. Aux os blanc, aux pupilles vides, il n'était pas particulièrement fort, beau ou intelligent. Pourtant, allez savoir pourquoi, il était un héros. Qu'est-ce qu'un héros ? Quelqu'un qui était censé faire des choses bien et obéir aux dieux. Mais Killer avait commis un impair. Il n'avait pas obéit à tout les commandements de tous les dieux. En fait, le squelette, soi disant héroïque, n'avait que désobéit à une déesse et ceux volontairement. La déesse de la justice lui avait ordonné expressément de ne jamais, au grand jamais, entrer dans son temple, ce droit n'étant accordé qu'au prêtre du culte. Lui, ce héros, devait rester à la porte et veiller à ce que personne ne brise cette règle pendant une seule et unique journée. La déesse se disait qu'il accomplirait sa tâche avec facilité et compétence, il faisait bien pire et plus complexe juste parce que les autres lui ordonnaient. Alors une mission aussi simple, qui se faisait sur un temps aussi court, sans violence, sans devoir s'éloigner de son petit frère... c'était le rêve ! C'était ce que la déesse se disait en tout cas.
Ignorant la stupidité de Killer.
ignorant que ce dernier n'en avait rien à faire du culte de la justice, la jugeant même inutile ! C'est pour cela qu'il décida de faire tout le contraire, souillant définitivement le temps. Il laissa entrer tout le monde les y encourageant même. Quand la Déesse vue cela, sous le choc, elle alla voir le roi de tous les dieux, lui demandant la permission de punir ce mortel effronté. Au vue des propos graves qu'elle tenait, le roi n'eut d'autre choix que lui donner l'autorisation. Même si, lui, aimait beaucoup ce héros, il devait la laisser faire. On ne se moquait pas des dieux comme ça !
Sauf que, lui trouvait une étrange utilité, il ordonna tout de même à l'incarnation de la justice de ne pas le tuer, de se venger plutôt sur sa famille. Ne trouvant pas cela juste, la déesse chercha un moyen de faire payer le héros sans pour autant attaquer un innocent. Le père de ce squelette n'avait rien fait, il avait même prévenu son fils... donc aucune raison de s'en prendre à lui. Par contre...
Le frère adoré du criminelle au nom de tueur...
Lui...
Il était responsable !
Cet humain du nom de Chara... c'était lui qui avait encouragé et même donner l'idée au traitre ! Alors c'était lui qui allait souffrir. Surtout que le squelette lui portait un grand amour... parfait. Il allait payer ! Elle insuffla, pendant la nuit, une folie meurtrière dans le crâne de Killer, lui provoquant ainsi, à son réveil, une crise de démence... pendant laquelle il tua une seule et unique personne : Chara.
Son frère adoré.
Son frère, en voyant cela, le renia, l'abandonnant et le chassant même de la cité. Ce fils qu'il avait accueilli et élever, ce fils qui avait insulté une déesse et, pire encore, avait tuer son enfant biologique... c'était impardonnable !
Mais, magnanime et encouragé par une autre divinité, celle de la sagesse, il lui donna un dernier conseil : Va chez ton oncle, il te donnera une mission pour que les dieux te pardonne.
Ne sachant pas quoi faire, il obéit...
Allant au devant de son destin... et vers la mort douloureuse que lui réservait la déesse outragée.
Elle ne pouvait pas le tuer directement ?
Elle s'arrangera pour que quelqu'un d'autre le fasse pour elle ! »
Deus bailla longuement, épuisé.
C'était bien plus fatiguant de raconter une histoire que de juste l'écouter. Nightmare mit alors le point final du premier chapitre, fier de son fils. Il en avait de la suite dans les idées, pourquoi faire souffrir Killer ? Très bon choix d'un autre coté, c'était si drôle de faire du mal au squelette aux pommettes marquées.
« -C'est un très bon début mon grand.
-Merci papa... je suis content que ça te plait. » il sourit, très heureux mais aussi très fatigué.
« -On reprendra demain soir. » il embrassa son petit dernier sur le front.
« -Bonne nuit.
-A demain... j'ai hate... » et il s'endormit.
Le maître des cauchemars sortit alors sans faire de bruit, satisfait de son idée et même admiratif. Deus avait très bien commencé et, vue ce qu'il avait amorcé, ça allait être très drôle !
Il avait hate d'être le lendemain pour écrire la suite.
Deus n'était pas encore au lit, il était à son bureau, dessinant, quand nightmare entra.
« -Deus ? Que fais-tu ?
-Une surprise ! » très fier.
« -Oh, tu me la montre ? » demanda le père, en s'approchant pour voir.
« -Bien sur ! » il se tourna, tendant la feuille, un jolie dessin dessus.
C'était, plus exactement, une couverture pour leurs livres. Dessus, il y avait un squelette, Killer, qu'on reconnaissait très bien. Le personnage fouillait une ville, une cité grec comme elle était décrite dans certaines histoires que Nightmare lui avait lue. De l'autre côté, il courrait vers une sombre forêt.
« -C'est très beau mon grand. »
C'était un dessin fait par un enfant mais on comprenait ce que c'était, en fait, à par si on est Ink, n'importe qui aurait dessiné comme ça. C'était impressionnant pour un enfant aussi jeune.
Nightmare aimait vraiment ses enfants, c'était sa grande fierté... était-il objectif ? Oui. Bien sur. Deus dessinait très bien, surtout pour son âge.
« -Je vais en faire un par chapitre !
-Très bonne idée ! »
Le maitre des cauchemars prit alors le dessin, le posa sur le chapitre déjà terminé. Deus se mit au lit, une fois installé, son père lui confia la première précieuse partie de l'histoire. L'enfant regarda, les pupilles brillantes de fierté. Son père l'approuvait, c'était surement la chose la plus importante pour lui. Et le seigneur du mal le savait, il le sentait.
C'est donc le sourire au dent qu'il demanda :
« -Alors, tu as une idée pour la suite ?
-Oui !
-Alors reprenons si tu le veux bien.
-D'accord ! »
Et l'écriture sur une nouvelle feuille blanche reprit.
« Le héros déchue arriva enfin dans la cité de son « oncle ». Ne sachant pas que les deux frères se détestaient cordialement et que, par conséquent, c'est la mort qui l'attendait en pénétrant dans la ville. Mais, heureusement dans un premier temps et malheureusement dans un second, la justice avait prévenue le roi de son plan. Et, conseillé par la sagesse, complice de la première déesse, lui avait soufflé une idée plus que terrifiante. En effet, le roi accueille comme la coutume du pays l'imposait. Un banquet, une fête, Killer entra dans la cité fêté et honoré.
Le héros était tombé dans le piège.
Pensant que son oncle allait l'aider, que son père lui avait donné ce conseil pour son bien, il était prêt à tout faire, tout pour peu que le roi qui lui offrait son hospitalité, lui demanderait.
Comme prévue.
Le roi, les festivités terminé, continua de suivre les conseils des déesses. Il expliqua alors à Killer que sa cité n'était pas riche, pas pauvre, pas connue, pas inconnue. Qu'elle était piégée dans un entre deux, un équilibre fragile qui, sans gloire, basculerait dans l'oublie, la pauvreté et finirait par être détruite. Il poursuivit son récit en disant qu'il savait pourquoi le squelette était venue le trouver, que l'un aidera l'autre et que, cette aide, sauvera de la colère des dieux le second.
En entendant cela, le tueur fou était plus que d'accord ! Acceptant ainsi d'aider le roi. Il se mit alors à faire la liste de ce qu'il savait faire. Liste très courte puisque le squelette était un tueur discret. Il se dit même si discret qu'il pouvait se faufiler derrière un félin sans même le réveiller.
Un félin ?
Mauvais, très mauvais exemple. Le frère du père adoptif sourit. Lui disant alors qu'il avait quelques missions à lui donner pour apporter la gloire qu'il manquait tant à la cité. En effet, la ville ne pouvait pas se développer comme elle voulait à cause d'une forêt. Celui aux pommettes marquées posa alors une question aussi idiote que lui : pourquoi ne pas couper la forêt.
Le roi répondit alors que aucun arbre ne pouvait être abattu à cause d'un terrible lion, une bête immense à la peau encore plus solide que de la pierre. Cette créature maudite ne laissait aucune plante de son domaine mourrir.
Sans comprendre que l'animal était un gardien envoyé des dieux, sans comprendre qu'en l'attaquant, c'était la mort qui l'attendait, sans comprendre que c'était un piège, Killer décida d'aller abattre la créature... qui ne faisait, au final, que défendre son territoire.
Satisfait, sachant que le squelette allait mourrir, que les déesses allaient être satisfaite et offrir de nombreux présents au roi et à son peuple en échange de se service, il laissa son neveux adoptif aller vers la forêt.
La bas, juste armé d'un petit couteau, celui la même qu'il avait utilisé pour tuer son frère, Killer chercha le lion. Il trouva alors une énorme empreinte... et d'autres. Sans réfléchir, ils les suivit.
Arrivant devant une grotte, il ne réfléchissait toujours pas... et entra dans l'obscurité... se cognant contre un énorme museau...
Pas peu de le dire, le squelette idiot recula... et vit alors un lion facilement dix fois plus grand qu'un autre félin...
Comprenant enfin que son oncle l'avait dupé, il essaya de fuir... en vain. L'énorme animal ouvrit juste la gueule, l'avalant tout rond... sans même mâcher.
Killer était « mort », les déesses étaient heureuses et donnèrent énormément de privilèges au roi.
Ce dernier ce dit alors qu'il pourrait se débarrasser de beaucoup d'autres « ennemis » des dieux et obtenir encore plus de bienfait de ces derniers.
il fit alors passer un message : Tout héros capable d'accomplir les doutes travaux qu'il donnerait, obtiendrait un grand cadeau.
Le piège était tendu. »
Et le chapitre était fini.
« -Tu as tué très vite Killer dit moi.
-Ben y'aura d'autres héros... et puis... » un sourire malicieux.
« -Qui a dit qu'il était mort ? »
Nightmare m'éclata alors de rire.
« -Tu n'en a pas fini avec lui n'est-ce pas ?
-Exactement ! Il n'a pas assez souffert si tu veux mon avis. Ca lui apprendra à toujours m'appeler « petite tête ». »
Le maître des cauchemars osa un « sourcil ». Alors comme ça, son plus mauvais serviteur osait insulter son fils ? Et bien... ça ne se passera pas comme ça.
Pour la peine, il subira le même sort que son autre lui fictif. Un énorme lion, ça devait bien se trouver dans le multivers... et aussi dans les cauchemars d'ailleurs.
Sur ceux, le père souhaita une bonne nuit à son fils qui était, encore une fois, bien fatigué.
Et lui ?
Et bien il allait parèdre à Killer qui était la petite tête.
Non mais, pour qui il se prenait celui la ?
Ce soir, Deus était plus qu'heureux. Killer était venue lui présenter des excuses et lui jurer de ne plus lui donner le moindre petit surnom désagréable ! S'il tenait parole, ce sera la plus belle de toute les journée du petit squelette. Et s'il ne tenait pas ? Et bien, étrangement, le tueur aux pommettes marquées étaient nerveux, il semblait même avoir développer une nouvelle peur, pas aussi intense qu'une phobie, mais une peur tout de même.
Les gros félins...
Comme dans son histoire. Est-ce que son père s'en était inspiré ? Est-ce qu'il avait trouvé que c'était un si bonne idée qu'il pourrait l'utiliser ? Si c'était le cas, ça serait la plus grande fierté du jeune squelette. Son père estimait que ces idées étaient bonne. Assez pour traumatiser quelqu'un. Assez pour être utilisé dans son métier...
Il fallait qu'il lui pose la question !
Mais... comment faire ? Comment lui poser pareil question ? Et... s'il se trompait ? Que son père avait eut cette idée bien avant lui ou qu'il avait fait mieux. En même temps, faire dévorer un crétin par un lion, Deus n'avait pas été le premier à l'imaginer. Le lion de Némé, dans la mythologie grecque, existe bien...
Non... son père ne devait pas avoir prit l'idée de lui.
Ça ne servait à rien de lui demander.
Enfin, en parlant du corrompus, il arrivait, comme toujours avec tout ce qu'il fallait. Il s'installa et admira le nouveau dessin de son fils le plus jeune. Comme il était fier... ça se voyait sur son visage. Il admirait réellement le travail de son fils. Un peu comme si Deus avait ce que lui n'avait pas, de la créativité... dans autre chose que pour torturer le monde... et la, Nightmare trouvait sérieusement qu'il se répétait.
Et puis, ils reprirent l'écriture du fabuleux récit.
« Dans cette même forêt, passait un individus plus qu'étrange. Il portait une capuche et semblait être recouvert d'une fine pédicule de poussière. Les mains dans les poches, il avançait, regardant droit devant lui, les pupilles perdu dans le vide... ne tournant le crâne que pour regarder à sa droite, aussi dans le vide. Il semblait alors écouter quelque chose, à moins que ce ne soit quelqu'un, que seul lui pouvait entendre. Il ne répondait pas, il écoutait juste, haussant parfois les épaules, comme s'il ne savait pas quoi répondre et sans s'arrêter d'avancer.
Sans but...
Jusqu'à ce qu'un bâillement monstrueux attire son attention. Il regarda directement dans sa direction... et la, il le vit. Un énorme, un gigantesque lion endormit sur une pierre. La créature bougeait la bouche, comme si elle avait du mal à la garder fermée. Et puis, de temps en temps, un nouveau bâillements terrible sortait de la mâchoire aux dents acérées. Mais il dormait ? Pourquoi bailler quand on dort ?
Le squelette observateur à capuche s'en fichait, lui il voulait juste continuer sa promenade, rien de plus. Pourtant, il tourna à nouveau le crâne vers le vide avant de soupirer.
« -Bien mon frère, j'y vais... »
Il fit apparaitre un os de combat et s'approcha furtivement de sa nouvelle cible. La proie dormait, le squelette s'approchait sans faire le moindre bruit... et, d'un coup fort et sec, il berça la peau. Pas assez pour le blesser, l'arme resta plantée dans le cuir plus qu'épais. Dust avait beau tiré dessus, l'os ne voulait pas bouger. Le monstre ne s'était même pas réveillé. Au moins, l'os ne c'était pas brisé, bon signe. Le squelette planta alors plusieurs os, les imbibant de magie avant de s'éloigner de cette créature qui ressemblait maintenant plus à un hérisson irisés des armes du poussiéreux plutôt qu'à un puissant et féroce lion. L'attaquant recula, se cachant derrière un rocher, il leva la main, près à faire claquer ses doigts, comme si c'était un interrupteur. Avant cela, il regarda à nouveau dans le vide...
« -Mon frère ! Le lion ! »
A peine avait-il entendit cela qu'une goutte de bave tomba et vain salir sa capuche. Quel culot ! Ce dégoutant félin mal toiletté avait osé dépoussiéré son vêtement ! Quel horreur ! Honte ! Dégueulasse ! Il se redressa, faisant face au monstre. C'est alors qu'un rugissement terrifiant sortit de la mâchoire... du squelette. Il se jeta sur le lion... et sa fureur ne se calma que quand l'invincible créature fut en pièce, morte dans d'atroce souffrance...
Et ce n'est que quand le lion était réduit en plus petit que de la poussière que Dust se rendu compte qu'un squelette était dans son estomac... enfin, maintenant il était libre... et relativement choqué d'avoir, dans un premier temps, survécu, et, dans un second temps, qu'un squelette tout ce qu'il y avait de plus mortel d'avoir fait temps souffrir et abattu une créature divine !
Mais le temps pressait ! Killer expliqua à Dust qu'il fallait emmener la preuve que le lion était mort au roi en échange d'une récompense. Le poussiéreux s'empara alors de la seule chose qu'il restait d'entier du lion, la crinière, et suivit celui qu'il avait sauvé, souriant comme si quelqu'un qu'il aimait plus que tout était à côté de lui, très enthousiaste à l'idée d'une récompense royale. »
Deus était si fatigué se soir, qu'il n'eut pas la force de resté éveillé plus longtemps, il s'était endormit en disant la dernière phrase. Nightmare lui sourit, caressant le crâne de son petit dernier avant de le laisser dormir... sentant ses émotions, sa joie.
Qu'est-ce que pouvait demander de plus un parent qu'un enfant heureux ?
Rien.
C'était sur.
Deus avait été malade toute la journée, impossible de sortir du lit, terrasser par la fièvre la plus forte qu'il n'avait jamais vécu dans sa courte vie... Hate avait passé la journée à prendre soin de lui, à le soigner, le bercer, combler le moindre de ses besoins. Le petit s'était même endormit, blottit, bien au chaud, dans les bras de sa mama. L'adulte était rester contre lui, veillant sur son sommeil, surveillant sa température, ne le réveillant que pour prendre les médicaments prescrit par Sci et pour qu'il puisse manger.
Tellement d'attention, de gentillesse, de douceur, d'énergie, que, le soir venue, quand Nightmare rentra enfin du travail, Deus allait un peu mieux.
La soirée histoire allait être plus courte, bien plus courte, mais elle allait tout de même pouvoir aller mieux.
« -Merci Hate.
-De ?
-D'avoir prit soin de Deus.
-C'est aussi mon fils, je te signal. Et, en plus, il adore de raconter des histoires et te montrer ses dessins. » il enlaça son compagnon.
« -Notre fils est si heureux depuis que tu as eut cette idée... continue s'il te plait. »
Ils échangèrent alors un sourire, comprenant que l'autre ne voulait que la même chose... une famille, leurs famille...
Et puis... Deus avait tellement de potentiel... peut-être qu'il prendrait, un jour, la place de son père ? Nightmare pourrait alors prendre une retraite bien mérité.
Ainsi, le petit rituel était définitif et l'histoire écrite entre père et fils allait se poursuivre.
« Devant le roi, choqué de voir son neveux vivant, les deux guerriers restaient bouche bée. Il avait belle et bien manipuler Killer, qui se sentait bien stupide. Et Dust ? Et bien, lui, n'en revenait pas. Comment ce type pouvait être aussi idiot ? Bon, il était fort, le poussiéreux respectait la force... et si ce squelette devenait plus fort, il lui apporterait énormément de L.O.V.E... autant le suivre, rester avec lui et faire que personne d'autre ne le tue avant que lui ne le fasse. Mais bon, le roi les envoya alors, ensemble, combattre un nouvel ennemi, expliquant que la victoire faite à deux ne pouvait sauver sa cité de la disgrâce, au contraire même. Après tout, Killer avait dû être sauvé... une honte donc pour ceux qu'il représentait. Le tueur aux pommettes marquées accepta donc, tout comme son camarade et ils partirent sur le champ, sachant juste qu'ils allaient devoir tuer une nué d'oiseaux mortels. Ils arrivèrent très vite dans un marais puant l'eau stagnante et les algues en décomposition... mais aussi une étrange et délicieuse...
Pas un bruit, pas un oiseau dans le ciel. Les deux alliés décidèrent alors de voir d'où venait la bonne odeur de grillade. Ils trouvèrent alors une immense broche sur laquelle étaient des centaines et des centaines de volaille cuite à point, dégoulinante d'un délicieux jus, parfaitement assaisonné, la peau était incroyablement caramélisé par le feu crépitant, caressant la chaire succulente. Et, pour s'occuper de tout ça, un autre squelette.
Ca faisait déjà trois.
Il avait un trou dans le crâne, une pupilles rouge énorme qui circulait entre les viandes et les feu...
Lui avançait, restant proche de sa broche, enlevant les animaux parfaitement cuit, les installant alors sur une grande table un peu plus loin, accompagnés de légumes tout aussi appétissant, d'un pain doré, croustillant, succulent.
Et, plus la viande recouvrait la table, plus il y avait de personnes autour qui s'y installait, semblant venir d'un village non loin de la, attiré par l'odeur.
« -Euh... excuse moi ?
-Oui ?
-C'est toi qui cuisine ?
-Oui.
-Où les as tu trouvé ?
-Mes volailles ? Je les ai chassé et cuisiné pour nourrir mon village qui souffre d'une grave famine à cause de ses choses. » sur ces mots, il termina de retirer les dernières viandes encore sur la broche et invita les deux squelettes à se joindre au repas...
Chose qu'ils acceptèrent avec plaisir, affamés. Ainsi ils discutèrent avec cette rencontre, Horror, ils réussirent même à le convaincre de ce joindre à eux pour aller voir le roi et que sa réussite lui revienne.
Et il accepte, ayant ramené la paix à sa famille et ses amis, il se voyait bien devenir héros, mettre sa force et sa hache au service d'une grande quête... et ramener encore plus de nourriture et de l'or pour vivre en paix.
Alors le trio alla voir le roi, leurs donnant une mission, promettant la fortune aux squelettes... ils acceptèrent.
Une hydre.
Et, encore une fois, quand ils arrivèrent, un autre s'en était déjà occupé. Un squelette, oui, encore. Mais aux os noirs et aux pommettes marquées de traits bleus magique. Il expliqua alors qu'il adorait « détruire » les plus fort que lui, les anomalies...
Et une autre mission... à quatre maintenant.
Une mission plus que dégradante ! Nettoyer une écurie absolument infecte. C'est alors que Dust, qui c'était plus ou moins attaché à Killer, lui expliqua que son oncle se moquait de lui et essayait de le tuer. Ils retournèrent donc tuer le roi mais...
Ils retrouvèrent son cadavre et un énième squelette installé sur son trône. Pas n'importe lequel.
Il était couvert qu'une étrange substance noir de magie pure et doté de quatre tentacules dans le dos. Il portait une couronne ainsi qu'une tenue de haut noble.
« -Je suis Nightmare, le roi de ce pays tout entier maintenant.
-C'est vous qui avez tuer le roi ?
-Oui, ça vous dérange ?
-Absolument pas. Au contraire, on allait s'en occuper.
-Fantastique. C'est vous qui massacrez toutes les créatures divines ?
-Yep.
-Vous voulez bossez pour moi ?
-On peut manger ?
-Tuer ?
-DétRUire ?
-S'amuser ?
-Bien sur. »
Et ainsi ils travaillèrent pour le futur maitre des dieux et du monde »
« -J'adore ta conclusion. » sourit le maitre des cauchemars, admirant l'illustration.
Lui, assit sur un trône, les quatre serviteurs à genoux devant lui.
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