lamiaverse -Les serpents-

Je cherche un sujet à écrire sur lamiaverse mais mes deux idées ne me plaise pas assez pour que j'arrive à les terminer. C'est pour cela que je laisserais surement le choix de l'idée à développer au peu de lecteur qui reste sur cette histoire.

Le second one shot sortira demain, merci d'avance à ceux qui vont aider ! (mettez en commentaire sous le one shot qui vous plait le plus que vous aimeriez lire l'entier.)

Les deux one shots sont plus ou moins complet mais ne sont présent que le prologue de chacun.

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Une prairie ensoleillé, la lumière de l'astre réchauffait l'air, l'herbe. Illuminant de centaine de millier d'éclats doré le petit ruisseaux qui coulait tout du long jusqu'à tomber dans une faille.

Ainsi était le chemin de cette eau, allant de plante en plante, de pierre en pierre, de la source à la caverne à peine ouverte sur le monde extérieur. Se frayant un chemin, affinant son débit pour passer, doucement mais surement, elle avançait dans la grotte pour finir par passer par une très faible ouverture, un troue creusé par le ruisseau depuis des siècles.

Goutte à goutte, l'eau tombait dans plus d'eau. Une eau calme, paisible qui avait terminé sa course, venant rejoindre cette étendu lumineuse, clair dans cette espace sombre et rocheux.
Au dessus, une lumière éblouissante, ici, en profondeur, rien qu'une lueur douce venant du fond de l'étang.

Un motif régulier de galet merveilleux menant à la petite ile rocheuse posé la, au centre, coeur battant de la grotte. La terre avait beau être petite, les plantes s'y développaient à merveille, venant fleurirent ici et uniquement ici.

Des couleurs incroyable, lumineuse, plus tendre et admirable encore que celle qui venait du fond du bassin. Si belles qu'elles en devenaient lumière.

C'est dans cette grotte protéger de tous et de tout, où seul le calme et le silence pouvait régner en maitre absolue que quelque chose se passa. Quelque chose qui n'était pas une goutte d'eau venant remplir un peu plus la marre.
Une ombre avança doucement sur les galets sous la surface, sans rien perturbé à la surface. Longue et fine, la silhouette avança jusqu'à l'ilot qu'elle gravit à l'aide de ses bras squelettique. Dépourvue de chair jusqu'à la taille, la squelette monta jusqu'à ce que sa taille soit hors de l'eau. La, au bas de son ventre, de la chaire écailleuse et robuste, le bas de son corps était celui d'un serpent.

Complètement sortie de l'eau, une partie de son trop long corps s'enroula pour se mettre au sec sur la maigre bande de terre fleurit. Allongé au milieu des fleurs, sa délicate main vint caresser doucement une des pétales d'une plante bicolore.
Doré et mauve.

En s'allongeant sur le dos, elle veilla à ne pas toucher un petit arbre qui poussait sur le coté de la terre déjà à moitié dans l'eau.

La demi squelette demi serpent ferma alors les orbites, les deux mains posé sur un ventre plus imposant que ce qu'il devrait être, profitant du profond silence.

Oui, c'était ici.
Ici où seule elle connaissait le passage.
Ici où personne ne pouvait venir.
Où aucun danger ne pouvait arriver.

C'était bien ici qu'elle mettrait au monde ses deux précieux bébés.

Un peu de sang coula dans l'eau, coulant d'un trou béant dans l'armure d'écaille de sa peau. Une longue et profonde blessure toute fraiche allait du bas de sa queue à presque la moitié de cette dernière. Ses mains étaient couverte de coupures, ses poignets percés de trou, ses cervicales marqués, son corps usé, fatigué et blessé.

L'eau se tinta de mauve brillant mélangé de doré alors que la lamia rouvrit les orbites sur ses pupilles de la même couleur.

L'arbre but avec appétit cette magie sanglante et, alors qu'une vive douleur brisa le silence de la grotte, il grandissait.

Il grandissait dans les cris et le sang.
Il grandissait dans la douleur.
Il grandissait jusqu'à mesurer deux mètres, s'arrêtant avant de toucher le plafond de la grotte. Brillant de la lumière doré du soleil pour les feuilles et argenté de la lune pour le tronc, les racines de l'arbre se mélangeaient avec les galets.

Les cris continuaient... mais changèrent. Les cris de la lamia devient moins douloureux, plus aigüe, de deux voix.
Des pleures de nouveaux nés.

Des nouveaux nés.

Ses nouveaux nés qu'elle prit conte elle, s'enroulant autour d'eux, les gardant blottit entre ses bras.
Deux petits garçons comme leurs mère, squelette aux os blanc en haut, serpent en bas.

L'ainé, mauve, se calma presque immédiatement. En fait, dès que sa mère le serra contre lui, le lovant dans ses bras, il se calma.
Le cadet, doré, continua de pleurer jusqu'à ce que son frère, les orbites clou et maladroit, s'enroula difficilement avec lui dans une sorte de noeud incroyable qui arracha un rire à leur mère.

Toute douleur disparut alors.

Ses deux bébés étaient dans ses bras, en pleine forme, emmêlé l'un avec l'autre et sifflant surement le plus beau son que qui que se soit n'est jamais entendu.

« -Mes chéris... toi... » caressant doucement la tête du premier né.
« -Tu es fort et tu seras grand, tu sera Nightmare. Mon petit violet... » siffla-t-elle, laissant la fatigue prendre prise sur elle.

« -Et toi... » caressant maintenant le petit crâne de son deuxième né.

« -Mon petit doré, tu seras Dream... doux et gentil... »

Ils se serrèrent contre elle, si petit qu'ils pouvaient tout les deux tenir dans ses mains.

« -Mes précieux amours... » ses orbites se refermèrent, le sommeil l'emporta sans qu'elle ne soit inquiète.

Le silence fut de retour.

Quelques mois plus tard, sa blessure béante était presque entièrement guérit, ses éraflures et coupures n'étaient plus, même les marques de son cou avaient complètement disparut. Allongé sur le coté, son regard tendre suivait l'un de ses petits.
Il n'avait fallait que trois mois pour que ses bébés passent de quelques centimètres, moins d'une dizaine, à presque un mètre de long.
Nightmare était allongé contre elle, en train de se reposer après avoir trop jouer dans l'eau. Dream, lui, semblait ne jamais être fatigué. Il nageait, faisait une bonne dizaine de fois le tour de l'ilot, passant une fois en dessous, une fois au dessus, de la que de sa mère. Depuis que ses petits étaient née, elle passait aussi presque tout son temps dans l'eau, le secret de sa guérison.
La lamia s'endormit, bercé par le clapotis régulier de l'eau.

« -Nightmare, tu joue avec moi ? » siffla le petit doré, accroché à la queue de sa mère.

« -J'arrive Dreamy. » il plongea doucement, sans réveillé l'adulte.

Quand elle rouvrit les orbites, son premier réflexe fut de prendre Nightmare dans ses bras... mais il n'était plus la.
Alors, elle regarda dans la grotte...

Ses deux enfants n'étaient plus la.

Alors, guidé par les odeurs de ses enfants, la mère quitta la grotte et nagea, terrifier à l'idée que ses bébés se soit perdu dans le passage qui permettait d'entrer et sortir de la caverne.
Passage immergé, elle tremblait à l'idée que ses enfants s'y soit noyé.

Son soulagement de ne pas les avoir trouvé dans le passage fut de courte duré, elle ne savait toujours pas où ils étaient. Cherchant leurs odeurs, la moindre piste d'eux, elle retourna toute la foret autour avant de complètement désespérer.
Elle ne les trouvait pas.
Elle sentait d'autres odeurs que ceux de ses bébés, se mélangeant à leurs pistes.
Ils avaient été prit... par qui ? Où ? Quand ? Comment...

Ses enfants.
Ses précieux trésors...
Elle ne cessa de les chercher, pleurant toutes les larmes de son corps.

Et la, d'un coup ! La piste. La piste parfaite. Elle la remonta, sentant l'odeur d'un troisième. Des qu'elle le vit, ce mâle adulte, elle ne réfléchit pas, elle se rua sur lui, furieuse de voir ses enfants dans ses bras.

D'un mouvement vif, le mâle l'arrêta, s'enroula autour d'elle pour coller ses dents aux siennes.

Un tendre baisé.
Dans les bras du mâle, les deux petits souriaient.

« -Maman, maman, c'est papa ! » s'exclama alors avec bonheur Dream.

Le bonheur de la jeune mère fut alors encore plus grand. Le mâle était aussi blessé, des blessures même encore plus grave que celle que la belle femelle avait mais...

Mais il était la...

Somnia n'aurait même jamais crut un bonheur aussi grand possible.

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