Sans X Toriel (Soriel) : Pacifique

Commande d'@Japan_Empire, j'espère que ça te plait^^

Route pacifiste numéro deux, soixante-trois millième routes. Frisk à décider de ne plus reset et de laisser tout le monde vivre heureux à la surface. Elle respecte pour l'instant sa promesse faite à Sans.

Sixième mois passé à la surface, plus exactement cent quatre-vingt dix neuf jours à sentir le soleil sur ses os. Les monstres se sont bien installer et sont en paix avec les humains, comme si ils avaient toujours été la... ou, plutôt, comme s'ils n'étaient toujours pas la. Ca ne dérangeait pas le squelette. Lui, il vivait dans une peur bien plus grande. La peur des reset... surtout maintenant. Il était bien la, à la surface, Papyrus n'a jamais été aussi heureux. Et si aujourd'hui était le dernier jour de bonheur ? Que tout disparaissait ? Qu'il se réveillait dans sa chambre dans l'Underground ? Il ne le supporterait pas, pas après avoir passer tellement de temps à la surface. Déjà quand il ne passait que deux jours ou trois, ça lui faisait mal. C'était terrible. Un retour en prison alors qu'on est innocent... encore et encore et encore. Mais la, si l'humaine lui faisait ça, il allait en mourrir. Vraiment. Il ne pouvait pas retourner à cette vie... et encore moins subir une génocide... non. Si Frisk ne tenait pas sa promesse... il sera le premier à mourrir du génocide.

Mais il n'était pas encore question de cela... espérons que ça le rester... pour l'instant l'humaine était déterminer à tenir sa promesse. Elle avait même couper son âme en deux pour en donner une à Asriel et ainsi le ressusciter. La jeune humaine ne pouvait plus reset, plus créé de nouvelle timeline, plus faire de génocide, elle devait rester en pacifiste, elle devait tenir sa promesse. Et, quand elle voyait tout le monde heureux comme ça, elle ne pouvait que être heureuse de son choix. jamais elle ne changerait d'avis... mais Sans... lui se souvenait de tout... et il ne lui parlait plus. Comme si il n'avait pas confiance en elle. Alors Frisk faisait tout pour lui trouvait qu'elle tenait autant que lui au bonheur de tous. Voila pourquoi elle demanda à sa maman chèvre de l'aider à organiser un pique nique ! Et la professeur accepta avec plaisir, surtout en entendant qui les enfants avaient inviter : Undyne, Asgore, bon, on peut pas invité que des gens géniaux mais aussi Alphys et surtout Sans et Papyrus... surtout Sans. L'ancienne reine adorait la sentinelle squelettique qui avait autant de charme que son humour était hilarant pour elle. alors elle prépara tout joyeusement, ce qui n'échappa pas à sa fille adoptive, heureuse de la voir comme ça. Pourvue qu'elle redonne son légendaire sourire à Sans... après tout, ils formeraient un très jolie couple.
Le weekend arriva, ils étaient tous aller dans le parc de la ville, très heureux de passer du temps ensemble... sauf le plus petit des squelettes, lui restait seul, dans son coin. Il avait fait un cauchemars terrible.

Tout.

Il avait tout revécue.

D'un coup.

En une seule nuit...

Tellement de fois...

Il...

Il c'était sentit tomber en poussière... il avait tellement eut mal. Mais le pire c'était Papyrus. Oui... lui il avait mal... mais le voir tomber en poussière... son petit frère... non, il n'en pouvait plus ! Il ne voulait plus ! Il ne voulait plus rien. Juste rester ici, seul, tranquille. Calme. Il voulait être seul. Juste être triste sans avoir besoin de le cacher... de toute façon il ne pouvait e,n parler avec personne.
Papyrus pensait qu'il c'était encore endormit, il voulait aller le réveiller, pou qu'il participe un peu... il avait remarquer que son frère n'était pas du tout bien depuis un moment. Mais Toriel y alla à ça palace.
« -Toc toc.
-Qui est la ? » elle fit alors un bruit de chèvre.

« -Une chèvre ? Chèvre qui ?

-Reine chèvre ! » Sans rit doucement.
« -Elle est bone. » dit-il.

« -Oh, tu es trop gentil, elle est minable.

-Mais non madame, tu as un Sans de l'humérus SANSationnel. » elle éclata de rire.

Et ils continuèrent comme ça. Le squelette sentait son âme plus légère... son frère le remarqua. Il était temps que le grand Papyrus intervienne ! Quelque temps plus tard, il « empreinta » discrètement le téléphone de son frère et envoya une charmante invitation à Toriel, se faisant passer à la perfection de son frère.
« -Pap's qu'est-ce que tu fais ?

-Mon chère frère je... » pas le temps de finir sa phrase, il récupéra le téléphone et regarda, virant complètement au bleue.
« -Pap's... non... Papyrus... non... t'as pas fait ça quand même !

-Mais grand frère...

-Non ! Pourquoi je... elle va jamais dire... » le téléphone vibra, un message...

Une réponse...

« °Avec plaisir Sans, quand et où ? » elle... elle voulait ?

Oui... vraiment ?

Sans était tellement heureux.

Elle voulait ! Mais il n'en était que plus bleue. Toujours plus gêné... mais elle avait dit oui ! Papyrus reprit le portable et répondit.

« -Et voila ! Rendez-vous chez Muffet à seize heure demain ! » ça vibra encore...

« °Parfait à demain 😘 »

Oh... merde...

Oh... merde...

Il était tellement heureux...

Mais tellement gêné...

Le jour du rendez vous ce n'était pas mieux, au contraire. Il était tellement gêné qu'il ne faisait que des blagues, exaspérant toute la clientèle... tous à par une... la plus importante. Mais, dans son malaise, il ne s'en rendit même pas compte. Alors, deux heures plus tard, Toriel dû rentrer, Sans la raccompagna, et, alors qu'il allait s'excuser de son comportement qu'il jugeait désagréable, elle l'embrassa.
« -Merci pour ce rendez-vous, il était des plus agréables. »

Sans était encore plus bleue... encore plus heureux...

Et ainsi ce conclue l'histoire du premier rendez-vous d'une longue liste.

« -Alors à quand le mariage ? » demanda Asriel.
Frisk dit qu'elle voulait aussi savoir, toute sourire et joyeuse de voir sa maman chèvre heureuse avec Sans.

Le squelette était beaucoup mieux... il semblait même avoir enfin compris qu'il n'y aura plus de génocide, plus de reset. Il profitait de sa vie près de celle qu'il aimait. Mais, en entendant la question et en voyant les regard insistant des enfants, les deux prirent des couleurs, ne sachant pas quoi répondre. Et puis... ils échangèrent un doux regard l'un avec l'autre...

« -Pourquoi pas... » dit Toriel.

« -Ce serait un plaisir Madame. » poursuivit Sans.

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