Ræsvel et Drasil (Pokerverse) : Leurs rencontre
(C'est des OC d'@Atisuto-no-tamashi, la sphère est aussi la création d'@Atisuto-no-tamashi.)
Commande d'@Atisuto-no-tamashi, j'espère que ça te plait^^
L'incarnation de la vie humaines se nommait Drasil. C'était un squelette d'apparence jeune mais il l'était pourtant loin de l'être, il ne se souvenait même plus de son âge tellement il était grand. Le squelette aux os blanc était doté de cornes avec les quels il captait d'étrange cristaux, c'était eux qui lui permettait de ressentir des émotions. Sans ça il ne serait plus qu'un être insensible qui continuait encore de chercher son pinceau chéri. Son grand pinceau qui lui servait d'arme et qu'il avait perdu il y a si longtemps. Il s'en voulait... se pinceau, c'était son seul ami... maintenant qu'il l'avait perdu, il restait la, seul, dans cette clairière à capter ses cristaux. Tout seul... il n'avait rien d'autres à faire. Rester la, au coeur de cette calme et tranquille forêt où il vivait entourer de verdures et de fleurs. Tout seul.
Loin de la où il était, perdu dans une grotte, un autre être puissant était seul. Lui dormait, enrouler dans son cocon, il adorait dormir. Surtout comme ça, tranquillement. Il ne dormait que quand il savait que personne ne pourrait le déranger, que personne ne pourrait le trouver. Il dormait. Il dormait en attendant d'aller récupérer l'énergie d'une âme mourante. C'était ça son rôle, la mort, son âme ne battait que pour cela, il était la mort, il était... il est Ræsvel. Il attendait en dormant, il aimait dormir, il aimait se nourrir de l'énergie des âme presque morte. Il aimait ce qu'il était. Alors il attendait de pouvoir se libérer de ses câbles qui formaient son cocon pour prendre son envole à l'aide de ses bras et de sa magie. Ce squelette noir droit et fière...
Il attendait...
Son opposé aussi.
Ils attendaient tout les deux...
Mais pas vraiment d'accomplir leurs devoirs, de faire ce que leurs rôles leurs dictaient.
Non, ils attendaient de se revoir. Une nouvelle rencontre.
Ils étaient opposé...
Mais, ils avaient très bin compris une chose, même s'il ne se l'admettait pas : ils étaient complémentaire. La vie ne pourrait continuer d'exister sans la mort, comme la mort ne pourrait être sans la vie. On ne peut créé sans détruire et on ne peut détruire si rien n'est créé. Ils l'avaient tout deux compris mais ne voulait pas se l'admettre. Aucun des deux squelette, qu'il est des os noir ou des os blanc n'osait avouer ses émotions à l'autre. Un par fierté, l'autre par incompréhension de ses émotions mais les deux aussi et surtout par croyance. Même s'il avaient tout les deux compris qu'ils étaient complémentaire, il n'était pas question de l'admettre. Il n'était pas question d'être avec l'autre... même si c'était leurs seuls et unique volonté.
Il ne fallait pas...
Ils ne devaient pas !
Mais il n'était plus temps de cela, il n'était plus temps d'attendre, il était temps. La fin de toute chose devait rencontrer le début de toute chose. Ils le sentirent. Ils devaient se rencontrer, une âme puissante venait de s'éteindre, une âme particulière. Une âme qui pouvait revenir sous une autre forme ailleurs... le devoir de Drasil était donc de lui permettre de recommencer une nouvelle vie... mais nul ne peut recommencer, toute chose doit avoir une fin sans chance de retour... et ça, c'était le devoir de Ræsvel.
Drasil était un pacifique... mais pas la, quand il était question de protéger, il se battait. Il devait se battre de toute façon... c'était son rôle.
Ræsvel par contre était un combattant, un vrai. Mais il n'avait pas envie de se battre tout le temps, parfois et surtout par paresse... mais aussi pour une émotion qui le rendait faible selon lui...
Leurs amour l'un pour l'autre...
Le combat commença. Des câbles, des jets de peintures, des attaques redoutable que chacun échangeaient, voulant blesser l'autre. Voulant repousser l'autre... voulant le blesser mais à contre-coeur. Les puissant bras du squelette noir qui auraient facilement put écraser le squelette blanc trouvaient toujours opposition à la seul chose qui pouvait le repousser : les cornes de la vie même.
Et, au final, c'est Drasil qui gagna, non pas le combat mais la bataille...
L'âme était à nouveau en vie, une nouvelle vie, de nouvelles aventures...
Et eux devaient retourner de la où ils venaient. Attendant à nouveau une rencontre... sauf que cette fois, il ne pouvait pas, Ræsvel ne pouvait pas. Il était blesser. Et Frasil ne pouvait pas le laisser comme ça. Pousser par ses émotions, par cette amour qu'il ne voulait pas ressentir, il l'emporta avec lui, loin, dans sa clairière. Leurs deux magies en harmonie parfaite se blottir l'un contre l'autre, aimante, elles voyaient l'opposé...
Ils n'en pouvaient plus de cette guerre pour l'équilibre, ils n'en pouvaient plus de ses rôles, de ses devoirs qu'on leurs avaient imposer. Non, il n'en pouvait plus. Ils restèrent l'un contre l'autre... dans les bras de l'autre.
Jusqu'à ne plus pouvoir retenir tout cela, jusqu'à que cette amour inavouable ne devient le plus fort. Plus fort que la fierté, que le devoir, que l'incompréhension.
Plus fort que tout...
Au point que, pousser par cela, ils s'unirent en un tendre baisé. Un premier... dans les bras l'un de l'autre, un baisé pour aller plus loin, pour céder à l'autre.
Un baisé pour créé une nouvelle vie.
Le lendemain, Drasil se réveilla pour voir Ræsvel alléger ses lourd et puissant bras à l'aide de sa magie et s'envoler...
Pour le quitter...
Ils avaient céder une fois...
Et, de la magie censé tout détruire, quelque chose se créa.
Un gardien de l'équilibre...
Un gardien de leur précieuse émotions...
Une raison plus douce de se voir.
Drasil, créateur de la vie dont le battement de son âme permettaient à tout les autres âmes de continuer de vivre, avait créé une vie avec la mort...
Ræsvel dont l'âme par son battement donnait la fin de la vie avait donner naissance à quelque chose...
Ils avaient créé par leur simple volonté une chose merveilleuse.
Leur enfant.
Le père avait donc une bonne raison de ne plus dormir, de se réveiller uniquement pour récupérer une âme. Non, maintenant il venait souvent, très souvent même voir son opposé. Voir son amour et son enfant... il volait une fois par semaine voir sa famille...
C'était tout ce qu'ils voulaient.
Voir l'autre...
Voir le bonheur...
Voir autre chose que leurs combat...
S'aimer...
Juste s'aimer pour être l'un avec l'autre...
Pour leur fils.
Leur petit secret à eux deux.
Leur petite vie à eux d'eux.
Leur famille.
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