Hey~ Alors je me suis fait taguée pour écrire un OS (franchement, on ne peut pas dire que ce soit une plaie puisque j'aime écrire donc m'en fiche !) Et je me suis faite taguee Par une personne que j'apprécie donc c'est génial ! (Svp, taguez-moi pour écrire, pas pour parler de Moi, je n'aime pas parler de mon cas ToT)

La personne qui me fait plaisir : Shinku-kun (merciiii !) 😘

Les consignes, vous les avez sur l'image et voici les mots que je devrais mettre dans mon histoire :

Boku No Pico
Guerre
Poteau
Simpson
Retour
Soixante-neuf
Lit
Tableau
Énorme
Bougie

En lisant tout ceci et si vous avez la même façon de penser qu'une yaoiste, vous vous rendez facilement compte qu'elle-même est une fan. Alors comment voulez-vous ne pas faire qqch avec du Yaoi, franchement ? Bref..
Alors bah.. c'est parti !!

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J'ai mal.. tellement mal au ventre que j'en ai marre.. J'ai mal à la tête.. et j'ai ce goût infâme dans le fond de ma gorge.. Pourquoi a-t-il fallu que je tombe malade pile aujourd'hui ? Pourquoi ?

Ça faisait six mois aujourd'hui qu'on sortait ensemble et on avait décidé de le fêter. J'avais tout prévu et sorti le summum du romantisme. J'ai supplié mon manager de me laisser deux journées de congé et à force de persuasion, j'y suis parvenu. J'avais préparé des tonnes de bougies parfumées pour pouvoir les brûler et nous mettre dans une ambiance ultra romantique. J'avais même appris à cuisiner pour pouvoir le gâter, avais acheté des cosplay sexy pour lui faire plaisir. Tout allait être parfait et j'en étais plus que fier. J'avais tout imaginé pour que ce soit aussi beau et bien réalisé qu'un tableau du plus réputé des peintres de la renaissance. Mais non, il a fallu qu'hier je prenne froid sur le shooting d'une pub où j'étais à moitié nu. Le pire, on est en hiver. Et j'étais resté des heures dans cette tenue, enfin si on peut appeler cela comme ça. Alors, bien évidemment, je suis tombé malade et j'ai du tout annulé auprès de mon amoureux.

Alors que je commençais à m'ennuyer, j'ai décidé d'allumer ma télévision et de zapper les chaînes jusqu'à trouver qqch d'intéressant. Je suis d'abord tombé sur un dessin animé qui me ramena en enfance : Tom & Jerry. Alors que ce timbré de chat courrait après cette si maligne souris dans la rue, il se prit un poteau, ne l'ayant absolument pas vu. Ça m'a rendu nostalgique et j'ai entamé plusieurs épisodes, en laissant échapper deux-trois rires. Puis, quand c'était fini, j'ai repris en main la télécommande et ai continué de zapper jusqu'à tomber sur l'émission qui est certainement la plus connue au monde : les Simpson. Alors que je regardais cette émission complètement stupide mais si drôle, je finis par m'endormir dans un profond sommeil.

J'étais nu, dans ce gigantesque lit en baldaquin, avec un god en forme de queue de chat dans le cul, des oreilles de chat sur la tête et attendait tranquillement mon homme. C'est alors que j'entendis ses pas de félin arriver et le vit en peignoir. Il s'approcha de ce lit d'hôtel qu'on avait loué pour une nuit torride en amoureux et laissa glisser ce tissus qui m'empêchait de voir ma marchandise préférée. Quand le seul et unique habit de mon balsané fut au sol, il vint au-dessus de moi, me dominant complètement. J'étais tellement excité mais également complètement absorbé par son regard enflammé. C'est alors qu'il prononça de sa voix devenue rauque par le désir ce prénom qu'il n'utilisait uniquement quand nous sommes dans une position intime.

<< Ryôta.. tu me rends fou, mon félin.. >>

Alors que j'étais complètement excité, une odeur alléchante me sortit de ma torpeur et me réveilla. Ce douloureux retour à la réalité me fit réaliser que ce n'était qu'un rêve après une horrible toux, m'arrachant presque ma gorge. Si ça continue comme cela, je vais finir par cracher mes poumons, je vous jure. C'est alors qu'un éclaire me traversa : d'où provenait cette odeur ? Était-ce un voleur ? Mais pourquoi un voleur ferait de la cuisine ? Mais alors qui est-ce ?

Je m'enroula dans une couverture et me leva, je marchais lentement. Tellement que j'en eu l'impression que marcher était un calvaire et qqch de surhumain, en étant parfaitement incapable tellement que la terre tournait sous mes pieds. Lorsque j'arrivais enfin à l'entre-bâillement de la porte de la cuisine, j'étais enfin parvenu à mon but. J'avais l'impression d'avoir accompli un exploit et était fier de moi. Évidemment, je savais que ce que je venais de réaliser était tout bonnement banal et que c'était ridicule d'être autant fier de ce genre de banalité, mais je n'en ai que faire. Ma vue était trouble et je levais mon visage pour regarder ma cuisine et c'est là qu'il me semblait voir une apparition. Un ange ? Certainement. Ça ne pouvait être rien d'autre. C'est alors que ça s'éclaircit légèrement pour mes yeux et je vis enfin qui était mon ange gardien.

<< A.. Aominecchi.. >> dis-je d'une voix à peine audible.

Je le vis se redresser, il se retourna et là, mon cœur explosa. Il avait enfilé un de mes tabliers (c'est à dire un tablier blanc avec des chats dessus de toutes les couleurs), portait en dessous un pantalon noir, une chemise bordeaux et une cravate noire avec des rayures bleu électrique à peine visibles tant que c'était foncé. Je me sentis mes joues rosir et je chancelai. Alors que le sol me semblait se rapprocher rapidement tellement que mes jambes m'avaient réellement lâché, je sentis les puissants bras de mon petit ami me rattraper et ma tête se retrouva contre son torse. Je levais légèrement ma tête et le vis comme fou d'inquiétude et je m'en suis voulu.

<< Bordel Kise.. pourquoi tu t'es levé ? T'aurais dû rester au lit ! >> haussa-t-il le ton pour murmurer par la suite. << Même si techniquement t'étais sur le canapé.. >>

Je souris. C'est très plaisant de le voir autant aux petits soins à mon égard. Je me suis collé contre lui en le serrant dans mes bras qui se sont affaiblis à cause de la maladie. Il sent tellement bon. À croire qu'il a mis le parfum que je lui ai offert la dernière fois (on m'avait envoyé deux bouteilles, et cette odeur fait tellement virile que je les lui ai offert car sinon, à chaque fois que je penserai à lui avec cette odeur je serais devenu complètement fou..) Okay, faut que je me calme, moi. On dirait l'une de mes fans hystériques..

Je l'entendis soupirer et je me sentis comme transporté. Peut-être est-ce le fait d'être dans ses bras qui me donnent la sensation de voler ? Ou tout simplement qu'il te porte comme une princesse, idiot.. Mais ça fait de lui mon prince ? Oula, la fièvre me fait divaguer.. Après quelques minutes dans les bras de mon prince (j'aime comme ça sonne), je ne sentis plus sa chaleur et au lieu de ses bras rassurants, je me retrouvais sur mon sofa. Il est confortable, je ne dis pas le contraire, mais dans mon état je me sentais tellement rassuré pour "x" raisons. Il me laissa là, puis revint plusieurs minutes plus tard avec un plateau et un porridge chaud, le posa sur la table basse pour aller chercher une mini-table comme les hôpitaux pour me faciliter la tâche. Comment ne pas l'aimer, mon homme ? Après m'avoir très bien installé et confortablement (il s'est assuré que mes pieds étaient bien au chaud), il s'est installé à mes côtés, a mis un bras autour de mes épaules afin que je sois contre lui et il était aux petits soins avec moi. Dès que j'avais de la peine, il m'aida et autant le dire que j'en ai bien profité. C'est bien le seul que j'apprécie autant d'attention. Les autres, ça me gène et je fais tout pour tenter d'avoir le moins d'attention que possible alors qu'avec lui, je fais tout pour capter son attention sur moi uniquement (et je peux vous dire que ce n'est pas facile). Une fois par exemple, il y avait une femme qui avait jeté son dévolu sur lui alors qu'il travaillais dans un job d'été dans un café en tenue de majordome. J'ai du faire une énorme commande pour ne l'avoir qu'à moi et j'avais récolté tous ses regards noirs, alors que moi j'étais fier. Bon après je ne cache pas que j'avais du mal de ne pas bavé et de ne pas vouloir lui sauté dessus tellement que ça le rendait sexy mais ça, c'est une autre histoire. Bon, après j'ai du lui expliqué mon comportement et ça, c'était moins drôle..

Je venais de terminer le repas de mon chéri (c'est un véritable cordon bleu) et je me blottis un peu plus contre lui pour profiter de sa chaleur corporelle. Lui, avait un bras enroulé autour de mon corps et parcourait les chaînes. Alors que je commençais à m'assoupir, mon Aomine me posa une question qui me figea dans ses bras.

<< Oh fait.. quand j'étais arrivé tu dormais profondément mais tu as gémi durant ton sommeil.. De quoi tu rêvais ? >> me demanda-t-il un sourire en coin.

Je n'osais plus bouger tellement que la surprise était forte. Je me sentais rougir, mais pour le coup, on pouvait mettre ça sur le dos de la maladie. Alors, prenant une profonde respiration pour tenter d'atténuer les battements de mon cœur, je bafouilla une réponse.

<< De rien.. je ne m'en souviens pas.. C'était peut-être la fièvre qui agissait durant mon sommeil ? >> essayais-je.
<< ... Peut-être.. Sauf que tu as gémi mon prénom, mon cœur. >>

.... Oups. Je suis dans une position assez gênante et délicate. Surtout qu'après ce qu'il a dit, j'ai relevé la tête et que je me perdrais presque dans son regard si profond mais surtout, légèrement trop intense si vous voulez mon avis. Et c'est moi ou la température de la pièce a monté d'un cran ? On a décidé ensemble que nous nous appèlerons par nos prénoms uniquement pendant les moments les plus intimes. En clair : au lit. On ne voulait pas que soit mes fans, soit d'autres personnes ne s'en prennent à l'un des deux, donc on fait en sorte de garder notre relation secrète. Mais bien sûr, c'est sans compter sur ma possessivité nouvellement acquise, ma rivalité avec les personnes qui le regardent un peu trop et son indifférence physique. Il est certainement celui qui montre le moins ses sentiments de nous deux, et je n'aime pas vraiment ça. Parfois, je tenté de le rendre jaloux, mais je n'y arrive pas vraiment à avoir les réactions voulues. Alors qu'en fait, ça devient le contraire. D'ailleurs, la personne que je jalouse le plus, c'est Momoicchi. Elle sait reconnaître tellement facilement toutes ses réactions, elle arrive à deviner ses sentiments et connaît toutes ses facettes. Il avait souvent essayé de me rassurer en me disant que ce n'était qu'une pote, que son amie d'enfance, qu'il ne la considérait même pas comme une fille, mais comme une sœur (pour lui, c'est très différent), je n'y arrive pas. D'ailleurs, il est très souvent aveugle de ses propres charmes. Et ça me rend dingue. Pourtant, et je le sais, je n'ai aucun droit de me plaindre de la sorte, puisque c'est moi qui ait exigé cette contrainte : cacher notre relation. C'était pour le protéger et le garder loin des projecteurs. Mais cela voulait aussi dire qu'il ne rencontrera pas ma famille, comme je ne rencontrerai pas la sienne. D'ailleurs, je perds sur ce point-là face à Momoicchi également. Mon fauve n'arrête pas de me dire qu'il a l'impression que je lui ai déclaré la guerre, s'il savait à quel point il avait raison.. mais je ne lui dirait jamais, sinon il se mettrait en colère et partira loin de moi. Pour lui, il ne s'énerve pas, mais il ne peut pas supporter quand c'est pour les autres, donc je fais de mon mieux pour cacher ma jalousie quand on est avec rose bonbon.

Bref, revenons à nos moutons et là c'est : il faut que j'arrive de changer de conversation ! ... Non, faut d'abord que j'arrive à arrêter de le regarder, oui. Alors je pris la télécommande et me remis face à l'écran, sans voir le sourire devenu plus grand de mon copain dans mon dos. Alors que je pressais tous les boutons pour changer de chaînes, j'ai mis sans le vouloir la chaîne que je mets pratiquement jamais : le numéro soixante-neuf. Et sur cette chaîne se trouvait : une émission sur les bébés animaux. J'étais complètement attendri et avais lâché la télécommande. Puisque j'étais de dos, je ne pouvais pas remarqué le regard de mon copain parcourir ma nuque et donc de descendre plus bas dans mon dos. C'est alors que je sentis un frisson me parcourir quand je sentis ses doigts frôler ma colonne vertébrale et autant le dire : j'aime qu'il me touche mais là.. c'était gênant. Il profita de la déconcentration pour changer de chaîne et je réagis tout de suite, essayant d'atteindre ma télécommande. Sauf que pour le faire, je m'étais retourné et j'étais donc face à lui, complètement collé contre lui et sur lui. Je faisais de léger saut essayant d'attraper cette télécommande mais je ne vis pas son visage devenir légèrement rouge, ni qu'il se mordillait là lèvre, semblant se retenir, et encore moins sentir cette chose qui se formait sous moi, dans son pantalon. C'est alors qu'il venait de changer de chaîne, il se figea en écarquillant ses yeux en regardant l'écran et Moi j'attrapai (enfin) la télécommande. J'avais un sourire fier qui se crispa en entendant ce son sourd venir de la télé. Je me retournais doucement jusqu'à voir une certaine chose assez gênante. C'est là que mon regard lu ce qui était en train d'être visionné et j'ai murmuré d'un son à peine audible.

<< B.. Boku no.. pico.. >>

Toujours dans la même position, et alors que je rougissais de plus en plus, de nouveaux gémissements se firent entendre et ils venaient de devant moi. Je me tournais vers mon chéri et remarqua enfin qu'il était à bout et à deux doigts de me dévorer. D'ailleurs, il avait émis un second gémissements quand je m'étais remis complètement assis sur lui et c'est là que je tiltais enfin. Je me suis frotté contre lui, je l'ai excité et maintenant avec ce qu'il y a derrière moi, il est à bout. Et ce que je redoutais arriva :

<< R.. Ryô.. >>

Ma barrière lâcha prise et je l'embrassai passionnément. Je ne pensais même pas à la possibilité que je pouvais le contaminer et à première vue, lui non plus puisqu'il y répondait et me caressait mon fessier. Je gémissais durant notre baiser et m'éloigna, rapidement à court d'oxygène. Je lui caressais la joue et ses mains devinrent baladeuses, à mon plus grand plaisir. Il commença alors à me lécher et me mordiller le cou, me laissant des marques bien visibles. Je devenais fou de bonheur et d'excitation. Maintenant que j'y pense, le rêve que j'avais fait tout à l'heure était peut-être prémonitoire à deux choses près : on n'était pas dans une chambre d'hôtel mais dans mon salon avec en fond une émission qu'on ignora au final et je n'avais ni oreilles, ni queues mais une bonne grosse maladie. On laissa nos corps s'exprimer leur amour durant toute la nuit, pour se retrouver autant malade l'un que l'autre le lendemain. Mais ce n'est pas plus mal. Ce qui au départ partait pour être un vrai calvaire est devenu une torride nuit d'hiver. Et connaissant la perversité de mon Daiki, on ne risquera pas de s'arrêter, peu importe notre santé.

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Pouuua.. enfin terminé après plus de 7 heures de travail.. Bon ! Maintenant, vérifions si on a tout respecté :

Les 10 mots donnés sont (normalement) tous là donc ✔️
Les 100 mots minimum sont devenus 2477 mots.. donc clairement ✔️
Et les 10 personnes.. j'ai finalement décidé de mettre personne. Car franchement, je sais que ça peut être dangereux pour certain car ils n'arriveraient peut-être pas à écrire qqch.. mais voici les mots si jamais il y a des challengers qui veulent relever le défis :

Chats
Chocolat
Anticonstitutionnellement
Allergique
Phobie
Mignon
Amitié
Péripatéticienne
Roue
Glacial

Qui a dit que ça allait être facile ? :3