Genos x oc {One Punch Man} OS

Voici un petit one shot sur l'univers de One Punch Man, j'espère qu'il vous plaiera, et j'arrête de blablater pour vous laisser lire

ATTENTION
Il y a UNE replique de personnage qui est vraiment... sâle. Donc si vous souhaitez la passez, elle est encadrée de feux signes en gras

~

- Je vous dit que c'est une erreur !! UNE PUTAIN D'ERREUR !!

Immobilisée par un appareil de détention créé par l'association des héros, une jeune femme aux long cheveux noirs se debattait et hurlait dans les couloirs de la prison d'Alcatraz.
Cependant, ses gardiens n'y prétaient aucune attention.

Ils déverrouillèrent la porte de la cellule collective et y jettèrent la pauvre jeune femme sans la moindre delicatesse.

Le lourd battant de fer se referma, la laissant désormais en enfer.

Des prisonniers approchèrent

- Mais dites moi que je rêve c'est une nénette !! S'écria le plus proche

Des rires gras et rauques retentirent mais elle n'y prêta pas attention. Elle se releva doucement et attacha c'est longs cheveux noirs en une queue de cheval haute, mais même comme ca, ses mèches tombaient au milieu de son dos. Deux encadraient son visage et tombaient négligemment sur son front.

- Alors ma jolie, on a pas été sage et on se retrouve au trou, fit un homme en s'approchant.

[∆]

- Le sien doit être trop bon, ricana un autre en la reluquant de la tête au pied.

[∆]

Elle vit rouge. L'instant suivant, l'homme etait allongé par terre, le bras tordu, criant de douleur

- Une femme, ca se respecte sale con, cracha t elle en le lâchant.

Les prisonniers formèrent instinctivement une ronde autour de la jeune femme, certains en position de combat, d'autres la matant allègrement.

Quelques uns tentrèrent de la prendre par surprise en se jetant sur elle tous en meme temps, mais c'etait peine perdue. Elle les esquiva aisément, utilisant leur vitesse pour les propulser les uns contre les autres, détournant leur trajectoire ou usant de mouvement de balancier. Les spectateurs se mirent a la huer et certains se rajoutèrent au combat.

- SILENCE !! Hurla soudainement une voix.

Immédiatement, tous les prisonniers se turent. Les K-O s'ecarterent en rampant de leur bourreau et se réfugièrent derrière les hommes encore valide.

D'abord surprise, la nouvelle éclata de rire.

- Mon Dieu, même des loosers comme vous ne sont que de simples moutons derrière un chef de troupeau !!

Elle se plia en deux et essuya les larmes perlant aux coins de ses yeux.

- Chuuut tais toi tais toi tais toi !! Fit un homme décharné. Tu vas énerver le boss !!

Son rire redoubla et l'homme fut contraint de lui expliquer en quoi le "boss" etait si redoutable.

A la fin des explications, elle sourit

- Moi, contrairement à vous, je n'ai rien à craindre...

Les hommes les plus proches déglutirent. Non, elle n'allait quand meme pas...

- VIENS LÀ BOSS DE MES DEUX JE T'ATTENDS !!!

Au début, seul le silence lui répondit, et les prisonniers se surprirent à espérer. Mais des bruits de pas pesant les terrifièrent de nouveau.

Une masse sauta de la plateforme la plus proche et atterrit brutalement devant la jeune femme en créant un cratère.

Elle dut lever la tete pour le regarder en face. Elle s'attendait a ce qu'il soit grand et imposant mais a ce point...

-C'est toi le nouveau qui veut me défier, prisonnier 488... Je vais devoir te punir, mais avant, quel est ton nom.

- Je suis la nouvelle prisonnière. Je m'appelle Reyna

- Une femme ? S'étonna le boss. Mais je ne peux pas te punir alors !! Je ne punis que les hommes...

Reyna rit.

- Mais tu ressembles étrangement à un des hommes que j'aimerai le plus voir aussi...dit il. C'est un ninja il s'appelle...

- Sonic le Foudroyant, compléta la jeune femme. Oui on se ressemble. Mais on a aucun lien de parenté. On a été élevé au mêmeendroit, c'est tout. Récemment il s'est fait attrapé par un hérosde classe C sauf qu'il a échappé à la surveillance de ses gardiensle temps de l'organisation de son transfert ici. Du coup, aprèsl'avoir perdu de vue, c'est sur moi qu'ils sont tombés et m'ont prispour leur prisonnier, d'où ma présence ici, expliqua la noire au''boss''.

Il hocha la tête.

- Puisque tu es la seule femme dans cemonde de brute, je t'accorde l'immunité, dit-il. Au passage, je suisPri-pri-prisonnier, super-héros de classe S, annonça l'homme en luitendant la main.

Elle la serra avec un sourire.

- Je crois qu'on ne s'est pas présentécorrectement. Istar Reyna, surnommée Reyna l'étoile filante,héroïne de classe B.

Il sourit.

- Vu que tu es ici par erreur, laprochaine fois que je me fais la malle, je t'embarque, collègue.

Elle le remercia d'un clin d'oeil

- Avec plaisir !


~~


Cela ne faisait même pas une dizained'heures que la jeune femme supportait l'odeur de testostéronequ'une occasion de fuir se présenta.

- Mon stinger-chou a des ennuis !!s'écria Pri-pri-prisonnier depuis sa cellule.

Il bondit hors de la petite pièce etattrapa le bras de sa récente amie.

- On se casse l'étoile filante, j'ai unbeau gosse à aller sauver !!

Il se mit en position de départ etattendit qu'elle grimpe sur son dos.

- Qu'est ce que tu fous encore ?!S'énerva-t-il en la voyant debout derrière lui les mains dans lespoches.

- Je te laisse ouvrir la voie.T'inquiète pas, j'arriverais à te suivre.

Il hocha la tête sans rien répondreet fonça. Reyna sourit. A peine le trou créé par la fuite dusuper-héros, elle fila à la vitesse dépassant le mur du son, cequi lui avait valu son patronyme d'héro.

Ils arrivèrent dans une ville en bordde mer et elle s'empressa d'aider les héros en difficultés.

L'histoire fut rapidement réglé.

Elle aperçut plus loin deux hommes entrain de discuter. Un chauve habillé d'un costume et d'une cape,ainsi qu'un jeune homme blond cendré visiblement cyborg au vu de sesbras. Le chauve l'aperçut du coin de l'oeil et soupira.

- J'en ai franchement marre de te couriraprès Sonoc le Bruyant.... soupira-t-il à son intention.

D'abord énervée d'être de nouveauconfondue avec cette abruti de ninja, elle explosa de rire enentendant le nom utilisé.

Le cyborg ne sembla pas apprécier.

- Tu oses te moquer de mon maître ?!

Il se rua vers elle à la vitesse del'éclair, mais à ses yeux, c'était trop lent. Beaucoup trop lent.

Il leva le bras pour la frapper maisaussi rapide que le vent et silencieuse comme la brise, elle bloquason bras de la main et le retourna afin de le faire s'écraser ausol. Elle s'assit en tailleurs sur son ventre, appliquantdélicatement une lame contre sa gorge métallique.

- Sonic, laisse Genos tranquille !!C'est contre moi que tu veux te battre, non ? Fit le chauve.

La jeune femme soupira.

-Pour la dernière fois, je ne suis pascet abruti de ninja débutant !! s'écria-t-elle.

Comme le matin même, le silence seullui répondit, du moins, le silence des deux hommes.

Pri-pri-prisonnier s'approcha et posaune de ses grosses paluches sur son épaules.

(NDA : pour ceux qui savent pas,''paluche'' = main)

-Reyna, évite de le tuers'il-te-plaît, c'est quand même un beau mec. C'est Génos, unsuper-héros de classe S.

La noire soupira et retira sa lameavant de se relever.

Le cyborg se releva à son tour ets'épousseta.

-Maintenant que je t'ai vu de près, jete reconnais. Tu es Reyna l'étoile filante, super-héroïne declasse B, expliqua-t-il.

Elle hocha la tête.

-C'est fou comme tu ressembles àPanique ... fit le chauve, s'appelant apparemment Saitama, au dire duprisonnier en cavale.

-Ouais je sais. Mais c'est qu'unblaireau.

-Bien d'accord.

Elle sourit. Ces deux gars lui plaisaitbien. C'était des personnalités atypiques. A voir si ilss'entendraient bien avec le temps.


~


Reyna soupira.

Saitama venait de foncer tête baisséedans un vaisseau alien ennemi pendant que les autres super-héros declasse S étaient contraints de se battre au sol. Il avait affaireavec une entité humanoïde capable de se reconstituer, peu importaitla taille des fragments de son corps. Jusqu'à ce qu'ils découvrentson poing faible. La bille, source de son pouvoir, à l'intérieur deson corps.

Comme les héros faisant bloc face àune qui possédait trois têtes en un corps, Reyna se retrouvaitseule face un de ses êtres bizarroïde simple.

Elle grommela et esquiva agilement uncoup maladroit mais puissant du monstre.

Alors qu'il se redressait lentement,elle lança habillement un shuriken qui se planta dans son abdomenavant d'exploser.

Les dégâts privèrent la créature deses jambes mais presque aussitôt, elles se ressoudèrent au haut deson corps.

Elle soupira de nouveau. Il étaitincrevable ou quoi ?

-Besoin d'aide, étoile filante ?Demanda une voix près d'elle.

-Volontiers calculette électronique,répondit-elle après avoir reconnu sa voix. J'ai pas vraiment tacapacité de calcul mental. Si je fais exploser entièrement soncorps à l'aide de 26 shurikens possédant une charge explosive de 10bâtons de dynamite chacun, je dispose de combien de temps pourepérer la bille ?

Le cyborg se concentra tout en évitantles coups du monstre et finit par répondre

-1,809 secondes, nébuleuse en fin devie.

-Merci tas de ferrailles, répondit-elleavec un clin d'oeil.

Elle dégaina ses ''bébés'' commeelle aimait les appeler. Treize dans chaque mains.

D'un mouvement souple, elle sautapar-dessus un bras qui allait la percuter de plein fouet et lançases armes.

Ils se plantèrent dans le corps dumonstre et provoquèrent une explosion qui souffla Reyna et Genos surquelques mètres.

Mais elle n'attendit même pas la finde la déflagration pour se jeter sur l'emplacement où se trouvaitle corps. Elle se mit à fouiller les décombres à la recherche dela bille

-Putain elle est où encore merde !!

-Reyna !!

Genos se jeta sur elle et ils roulèrentsur les décombres un peu plus loin.

Pendant qu'elle était absorbée par labille de l'extraterrestre, celui-ci c'était reformé dans son dos ets'apprêtait à lui porter un coup qui lui aurait été fatal sansl'intervention du jeune homme.

Ils finirent par s'arrêter sur desgravats, lui la serrant fort contre son torse et elle, ses mainscrispées sur ses épaules. Elle laissa doucement retomber sa têtesur le sol et reprit sa respiration.

-Merci sale rouillé, sourit-elle enessayant de prendre de grande inspiration.

-T'es complètement inconsciente ouquoi ?! Lui hurla le cyborg en s'appuyant sur ses bras pour ladégager de son poids.

Surprise, elle releva la tête verslui. Elle ouvrit la bouche pour lui répondre mais il la coupa .

-J'aurais fait quoi si t'étais mortesous mes yeux sans rien pouvoir faire ?! Alors que je suis censéêtre un héro de classe S et que tu viens de passer en A ?!

-Qu'est ce que j'en ai à foutre que tusois en classe S ou même en Z ?! s'écria-t-elle. Je suis unegrande fille qui est capable de se défendre toute seule !!Alors ta fierté masculine et ton orgueil mal placé de super-hérosqui peut voir mourir personne, tu peux te les carrer là où je penseGenos !!

-C'est pas ça !! lui cria-t-il

-Alors c'est quoi bordel de merd- !!

-Bon les tourtereaux, vous me direzquand vous aurez fini votre dispute. Parce que, pendant ce temps-là,je vous ai évité de mourir, coupa Bang en montrant la flaque dumonstre fondu.

Terriblement gênée, Reyna remarquaenfin la position dans laquelle ils se trouvaient. Elle étaitplaquée au sol par un Genos à genoux la maintenant par les épaules.

Elle se dégagea sèchement de sonétreinte et se releva. La jeune femme remercia le maître de dojo etleva la tête vers la structure en lévitation.

Elle était en piteux état aprèss'être pris ses propres missiles.

Au bout d'une dizaine de minutes,Saitama finit par redescendre, expliquant que le chef ces aliens luiavait fait un magnifique monologue de méchant. Reyna sourit, puIs,voyant que tout était fini, se tourna vers Pri-pri-prisonnier sansaucune gêne.

-Je vais rentrer chez moi le nudiste.Tâche de pas trop défoncer le mur de la prison jusqu'à ce que jete rende visite, rit elle en le saluant.

Elle adressa un signe de la main auxautres héros et se volatilisa, devenant invisible à l'oeil humainlorsqu'elle courait.

Reyna arriva chez elle une minute plustard. Enfin, chez elle ... c'était un bien grand mot.... Ellehabitait dans un énorme arbre de la forêt bordant la ville Z. Seslarges branches à une dizaine de mètres du sol et son feuillagetouffu constituait ce qu'elle préférait niveau confort. L'airrempli d'odeur de la nature, la musique des insectes sansl'intervention des hommes, de la verdure à perte de vue et surtout ...la sensation d'être un individu à part entière et non un individudans une masse. Elle pouvait à sa guise contempler le mondes'étalant au-dessous et ou loin d'elle. Et la nuit, avant des'endormir, elle contemplait la voûte constellé de fineslumières... Ce moment était son moment. Le moment où elleétait en communion avec la nature. Le moment où elle était encommunion avec elle-même. Elle et la Nature. La Nature et Elle.Unies dans un même esprit, dans un même souffle le temps dequelques minutes chaque jour. Dans son village, là où elle et Sonicavaient grandi, ont leur apprenaient depuis très jeune à communieravec cette nature, tout en sachant s'associer à la Naturedomestiquée des villes. Afin de pouvoir tirer partie de n'importequel terrain, n'importe quel lieu, n'importe quelle place ... Lesmères racontaient également toutes les mêmes histoires, les mêmeslégendes à leurs enfants. L'une des préférées de la guerrièreétait celle où une jeune femme pure et droite arrivait à communieravec autre chose que la Nature. Elle communiait avec un ninjapuissant et juste. Ils communiaient ensemble. Ils étaient ce qu'onappelait dans le jargon guerrier, des compléments. L'un sansl'autre, ils pouvaient vivre heureux, mais s'ils communiaient, alorsils étaient non seulement heureux, mais ils étaient égalementsurpuissants ... Elle se surprit à se demander, contemplant lesétoiles, qui était son complément ... Pourvu que ce ne soit pasSonic, rit elle intérieurement.


Mais se soir-là, quelqu'un vinttroubler son moment de quiétude. Quelqu'un qui toussota au pied deson arbre.

Elle se pencha sur le côté de sabranche afin de voir qui était-ce

Genos.

Il se gratta la nuque en croisant sonregard et détourna les yeux.

-Est-ce que ... tu pourrais descendrepour qu'on parle ? Demanda-t-il.

Reyna soupira et s'assit les pieds dansle vide.

Elle glissa dans le vide et seraccrocha à une liane en chemin. Elle y entrelaça sa jambe et finittête en bas, son visage face à celui du cyborg.

-Je suis là, de quoi tu veux parler ?Ronchonna-t-elle.

Il parut surpris de sa manière d'agirmais se reprit bien vite et planta ses prunelles d'acier dans lessiennes, onyx.

-Je voulais qu'on parle de ce qu'ils'est passé tout à l'heure ...

Elle soupira et glissa un peu plus basen se redressant pour se retrouver à l'endroit. Ainsi, elle lesurplombait d'environ une demi-tête et s'était suffisant pour ledéconcerter.

-Je veux pas en parler. T'as ton pointde vue sur la question, j'ai le mien.

-Mais enfin Reyna tu refuses decomprendre !! T'as tout faux depuis le début !!

-Alors explique-m- ?!

Il la coupa en saisissant son visage encoupe et écrasant ses lèvres sur les siennes. Des lèvres figées,froides, inertes. Des lèvres de fer. Des lèvres qui seréchauffèrent à ce contact, qui se mirent à se mouvoir enharmonie avec celles qu'elles embrassaient. Des lèvres humaines.

D'abord statufiée par la surprise,Reyna se mit à répondre ardemment au baiser. Elle ne savait pas sielle l'avait souhaité, mais en tout cas, elle l'appréciaitpleinement.

Quand il se détacha doucement d'elle,il planta ses yeux dans les siens.

-C'est pour ça que je pouvais pas telaisser mourir, encore moins sous mes yeux... souffla-t-il les larmesaux yeux en gardant son visage près du sien.

Il ferma les yeux en expirantlentement.

-Tes circuits sont en surchauffent ?plaisanta doucement la jeune femme à la longue chevelure.

Il eut un petit rire.

Reyna se surprit à trouver ce rireextrêmement beau. Magnifique même.

Elle détailla le jeune homme face àelle. C'était un cyborg blond cendré aux prunelles d'acier. Aucorps bionique. Le plus récent super-héros de classe S. Le disciplede Saitama. Mais c'était également le jeune homme qui la faisaitrire au quotidien. Qu'elle ne pouvait s'empêcher de taquiner et defaire tourner en bourrique. Celui qui l'avait sauvé au péril de savie. Au péril de la vie de centaines d'autres, sans y prêterattention. Il avait 19 ans. Elle en avait bientôt 18. C'était celuiauprès duquel elle se sentait bien, tout simplement. Celui avec quielle était aussi bien que quand elle ne faisait plus qu'un avec laNature.

Doucement, interprétant mal sonsilence, il recula d'un pas.

-Je ne veux rien t'imposer. Je n'étaismême pas venu pour avoir une réponse. Simplement pour que tucomprennes ma réaction d'aujourd'hui. Bonne nuit étoile filante...

Il déposa un baiser sur son front etcommença à faire demi-tour.

Alors il partait ? Comme ça,sans même savoir ce qu'elle en pensait ?

Reyna esquissa un sourire. Elle avaitson mot à dire. Elle attrapa une liane qui pendait à côté de samain et la lança. Elle s'enroula autour de la taille et du torse dujeune homme. Tirant d'un coup sec dessus, elle le ramena contre elle.Elle entoura son torse de ses bras et posa sa tête contre son dos.

-Ne me laisse pas, murmura-t-elle.Reste avec moi Genos ... Garde moi éternellement contre toi, serremoi comme quand tu m'as sauvé de ce monstre ...

Il se figea en entendant ses parolesprononcées si doucement, si amoureusement par cette voix qu'ilaimait tant. Il se retourna lentement et entoura la taille de lajeune femme de ses bras. Raffermissant sa prise, il les fit volerdoucement jusqu'à la branche où elle était assise quelques minutesauparavant. Ils s'y installèrent l'un contre l'autre, Genoss'allongea contre la branche et prit la jeune femme sur son torse.

Ensemble, ils regardèrent les étoiless'allumer et s'éteindre tout au long de la nuit, sans un mot,simplement en profitant de la présence de l'être aimé. De leurcomplément.


~~


J'espère que ce One-Shot vous auraplus, moi j'aime bien ... j'en suis assez fière ... Mais ... quediriez d'un petit bétisier ? Oui je sais j'ai pas d'humour maisj'esaye quand même. En fonction des retours je supprimerai ou non lebétisier.


BETISIER


1.

Il bondit hors de la petite pièce etattrapa le bras de sa récente amie.

-On se casse l'étoile fuyante, j'ai un beau gosse à aller sauver !!

Un grand silence suivit sa déclaration.

-Allez viens !! continua-t-il en essayant de sauver la prise.

Mais rien n'y fit. Les prisonnier et Reyna peinèrent à retenir leurrire et garder leur sérieux.

-Mais j'ai dit quoi encore ? Sourit Pri-Pri-Prisonnier.

-L'étoile fuyante... expliqua Saitama.


2.

Il se mit en position de départ etattendit qu'elle grimpe sur son dos.

-Qu'est ce que tu fous encore ?!S'énerva-t-il en la voyant debout derrière lui les mains dans lespoches.

-Je te laisse ouvrir la voie et le mur, j'ai pas envie de mefracasser le crâne. T'inquiète pas, j'arriverais à te suivre.

Il y eut un blanc. Un immense blanc.

-C'était pas dans le scripte ça, remarqua un des acteurs figurant.

-Ouais mais j'ai trouvé ça plus franc. Plus honnête

-Ouais ... mais nan, fit le réalisateur.


3.

Le chauve l'aperçut du coin de l'oeilet soupira.

-J'en ai franchement marre de te couriraprès Sonoc le Bruyant.... soupira-t-il à son intention.

-C'est bizarre comme surnom Sonoc ... ça ressemble Magnoc ...Magnocle Bruyant ... Magnoc le Brillant... Magnoc le Rutilant ... Hé maisça sonne bien !! s'écria Reyna. SONIC !! hurla-t-elle endirection des coulisses. ON VA TE RENOMMER MAGNOC LE RUTILANT 'SPECEDE SALE MANCHOT AFRICAIN !!

-HORS DE QUESTION !! cria l'homme en surgissant sur le plateau

-Je suis le seul à me demander pourquoi elle l'a traité de manchotafricain ? Demanda Genos dans le blanc s'installant.


4.

-Reyna, évite de le tuer s'il-te-plaît, c'est quand même un beaumec et-

La jeune femme dégaina son sabre et arrêta la lame à quelquescentimètres de la gorge de son camarade.

-Pas touche Pri-Pri, c'est MON beau mec comme tu dis si bien.

Genos rit et se redressa, nouant ses bras autour de la jeune femme.


5.


Elle dégaina ses ''bébés'' comme elle aimait les appeler.

-Mais en fait, fit soudain Saitama en s'arrêtant à côtés d'eux,si ce sont tes bébés, ça te dérange pas de les faire exploser ?Je comprends pas ...

Reyna s'arrêta dans son geste pour lancer ses shurikens.

-Tu sais quoi Saitama ? Tais-toi et retourne démonter levaisseau là-haut.

-Mais c'est un vaisseau de synthèse ! Il existe que sur ordi,ici en vrai c'est une boîte !! se plaignit-il.

Reyna se pinça l'arrête du nez en soupirant. Qu'est-ce qu'ellefoutait parmi tous ses tarés ?


6.

-Je vais rentrer chez moi le nudiste. Tâche de pas trop défoncer lemur de la prison jusqu'à ce que je te rende visite, rit elle en lesaluant.

Elle commença à partir quand il lui répondit

-Je te garantie rien, y a de plus en plus de beaux gosses en cemoment !!

Elle sourit. Mais quel idiot ...


7.

Elle se surprit à se demander, contemplant les étoiles, qui étaitson complément ... Pourvu que ce ne soit pas Sonic, rit elleintérieurement.

-Espérance partagée, j'ai pas envie d'être ton complément mêmesi ton corps est alléchant.

Il sentit quelque chose chauffer contre sa tête. Il se retourna etse retrouva nez-à-nez avec le canon incinérateur de Genos sur lepoint de lâcher sa déflagration.


8.

Elle glissa dans le vide et se raccrocha à une liane en chemin. Maisà peine referma-t-elle sa prise dessus qu'elle céda. Et Reynas'écrasa lamentablement au pied de Genos.

Tous contemplèrent le tas de membre entremêlés qui se tortillaitdevant le cyborg avant d'exploser de rire.

-CELUI QUI A REMPLACE LE DECORS JE VAIS LE BUTER !!!hurla-t-elle alors qu'une silhouette fuyait à l'extérieur dubâtiment.


C'est sur cette magnifique note d'affection que se termine ce oneshot.


Kiss Kiss


Clélie.



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