Writing from a song part 1

L'autre fois j'ai eu l'idée de mettre ma longue ( très longue ) playlist en aléatoire et d'écrire un texte à partir de la première musique qui ressortirais. Je suis tombée sur l'opening de death note. Définitivement quelque chose à refaire !

Je marche lentement dans les ruelles sombres de Tokyo, un long object dans la main. La tête baissée, dissimulée par une capuche aussi sombre que mes pensées, je ne croise personne. Les ruelles mal éclairées sont plutôt larges, un vent léger du soir soufflait, emportant les papiers qui trainaient pas terre avec lui. Quand j'arrive à une intersection, je regarde aux alentours tel une panthère traquant sa proie. Je ne vis rien, n'entendis rien, excepté le bruit lointain des quartiers animés. Je continue ma route, d'un pas déterminé. Après une dizaine de minutes de marche, j'arrive enfin à mon objectif. Une petite ruelle derrière un restaurant. J'y jette un coup d'oeil et y trouve mes deux mafieux en train de faire des affaires, protégés par deux gardes du corps. Ils étaient plutôt musclés mais ça ne sera pas un problème. Je sors un katana de son fourreau et m'avance lentement dans leur direction. Les gardes du corps me repérèrent vite et se mettent devant leurs patrons. Ils sortirent des armes à feu.
- Recule petit. Tu ne veux pas d'ennuis.
Je me stop et esquisse un sourire.
- Quelqu'un va mourir ce soir si tu ne t'en va pas tout de suite. Menaça l'un d'eux
Je relève la tête et retire très lentement ma capuche. Ils reculent tous d'un pas en apercevant la cicatrice qui traverse mon oeil aveugle. Je jette derrière moi la protection de mon katana.
- Quelqu'un va bien mourir ce soir... dis-je. Et ce sera vous !
Avant même qu'ils n'aient eu le temps de réagir, je fonça droit sur eux et enfonça ma lame dans le ventre du premier garde. Mon long manteau volait derrière moi dans un mouvement gracieux. D'un geste rapide et agile, je m'écarta pour esquiver le coup de feu du second et bloqua son bras qui arriva sur moi. Il me regarda droit dans les yeux, la peur noyant son regard avant de sentir ma lame glacée passer à travers son corps. Il ouvrit la bouche, essayant d'émettre un son mais il n'y eu qu'un filet de sang qui en sortit, avant qui ne s'écroule.
Les deux autres n'avaient pas bougé, paralysés. Cela rendit la chose moins amusante. Je tua le premier d'un coup rapide et sec, son corps gros tomba au sol dans un bruit sourd. L'autre mafieux recula de quelques pas et je glissa ma lame sous sa gorge sans le blesser.
- Attendez, attendez ! J'ai de l'argent, j'ai beaucoup d'agent, je vous donnerais ce que vous voudrez !
Je murmura à son oreille :
- Ce n'est pas de l'argent que je veux...
- Qu'est-ce que c'est alors ?!
- La paix...
À peine eu-je prononcé ces mots que je lui trancha la gorge.
Je me redressa et sorti un tissu blanc de ma poche. J'essuya ma lame avec puis que le laissa tomber au sol, près des cadavres. Je fis demi-tour, les semelles de mes bottes raisonnants sur le béton. J'évitais les marres de sang bordeaux et repris la protection de mon katana et rangea celui-ci. Je m'éloignais de la ruelle, remettant ma capuche sur mon visage.
Le monde est pourri, rempli d'individus pourris. Personne ne faisait rien pour les empêcher de sévir, il fallait donc que quelqu'un se charge de les arrêter. C'était mon devoir de les stopper.
Moi, la panthère borgne.

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