Tout les jours elle l'empruntait, ce chemin.

Les grands lampadaires rouges flamboyant et les arbres au feuilles verdoyantes le bordaient.

Les oiseaux gazouillaient joyeusement sur le passage des élèves de son collège.

Hirondelles, moineaux, mésanges charbonnières, pie bavarde, personnes ne les regardait mais elles étaient bien là.

Hautes perchée sur les branches élancée du grand saule centenaire

Quand les premiers rayons de soleil perçaient les nuages, toutes la vie qui abritaient ce chemin se pressaient pour ne pas être vus.

Tous ce cachaient pour ne pas être aperçu.

Et pourtant une personne les observait tous les jour.

Elle était toujours là, à peindre se magnifique tableau pourtant si commun.

Jusqu'au plus petit détail, tous avait son importance.

La vie avait son importance.

La verdure cachait les chenilles, plus tard elles seraient toujours là mais sous une forme différente.

Pour enfin revenir a la terre.

" Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. "

Telle était la loi de ce paisible chemin.