Je cours, cours, et cours encore... Je cours tellement vite que Mme. Bernard serait fière de moi si elle était au courant de ma performance. Mais elle ne sera jamais au courant. Car je vais sûrement mourir et que , si je survis, je ne referai jamais cette performance. Parce que là, je cours pour ma vie. Pas pour une note, ou pour rendre mes parents fières mais pour sauver ma peau. Si je m'arrête, je meurs. Si je me cache, je meurs quand même. Et si je ralentis ma vitesse, je meurs aussi.

Mais, bien sûr, ce qui devait arriver arriva. Je n'en pouvais plus, chaque pas devenait insoutenable. Mes pieds commençait à se fourrer dans tous les recoins et sous les branches tombées par terre. Mon pied droit s'est posé sous une racine en hauteur d'un arbre robuste et je chuta.A ce moment- là , je savais que même si je me relevais et me remettais à courir, ils me rattraperaient et me tueraient. Ils me ferai souffrir atrocement, me tuant par petits bouts, lentement, très lentement...

Alors , j'accepta mon sort. Je ne me releva pas. Quand ils arrivèrent, je ne me défendis pas. Et quand ils me firent souffrir, je ne cris pas. J'avais accepté mon sort.

***

Voilà voilà voilà!!!!

C'est tout pour le 23 décembre!

J'espère que ça vous a plu et commentez pour ne rein dire, c'est votre spécialité!!

Bisous je vous aime!

Plus que 2 jours! Cachez les cadeaux!