La sorcière de la montagne ou un prince transgenre ?

TW : présence d'un héros particulièrement con, sexiste, raciste homophobe et transphobe et des propos qui vont avec (j'ai moi même failli le tuer une bonne dizaine de fois XD)

Dans un royaume fort fort très très lointain, se trouvait un paysan. Mais, ce n'était pas un paysans ordinaire. Non, c'était un paysan couvert de boue. Cela lui avait valut le surnom de bouseux.

Bouseux était donc notre héros, et il était amoureux, car, nous somme dans un conte de fée et que dans tout contes de fée qui se respecte, le héros doit être amoureux. De préférence d'une princesse. Résulta Bouseux était amoureux d'une princesse. C'était malheureux étant donné que la seule princesse du coin avait disparut depuis maintenant trois semaines, parce que le chiffre trois est récurant dans les contes. Et comme les nouvelles vont lentement le pigeon voyageur annonçant la nouvelle à tout le royaume avait mit presque un mois à arriver, le Bouseux n'avait donc été prévenu qu'au bout de trois semaine.

Cette annonce mit notre héros dans tous ses états et le désespéra tellement qu'il ne puis plus ni manger ni dormir durant sept jours et sept nuits, avant de soudainement décider de partir à la recherche de sa bien aimé.

Il partit donc au petit jour avec dans son sac une pièce de bronze, une pièce d'argents et une pièce d'or, car, comme tout héros, il était hautement anti... en faite non, il était conformiste et capitaliste. Et il était aussi sexiste, mais comme tout bon héros de conte de fées après tout. Et comme tout bon héros de conte de fées, il partit à l'aventure à la recherche de sa dulcinée.

Il marcha longuement avant de rencontrer deux aventurier, l'un était petit aux cheveux blond pâle et aux trait fin et le second était très grand et avait la peau très foncé. Comme notre héros était un connard raciste comme le bon héros de conte de fées occidentale qu'il était, il pensa immédiatement que le jeune homme blond était sous la coupe de son compagnon, probablement un ancien esclave. Il se rapprocha du jeune homme dans le bute de le sauvé des griffe du grand méchant lorsqu'il aperçus que les deux se tenait les mains. Aussitôt il fut décider à sauvé le plus petit des deux hommes de l'emprise malsaine de l'autre.

Il se rapprocha donc pour parler au couple, mal à l'aise, car il était un vrai mec bien virile et que comme tout vrai mec bien virile qui se respectait, il fondait face aux arc-en-ciel et il se sentait soudainement mal. La prudences était donc de mise pour lui.

Les deux hommes lui jetèrent un regard quand il s'avança vers eux et c'est le petit blond qui prit la parole.

- Bonjour, vous aussi vous allez vers la montagne de la sorcière noire probablement très méchante car nous somme dans un conte de fée et que le noir est la couleur des méchants dans les contes de fées ?

Le bouseux resta interloqué un instant avant de se reprendre et prenant sa voix la plus grave de mec bien virile pour montrer qu'il n'était pas un tapette, il leurs répondit :

- Non, je suis à la recherche de la douce et humble princesse de ce royaume pour la faire mienne.

Les deux hommes se regardèrent alors, et le Bouseux se demanda s'il savait ou elle se trouvait. Il décida donc de le leur demander, malgré se que sa virilité y risquait.

Ils lui répondirent qu'ils étaient peut-être en possession de cette information, pour laissez durer le suspense. Puis, ils cassèrent ce même suspense en lui disent qu'ils savaient où elle était et qu'ils allaient la trouver. Aussi tôt, le Bouseux commença à paniquer, car, la princesse avait probablement été faite prisonnière par la SNPTMCNSDUCDFEQLNELCDMDLCDF (sorcière noire probablement très méchante car nous somme dans un conte de fée et que le noir est la couleur des méchants dans les contes de fées) comme dans tout bon scénario de conte de fées. Mais, il était confronter à un épineux problème. Pour allez sauver la princesse, il devait faire le chemin avec les deux hommes. Mais, la bourse qu'il vit la taille du plus grand des deux hommes, probablement volé pensa-t-il, le décida.

Les désormais trois compagnon de route continuèrent donc leur chemin ensemble. Puis vint la première nuit. Notre héros, tout héros qu'il était décida remettre l'argent de la bourse de ses compagnons à qui il estimait que cela revenait de droit, soit, lui ! Il profita de la nuit pour échanger le contenu de sa bourse avec la leur. Puis, il partit tranquillement se recoucher, le cœur léger d'avoir réparer une injustice.

Le matin se leva et nos trois compagnons se remirent en route. Il était encore dans la matinée lorsqu'il furent arrêter par un Rouge-gorge qui gisait sur le bas côté, une ailes déboîtée. Il les interpela, des sanglot dans la voix.

- Bonne gens, mon ailes à été mise à mal par un renard qui voulut me manger, leur dit-il dans un langage incompréhensible, car, nous somme dans un conte de fée et il est connu que les animaux parle en langage soutenu dans les contes de fées. Il me faut une pièce d'or pour me rendre chez un docteur.

Les couple regarda notre héros, mais, le Bouseux les ignora. S'ils pensait qu'il allait se défaire de son argents, ils rêvaient. Finalement, les deux hommes se tournèrent vers le rouge-gorge et sortir la pièce en or de leur bourse pour la donner à l'oiseau qui les remercia en s'inclinant devant eux.

- Merci bonne gens, je vous redevrait cette faveur.

Après cette interlude les trois compagnons se remirent en route, le Bouseux restant à la traîne pour être sur de ne pas se faire voler sa bourse pas ses compagnon qui semblait par ailleurs bien peu intéresser par elle. Puis vint le midi ou les trois compagnons s'arrêtèrent sur la bas côté pour manger. Là, ils aperçurent un cygne dont la pattes était cassé. Il les interpela donc :

- Bonjour noble voyageur, comme vous pouvez le constater je suis dans un état bien pitoyable et il me manque une piécette d'argent pour pouvoir allez quérir des soin chez le médecin.

Le couple regarda encore une fois notre héros, voulant savoir s'il voulait donnez sa pièce à l'oiseau. Mais, le Bouseux encore une fois s'offusqua, car, pour lui, son importance dépendait de la taille de sa bourse et il ne comprenait pas qu'on puisse se désister de son bien le plus précieux avec autant de faciliter et de bonnes intentions.

Finalement le groupe se posa pour manger, sauf bouseux n'avait pas de nourriture et qui refusa celle que ses compagnons lui proposèrent. Il avait vu le grand noir faire des gestes bizarre et il le soupçonnait d'avoir jeter un sort sur la nourriture.

Ils se remirent finalement tous en routes et le soir venu, alors qu'ils allait arriver au bas de la montagne, ils croisèrent un corbeau qui avait une ailes en sang et qui les interpela :

- Wesh les mecs, je suis mal en point et je viens quérir une pièce de bronze pour pouvoir repasser le concoure qui me ferait d'avoir le boulot d'animale de conte de fées. Askip mon vocabulaire serait pas assez maniérer pour le jury.

Le couple ne pensa même pas à regarder notre héros cette fois ci et, il donnèrent leur dernière pièce au corbeau qui s'envola après les avoirs remercier.

Puis, les trois aventuriers s'élancèrent à la conquête de la montagne. Ils grimpèrent durant toutes une nuit et un jour avant d'arriver tout en haut. Là se trouvait une petite maison taillé à même la pierre dont une douce lueur sortait par les fenêtre ronde.

Le petit homme blond s'avança alors et frappa à la porte. Une femme au cheveux grisonnant et au chapeau violet de travers sur sa tête vient leur ouvrir avec un sourire de grand-mère.

- Entrez, entrez ! Les accueilli-t-elle. Je vous attendait prince...

- Prince François.

- C'est vrais que c'est plus jolie que Fantine, babilla-t-elle. Bon, j'espère que le chemin c'est bien passez pour vous. Tien, vous m'avez amenez du monde. Bonjour bonjour tout le monde.

- Oui, reprit le prince. L'homme couvert de boue est un voyageur qu'on a croiser sur la route et qui me cherchait. Il paraît qu'il est amoureux de moi, mais, je ne le connaît pas du tout et l'autre homme est mon petit ami.

La sorcière ignora délibérément le Bouseux se qui le vexa hautement et alla se placé face à l'autre homme.

- Alors comme cela vous êtes le petit ami du prince.

L'homme hocha la tête. Se qui fit sourire la sorcière.

- J'espère que tu prendra soin de lui.

L'homme recommença alors à faire ses gestes bizarre, et la sorcière hocha alors la tête. Le Bouseux eut alors la certitude que c'était des gestes de sorcier. Jusqu'au moment ou la sorcière reprit la parole.

- Oui, je sais. Cela dit, je ne pense pas que ça soit si étonnant qu'il t'accepte même si tu es muet. Ça n'a jamais vraiment eut d'importance pour lui. Bon, reprit-t-elle en se tournant vers le prince. J'ai reçu tes injections de T un peut plus tôt dans la journée. Je te les passe et vous pouvez y allez. Vous avez un moyens pour rentrer.

Elle grommela en voyant les deux hommes nier, presque mal à l'aise comme face à une parents qui les gronderait.

- Bon, je vous envoi mon rouge-gorge qui revient de chez le médecin. Il demandera au palais à qu'on vous envoi un carrosse. Ça devrait être assez rapide, ça vous laisse le temps de descendre la montagne. Vous avez qu'a prendre l'ascenseur qui se trouve à l'arrière de ma maison.

Puis, quand les deux hommes furent sortit de la cabane pour rentrez chez eux, se marier et avoir beaucoup d'enfants parce qu'on est dans un conte de fée, la vielle sorcière se retourna vers le Bouseux le visage soudain fermé.

- Et toi, pourquoi es-tu là ?

Notre héros se redressa et prit sa voix la plus doucereuse, essayant de faire faire oublier ses habits sales.

- Je m'appelle le Bouseux et je suis à la recherche d'une princesse douce et sympathique pour pouvoir me marier avec elle et avoir de nombreux enfants.

- Je veux bien vous aider, mais pour cela, il me faudrait une plume de rouge-gorge, une plume de cygne et une plume de corbeau pour vous crée une princesse. Je peut demander à mes amis.

La sorcière appela alors le cygne et le corbeau qu'il avait croisé plus tôt. Elle leur expliqua le problème et les deux oiseaux se concertèrent avant que le cygne ne prenne la parole.

- Je ne pense pas qu'il soit approprier de vous fournir ce que vous voulez noble gens. Vous avez refuser de nous aidez et de soulager vos pauvre compagnons alors que vous en aviez l'occasion. Le corbeau est d'accord avec moi, vous devriez allez vous faire voire dans un champs de tisons de verre enflammé.

Sur ces bonne parole, la sorcière attrapa le Bouseux par l'arrière de sa veste couverte de terre et le mit à la porte de chez elle ou il dégringola la montagne jusqu'au pays d'un peut moins loin que fort fort très très lointain.

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