Aujourd'hui, je me couche le cœur lourd d'être si près de toi tout en étant à la fois si loin. J'ai des hauts le cœur douloureux et des pleures malheureux. Je me demande pourquoi nous en sommes arrivés là alors que nous vivions le bonheur absolu nous guidant vers un monde meilleur. J'ai tout de fois l'impression qu'en cette nuit, un mur nous sépare de ce lit, ne pouvant nous touchés. Ça en est si affreux que mon muscle le plus agité cesse de battre dans ma poitrine par manque d'air, par manque de celui qui me fait vivre, je suis meurtrie sans toi. Tu es la, allonger à mes côtés, paisible dans ton sommeil avec les traits du visage si reposer, quand à moi je t'ai observer toute la nuit comme si c'était la dernière qui m'était possible de faire. Mon cerveau joueur comme il est, n'a pas voulu de repos, celui-ci m'a rendu malade à son habitude par l'imaginaire des scénarios plus farfelus que le précédent. Je t'en supplie, dis-moi, simplement qu'il s'agit d'une erreur, que je t'ai énervé hier soir et que tu n'as voulu discuter plutôt qu'il annonce l'heure de la fin. Je te promets de faire des efforts à ne plus être collante, chiante, de diminuer mes sauts d'humeurs, de tout laisser tomber pour toi, d'être celle que tu as aimé un jour, si c'est toujours le cas. Je ne veux que ton bonheur, faire de toi l'homme le plus heureux, l'homme le plus combler qu'il puisse exister sur cette terre. Tu es l'homme que j'aime par dessus la galaxie, avec qui j'envisage ma vie, alors je t'en supplie, dis-moi que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve.