Autre Monde

Salut ! Nouvel os ! Alors il est un peu partit en cacahuète puisque l'auteure (moi donc) n'avait que la première phrase au début en tête, c'est absolument tout. Donc si c'est un peu bizarre c'est normal, a vrai dire il n'a pas vraiment de but ni de sens (ou peut être que si, faut voir apres tout).
Bonne lecture.

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– Maman, qu'est-ce que c'est ? Demanda la petite fille pas plus haute que trois pommes et montrant du doigt un morceau noir sur le chemin de terre.

La dame qui l'accompagnait, sa mère, fixa le morceau d'un air effrayé que la petite fille ne comprit pas.

– Ce n'est rien ma chérie, on en reparlera plus tard, d'accord ? Aller, dépéchons-nous.

Une fois arrivées à la maison la petite s'attendit à ce que sa maman lui explique ce qu'elles avaient vu mais elle ne le fit pas. Elle ne le fit jamais.

La petite grandit et tous les soirs elle voyait le morceau et tous les soirs elle se demandait si sa mère allait un jour lui expliquer ce que c'était.

Elle se mit à imaginer ce que c'était, c'était sa distraction et son secret, elle avait même, en y regardant mieux, trouvé d'autres morceaux. Elle s'amusait à prendre les plus petits dans ses mains mais ne comprenait pas ce que c'était, elle n'avait jamais rien touché de semblable.

Sa mère ne lui répondit jamais, ainsi crut-elle qu'elle avait oublié ou alors que c'était interdit, mais si c'était interdit alors pourquoi cela existait-il ?

Elle n'osa jamais reposer la question. Mais la veille de ses quinze ans elle se lança :

– Maman, qu'est-ce que c'est les morceaux noirs sur le chemin ?

Sa mère poussa un long soupir.

– Tu n'as jamais arrêté de te le demander pas vrai ? Très bien Sally, je vais te raconter :
Quand j'étais toute petite vois-tu, il s'est passé quelque chose, quelque chose que les personnes plus jeunes que ceux de mon année ne se souviennent pas. Nous avions six ans mais tout a commencé réellement deux ans plus tôt. Avant nous ne nous déplacions pas à pied, nous pouvions voler sans magie, nous pouvions communiquer sans arcs-en-ciel, le monde avait évolué. Puis un jour tout a éclaté, il a été découvert l'existence de Dieux, de demi-dieux, de personnes ayant un tel pouvoir
qu'enfaîte aucun humain n'était réellement libre ou puissant. Pendant un mois tout c'est a peu près bien passé mais d'un seul coup les pays du monde entier ont décidés de s'en prendre à ces dieux et à leurs enfants. Les mortels se croyaient assez fort, assez puissant pour détrôner ceux qui
commandaient leur vie. Au début ils attaquaient tous seuls mais ils ont finit par comprendre que pour les avoir il fallait s'en prendre à des personnes qui leur étaient cher. Les demi-dieux ont finit par riposter. Mais ils étaient dix mille fois moins nombreux que les mortels, même avec le soutien des dieux et de la magie la guerre a duré deux ans. Ensuite tu le sais, les Dieux et leurs enfants ont gagné, ils ont reprit le pouvoir sur le monde qu'ils avaient tenté de laisser aux mortels, finalement ils se sont rendus compte que nous étions incapable de nous en occuper. Ils ont remis le monde
quasiment comme plus de deux mille plus tôt. Finis les voitures, finis les avions, au revoir les téléphones, plus d'Internet. Maintenant la technologie n'existe plus, tout ce que nous appelions « les grandes avancées technologiques » ont disparu, tout ce que l'on a gardé c'est la médecine. Ce que tu as vu Sally s'appelle du goudron, avant il y avait une route sur laquelle roulaient des voitures.

– Je suis un peu perdue là, tout notre monde n'était réellement pas comme ça il y a quarante ans. Mais on nous a toujours dit que pendant un moment les Hommes s'étaient perdus et que
les Dieux étaient revenus pour nous aider.

– Dans un sens c'est le cas. Tu sais il y a bien eu des résistants mais comment résister dans un monde où votre vie dépend des Moires ? Attention ma chérie, je ne dis pas que notre est meilleur que celui d'avant, je dis seulement qu'il est un peu moins pire. Allez va te coucher. Demain tu rentres dans la société, tu seras une Femme, avec une grand F et tu
rencontreras les Dieux avec un peu de chance.

Alors que sa fille l'embrassait et quittait la pièce avec la tête bouillonnante, sa mère lui lança une
dernière chose :

– Sally, sache que les Jackson ont toujours eu une place importante auprès de l'Olympe. On se revoit bientôt. Bonne nuit !

La jeune fille était un peu perdue mais elle dit quand même dit à sa mère qu'elle l'aimait et elle partit se coucher.

Le lendemain quand elle se réveilla elle n'était plus dans sa chambre mais dans une immense suite.

Elle était dans un énorme lit à baldaquin, avec de grosses couvertures et d'énormes oreillers
moelleux. Le reste de la pièce qu'elle pouvait voir était dans les tons bleu/ vert et or, un aquarium dominait la pièce avec des couleurs magnifiques, il y avait également des poufs et de larges fenêtres ainsi que tout un tas d'autres éléments. Évidemment Sally ne connaissait quasiment rien de ce
qu'elle voyait, tout ceci appartenait à un autre temps.

– Et bien ce n'est pas trop tôt, dit une voix d'homme qui venait de sa droite.

La jeune fille se retourna brusquement.

– Seigneur Percy, je, je suis si désolé, je ne voulais pas vous manquer de respect...

– C'est bon, la coupa-t-il, ne t'inquiète pas, tu es la première levée. Alors, tu t'appelles Sally Jackson, fille d' Estelle Jackson, et ton père est décédé.

La jeune fille acquiesça d'un mouvement de tête et sembla attendre quelque chose.

– Pourquoi tu me regardes comme ça ?

– Désolé Seigneur mais j'ai tellement l'habitude qu'on me présente des condoléances et tout...

– Et bien tu n'en aura pas de la part de toute les personnes présentes sur l'Olympe. Si ton père est mort c'est que les Moires en ont décidées ainsi. Il vaut mieux qu'il soit auprès de Hadès
que sous forme de mort-vivant sans personnalité, tu ne crois pas ?

– Si seigneur.

– Très bien, je vais te laisser te préparer. Oh et sache que le bassin au milieu de la pièce est un aquarium. On se retrouve au petit-déjeuner.

Le demi-dieux sortit, laissant la jeune fille mais pas pour longtemps puisqu'à peine une minute plus
tard une véritable armée de dryades rentra et elles étaient visiblement ravies de faire sa connaissance.

Pendant plus d'une heure et demie Sally se fit chouchouter. Quand elle eut enfin finit elle portait une
magnifique robe bleue qui lui allait parfaitement, elle était coiffée d'un chignon très sophistiqué avec des perles véritables coincés dans ses cheveux. Ses bijoux étaient en coraux et magnifiques.

Elle ne voulait plus qu'une seule chose : garder cette robe pour toujours et tout ce qui allait avec aussi.

Les dryades finirent par l'emmener jusqu'à une très grande salle avec en son centre une table avec en tout vingt-huit places, ce qui n'était pas rien. Elle était la première à arriver mais elle fut rapidement suivie par douze autres adolescents de son âge.

Tout le monde était habillé d'une couleur différente et d'un style différent. La fille à côté d'elle portait une combinaison intégrale rouge avec une veste en jean. En soit l'ensemble était étrange mais elle était très élégante habillée comme ça.

Les jeunes de tous quinze ans, Sally était la dernière à les avoir, étaient visiblement mal à l'aise mais aussi effrayés et également excités. Qu'allait donc leur réserver cette journée ?

Pour le moment ils devraient attendre les demi-dieux qui les avaient accueillis avant de pouvoir prendre le petit déjeuner.

Ce n'est qu'une petite dizaine de minutes plus tard qu'ils apparurent au bout du couloir en rigolant et
en bavardant gaiement, totalement en contradiction avec le comportement qu'ils avaient lors du réveil des adolescents.

Aussitôt ils se mirent à genoux, le comportement qu'on leur avait expliqué en présence de divinités.

Quand les demi-dieux arrivèrent devant eux ils s'arrêtèrent à peine pour leur dire qu'ils pouvaient se
lever mais ils hurlèrent avec joie que c'était l'heure de manger.

Chacun s'assit à côté de son «demi-dieux d'attribution » en essayant de se faire le plus discret
possible, ce qui n'était pas très compliqué vu l'agitation.

La déesse Héra n'accueillait personne, Hermès demandait toujours à ses enfants, les Alatir, de s'occuper des ses adolescents et Nico était le représentant de la déesse Hestia. Pour les autres des fois cela variait, notamment pour Ares ou Déméter.

Le repas se passa d'une façon qu'aucun des mortels n'aurait pu imaginer.

Il y eu un concours de nourriture entre le Seigneur Percy et le Seigneur Léo, la Seigneur Reyna et la Seigneur Thalia s'amusèrent a faire des bras de fer ou à lancer des lances et des couteaux à travers la pièce. Les enfants de Hermès et le fils de Dionysos passèrent leur temps à embêter les mortels. Le Seigneur Will ne laissait même pas le Seigneur Nico respirer, heureusement qu'ils étaient immortels, on entendit des voix se disputer au sujet de cookies et le Seigneur Franck et la Seigneur Meg
passèrent leur temps à se lancer des boulettes de pain d'un bout à l'autre de la table.

Ce n'est qu'à la fin du repas qu'ils s'adressèrent à leurs « invités »

– On vous a pas entendu les mortels, ça va ?

Il hochèrent doucement la tête.

– Tant mieux alors, Reyna passe la confiture !

Le peau de confiture vola et alla s'écraser sur Percy qui était juste à côté.

Au lieu de se mettre en colère il éclata de rire, vite suivi par les autres, il lécha même la confiture atterrie sur ses doigts, tout en faisant attention aux bouts de verre.

Il fit ensuite tout disparaître et le repas se termina dans la bonne humeur et moins stressés pour les
adolescents.

Percy avait donné rendez-vous à Sally près d'une petite rivière derrière le temple dans lequel elles'était réveillée.

En l'attendant elle observa l'Olympe, tout était magnifique, elle ne savait pas combien de temps elle allait y rester alors elle décida d'en mémoriser le plus possible.

Le temps que passaient les nouveaux quinze ans parmi les dieux variait. Il n'y avait pas vraiment de critères, enfin personne n'en avait jamais trouvé ni définit, juste on arrivait et on repartait mais pas de durée précise.

– C'est beau n'est- ce pas ?

– Très beau Seigneur. Tout paraît plus, plus...

– Plus intense ? Je suis d'accord, c'est exactement l'impression que j'ai eu lorsque j'ai vu cet endroit pour la première fois, c'était la fin du monde donc je n'ai pas très bien observé et
après tout a été détruit mais Annabeth a fait un travail magnifique.

– C'est exactement ce que je me disais.

– Bon, tu veux visiter.

– C'est possible ?!

– Évidemment.

Percy lui montra tous les endroits les plus beaux de la ville, empruntant des passages magiques pour aller plus vite. Tout était si beau et si époustouflant.

La jeune fille posait questions sur questions et Percy lui répondit avec plaisir.

Même si il y avait quelques éléments qu'elle ne connaissait pas, Sally était au paradis, l'Olympe était si parfait.

Le lendemain matin Percy lui avait donné quartier libre. Après avoir passé la meilleure nuit de sa vie Sally prit son petit-déjeuner et se décida à aller se promener.

Elle avait repéré un bâtiment la veille qui était particulièrement différent des autres, Percy ne s'y était pas arrêté et la jeune fille n'avait pas osé poser de questions. Alors ce matin elle était bien décidée à se rendre jusqu'au bâtiment.

Une fois devant, elle ne s'était même pas perdue, elle trouva qu'il était encore plus imposant que les autres, il avait quelque chose de différent et d'un peu effrayant.

Elle rentra. A l'intérieur il n'y avait personne et tout n'était pas doré ni éclatant comme le reste de la cité des Dieux, pourtant elle n'envisagea pas une seconde de faire demi-tour.

Elle rentra dans une autre pièce et fut éblouie par ce qu'elle vit.

Il y avait des centaines d'images qui flottaient un peu partout, des grandes, des petites, des colorées, des sombres. Tout était magnifique.

Elle s'approcha des images flottantes et s'apercue que c'était un peu comme des souvenirs.

Ici, deux jeunes de son âge en train de manger ce qui ressemblait à de la neige mais colorée, là un homme dans un siège d'une drôle de matière entouré d'éléments qu'elle ne connaissait pas et qui tremblait de peur, là-bas un bébé assis sur un mini zèbre, mais les zébres vivaient en Afrique ! Et puis encore des images, des sons, des sensations qu'elle ne comprenait pas.

Elle se doutait que tout cela appartenait au monde d'avant, celui avec les machines volantes et celles
qui roulent, celui ou les fruits poussaient même en été et où on trouvait des fraises en hiver.

Tout cela était si étrange.

Puis elle tomba sur des paysages, c'était si beau, à couper le souffle. Des cascades, des ruisseaux, des volcans, des animaux, la mer, la neige. Il y avait tant de choses que la jeune fille ne connaissait que de nom.

– Je savais bien que ce n'était pas Percy qui serait venu ici, dit soudain une voix dans son dos.

Sally se retourna brusquement et s'agenouilla aussitôt en marmonnant :

– Je suis désolée Seigneur Apollon, on m'a laissée la matinée de libre alors j'ai visité un peu. Je suis extrêmement désolée si je ne devais pas rentrer ici.

Elle était morte de peur. La première fois qu'elle rencontre un dieux et c'est pour une bêtise mais au lieu de la punir comme elle s'y attendait, il éclata de rire :

– Ne t'inquiète pas Sally, si c'est ouvert c'est que tu peux entrer et appelle moi Apollon. Je parie que tu sais ce qu'est cette pièce. Estelle ne devait pas t'en parler mais je suis sûr qu'elle l'a fait.

– Je... elle prit son courage à deux main tout en se relevant, c'est la salle des souvenirs d'avant.
La période sombre.

– Oh non, il n'y a pas deux mille ans de souvenirs mais tu as raison ils en font partis. Ce sont des souvenirs de la technologie, d'ailleurs tu peux la retrouver à l'Olympe. Les aquariums modernes de mon oncle en font partis, ils sont bourrés de capteur. Tu sais on pourrait croire que tout a disparu mais notre langage est ancien, tout n'a pas été enlevé.

– Pourquoi avoir enlevé tout ça, pourquoi ne pas avoir gardé le monde d'avant mais en reprenant le contrôle ?

Apollon soupira et garda le silence si longtemps que Sally crut qu'il ne répondrait pas.

– On s'est longtemps demandé si il fallait ou non changer le mode de vie des mortels, fit-il finalement, et puis on s'est souvent que dans l'antiquité, c'est à dire la première fois que nous avons été vraiment vénérés, tous les habitants de la planète ne possédait aucune technologie et qu'ils étaient gentils les uns envers les autres, aimables, sociales, partageurs. Il y a encore quarante ans tout le monde était vaniteux, égoïstes, obsédés par le pouvoir, arrogants et parfois parmi les mauvaises herbes naissaient une fleurs ou deux alors on s'est rapidement décidé. On revient à l'antiquité tout en gardant des éléments de l'époque contemporaine. Et ça fonctionne.

– Je ne sais pas si je comprends tout mais j'ai saisi le sens global. Apollon pourquoi tout à l'heure vous avez parlé du Seigneur Percy en me voyant.

Apollon se mit alors à sourire, il semblait très content de lui.

– Tu ne sais donc pas hein ? Je suis certains que Percy t'as laissé du temps libre juste pour se préparer à te le dire.

– Dire quoi Lester ? Fit une nouvelle voix juste derrière.

– Ah Percy, tu te rends compte où ta protégée a atterrie. Les ennuis c'est de famille hein, Jackson un jour, Jackson toujours !

– Lester je vais te tuer !

– Essaye toujours ! Et il disparut.

Pendant ce temps-là Sally nageait en pleine confusion :

– Quelle famille ?

Percy soupira :

– Tu veux bien qu'on sorte, je t'expliquerai une fois dans le palais de mon père.

– Euh, d'accord.

Percy les fit disparaître et ils se retrouvèrent immédiatement dans la salle à manger du palais de
Poséidon.

La table était mise et Sally sentit son estomac gargouiller, au même moment apparurent Poséidon et
son général des armées, Tyson. Elle voulut s'agenouiller mais Percy l'en empêcha.

– Tu ressembles beaucoup à ta grand-mère. Bonjour Sally, dit Poséidon.

Encore une fois Percy l'empêcha de répondre et ils s'assirent tous.

– Papa, je sais pas comment lui dire et Apollon à déjà à moitié vendu la mèche.

– Sally, dit le dieux d'une voix douce, sais-tu si ta mère à un frère ?

– Heu non, sinon elle me l'aurait dit.

– Et bien alors connais-tu quelque chose au sujet de la famille Jackson ?

– Il y a bien ce que m'a dit ma mère il y a deux jours mais c'est rien.

– Dis quand même.

– Elle a dit que la famille Jackson avait toujours eu une place importante auprès de l'Olympe mais c'est un peu ridicule, elle voulait juste me rassurer.

Poséidon et Percy échangèrent un regard, Tyson, lui, semblait s'ennuyer littéralement.

– Sally, Estelle a raison, dit doucement Poséidon.

– Comment ça ? fit la jeune fille complètement perdue. Nouvel échange de regard, cette fois ce fut Percy qui prit la parole. Il soupira.

– Tout simplement parce que la famille Jackson fait partie de l'Olympe. Connais-tu mon nom
de famille ?

– Bien sûr que non, personne ne le connaît.

Percy se pencha en avant lui donnant l'air de quelqu'un qui va dire un gros secret, se qu'il allait d'ailleurs faire.

– Je m'appelle Percy Jackson, enfin c'est comme ça qu'on m'appelait.

Sally était complètement perdue, elle ne comprenait vraiment plus rien et avait l'impression d'être une idiote.

– Je... Ça ne veut rien dire, il y a des centaines de famille « Jackson », tenta-t-elle vainement alors qu'elle savait au fond que Percy et elle étaient de la même famille.

– Je suis certain que tu sais Sally que ce n'est pas une coïncidence si nous avons le même nom de famille, si ta mère te dit que vous êtes importantes aux yeux de l'Olympe, si tu es dans le palais d'un dieu en compagnie de deux de ses fils, veux-tu d'autres exemples Sally ?

– Mais alors vous êtes qui par rapport à moi, je... j'essaye de m'y retrouver.

– Je suis le demi-frère d' Estelle.

– Donc ça fait de vous mon oncle ? Mon demi-oncle ?

Percy se mit à rire :

– Franchement j'en sais rien mais qu'est-ce que ça fait du bien de l'entendre mais c'est aussi hyper étrange, j'ai toujours l'impression d'être un ado.

Sally, elle, avait plutôt l'impression que son cerveau allait exploser tellement elle avait de questions
et tellement cette révélation était importante.

Finalement ils passèrent tout le reste de la journée à discuter, Sally, d'abord craintive finit par parler plus librement, surtout une fois Poséidon partis pour s'occuper de son royaume.

La jeune fille se découvrait une autre famille et une autre vie.

Quand elle revint chez elle avec sa mère les retrouvailles furent très bouleversante. Percy et Estelle
pleuraient à chaude larmes, chacun dans les bras de l'autre.

Sally appris à Tyson la pâtisserie, désormais elle avait le droit à des objets et des aliments qu'on ne pouvait plus trouver sur Terre puisqu'ils avaient été interdit ou supprimé.

Elle était bien consciente que tout cela n'était pas normal et que le monde dans lequel ils vivaient ne l'était pas non plus mais comme sa mère le lui avait si bien dit : « Leur monde n'est pas meilleur que le précédent, il est seulement un peu moins pire."

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04/02/2021

3290 mots

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