Etreinte désespérée (Adrien X Marinette)
Depuis que ma mère avait disparue du jour au lendemain, la solitude avait été ma seule amie. J'y étais même habitué jusqu'à peu, j'ai ensuite découvert ce que c'était d'avoir des amis autours de soi, d'être aimé pour ce qu'on est.
Je rentrais du collège, j'entendais mon père se disputer avec ma tante dans le hall d'entrée.
« Je reviendrais, crois-moi ! » Lui cria-t-elle.
« Tu diras à ton fils qu'il n'y a pas de place pour des voleurs dans cette maison, et qu'il a intérêt à me rapporter ce bijou !» Répondit mon père d'une voix ferme.
Ma tante est ensuite sortie en claquant la grande porte principale. J'ai lancé un regard vers mon père qui arborait un air contrarié. Il s'est ensuite dirigé vers son bureau dans le plus grand des silences, sans même me saluer.
Mais j'y étais habitué, à être ignoré constamment, à ne jamais recevoir d'affection de sa part. Et j'avais appris à m'en moquer, du mieux que je le pouvais.
Après tout j'avais Plagg maintenant. J'avais aussi Nino, Alya, Chloé, Luka, Kagami et Marinette.
J'étais entouré d'amis exceptionnels, tous plus gentils les uns que les autres et ça me suffisait amplement. Je montai alors dans ma chambre d'un pas rapide, beaucoup trop impatient à l'idée de pouvoir appeler Marinette.
Car c'est ce que nous faisions tous les soirs depuis quelques semaines. On apprenait à se connaître, et parfois même on faisait nos devoirs ensemble. C'était des moments agréables, calmes et je me sentais toujours grandement aimé et soutenu en sa présence.
Bien sûr, je savais que son cœur appartenait à un autre, et d'ailleurs le mien appartenait à Ladybug.
Nous étions simplement de très bons amis.
Une fois dans ma chambre, je posai mon sac sur mon bureau, nourrissais mon kwami de son infâme met et m'allongeai à plat ventre sur mon lit, sortant mon téléphone portable.
« Hey ! » Me salua-t-elle avec son plus beau sourire.
« Salut Marinette ! »
Nous nous appelions parfois en vidéo, et je dois bien avouer que j'adorais la voir à travers le téléphone, une fois qu'elle avait enfilé son pyjama et détaché ses cheveux.
Nous avons entamé notre discussion, nous attardant sur plusieurs sujets.
Puis d'un coup, il y a eu un court silence durant lequel elle semblait gênée, je sentais que quelque chose la dérangeait mais n'osais pas lui demander quoi, par peur de la brusquer.
« Je dois t'avouer un truc Adrien... » Finit-elle par sortir.
« Je t'écoute... »
Tous mes sens étaient en éveil, il régnait dans l'air comme une tension que je ne parvenais pas à définir, qu'avait-elle de si important à me dire ?
« Je sais qui tu es vraiment » A-t-elle soudainement avoué.
Je dois dire que je n'ai pas tout de suite compris et que j'ai donc mis du temps à réagir... Je ne voyais pas trop ce que cela était censé vouloir dire en réalité.
Mais je n'ai pas eu le temps d'y réfléchir. Car à l'instant même où ses lèvres commençaient à se mouvoir avec l'intention d'expliciter plus clairement ses paroles, ses yeux s'étaient mis à fixer derrière moi avec horreur.
Et la seconde d'après, ma grande baie vitrée a éclatée en mille morceaux, me projetant la tête la première sur le mur en face de moi. Je mis quelques instants à revenir à moi après ça. Et en ouvrant douloureusement mes yeux, je découvris ma chambre complètement détruite par la violente bourrasque.
Et quelqu'un se tenait au milieu, ou plutôt quelque chose.
« Un akumatisé » Entendis-je venant de mon téléphone qui jonchait le sol, encore allumé, à quelques pas de moi.
C'était sûrement Marinette qui avait prononcé ces mots. J'ai ensuite entendu une détonation, je me suis retourné vers la nouvelle victime du Papillon et me suis pris un projectile dans le ventre.
Étrangement, je n'ai rien ressenti, ni douleur, ni trouble... Seulement un sentiment de grand vide au creux de mon estomac. J'avais la sensation d'avoir été traversé par quelque chose, mais mon corps était intacte...
« Tout le monde va t'oublier » Murmura l'akumatisée.
Puis elle avait disparu sans ajouter quoi que ce soit. En se basant sur sa silhouette et sur sa voix, j'étais persuadé que ma tante se cachait derrière cette attaque, mais que voulait-elle dire par « tout le monde va m'oublier » ?
Je restais sonné tandis que Plagg essayait tant bien que mal de m'avertir. Il fallait que je me transforme et que je parte aider Ladybug qui devait déjà être en ville.
Mais je n'eus pas besoin d'aller la chercher, puisqu'elle arriva dans ma chambre, l'air inquiet, quelques instants après. Elle passa à travers les débris pour me rejoindre et vérifier mon état.
« ça va Adrien ? » m'a-t-elle demandé, ne me voyant pas réagir à ses différentes questions.
Je levai alors la tête vers elle.
Si Ladybug se rappelait de moi, c'est que ma tante avait tort ? N'est-ce pas ? Personne ne va m'oublier, c'est ... insensé...
« Oui, merci Ladybug. »
Elle détourna le regard, observant la chambre dans les moindres recoins.
« Il se passe des choses étranges en ville » M'informa-t-elle. « La quasi-totalité des habitants de Paris ont disparus. »
Je pris un instant pour bien assimiler ce qu'elle venait de dire. Les gens de Paris avaient presque tous disparu ? Comment ça ? Ils sont partis ? Ils ont fuis ?
« Où est Plagg ? » Ajouta-t-elle.
« Comment tu... »
« Plus tard...Chat. L'heure est grave. Il faut qu'on retrouve Oubliette et qu'on comprenne ce qui se passe »
Je ne comprenais pas comment elle avait deviné qui j'étais, mais elle avait raison, j'aurais tout le temps de m'en préoccuper plus tard.
Je me transformai donc, un peu mal à l'aise, et la suivais à travers la ville. Cet endroit n'avait plus rien à voir avec la capitale de la mode, complètement désertique, elle ressemblait plus à un genre de ville fantôme.
Et à regarder de plus près, toutes les affiches où l'ont été censés voir ma tête avaient elles aussi disparues. Les paroles de ma tante akumatisée me revenait en tête et mon corps fut parcouru de plusieurs frissons.
Mais que se passait-il ?
«On est arrivé » Avança ma partenaire.
On s'arrêta devant mon collège, où nous attendait un petit groupe composé d'Alya, Nino, Chloé, Luka et Kagami.
« Ce sont les seuls rescapés que j'ai pu retrouver »
J'observais chacun de mes amis, constatant l'absence de Marinette. Pourquoi étaient-ils les seuls à n'avoir pas disparus ?
« Maintenant, nous allons avancer dans la ville, restez bien près de nous et si vous voyez quoi que ce soit, prévenez-nous.» Ordonna Ladybug en faisant un grand geste du bras, incitant le petit groupe à la suivre.
Je m'exécutai, comme tous les autres, mais l'esprit ailleurs, ou plutôt concentré sur autre chose. Je regardai tout autours de moi, cherchant le moindre mouvement. Un cri me sortit soudain de mes pensées.
« Luka a disparu ! » S'affola Nino.
En effet, à l'endroit où mon ami récent se tenait, des particules dorées s'évaporaient dans les airs. Comme s'il s'était décomposé sous forme de paillettes.
Les habitants de Paris n'étaient pas partis, ils avaient bel et bien disparus...
« Et en voilà un autre... » Annonça calmement une voix.
Je regardai tout autours de moi. Au loin, ma tante qui se faisait appeler Oubliette, était assise sur une voiture. Elle arbora un sourire satisfait avant de descendre et de s'approcher de notre petit groupe.
Je gardais les yeux sur elle, attendant anxieusement le moindre geste de sa part pour m'élancer à sa rencontre.
« Qu'est-ce qui se passe ? » Demanda ma Lady.
L'akumatisée s'arrêta.
« C'est simple. » Répondit-elle. « J'ai lancé un sort à ce bon à rien d'Adrien. Tous ceux qui l'aiment vont l'oublier puis disparaître. Il a déjà fait s'évaporer Paris et ce jeune guitariste. Vous résistez au sort pour le moment, mais vous finirez quand même par disparaître. Je vous le garantis. Et quand cela arrivera, tu seras tout seul... Adrien. Réellement tout seul... »
Puis elle disparut avant qu'on ai le temps de l'intercepter.
C'était donc ça, l'explication.
Je regardais mes amis qui me fixaient. Ils avaient sûrement dû comprendre qui j'étais puisqu'Oubliette s'adressait à moi...
Au début, mon esprit se figea, m'empêchant de réagir à cette nouvelle. Puis, petit à petit, les futures conséquences de ce qui venait d'arriver me montèrent à la tête et je réalisai enfin ce que cela signifiait. J'allais encore être seul.
Seul.
Tout le monde va m'oublier.
Plus personne ne...
« Marinette ? »
Je levai la tête en entendant Kagami prononcer ce nom, et j'écarquillai les yeux. Se tenait devant moi Marinette Dupain-Cheng, quelques éclats roses la quittant, le regard étonné.
« Tikki... ? » Murmura-t-elle.
Les différentes informations des dernières heures me revinrent de suite en mémoire. Tout était plus clair maintenant, Marinette était Ladybug, et c'est ça qu'elle voulait m'annoncer tout à l'heure, elle savait que j'étais Chat Noir.
« Qu'est-ce qui se passe ? » Marmonna-t-elle.
« Je crois que le sort fait effet sur moi aussi. Peut-être que la dé-transformation fait partie des premiers effets... »
Le sort qui m'avait été jeté touchait aussi les Kwamis, ce qui voulait dire que Plagg aussi allait...
« Kagami ! »
Non !
Ne disparaît pas !
Partie en poussière à son tour.
Je ne peux rien faire, si ce n'ai regarder cette poudre dorée s'envoler, et pleurer la disparition d'un être cher...
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Les jours passèrent, nous avancions dans Paris, cherchant la moindre trace du Papillon ou d'Oubliette pour tout réparer. Nous trouvions des vivres aux hasards des rues, de l'eau, on se lavait peu, et je ne quittais pas mon costume, trop anxieux à l'idée de voir Plagg disparaître...
Un jour, Alya regarda Marinette, se tourna vers moi en me pointant du doigt et...
« C'est qui lui ? »
« Alya ! »
Non... Pas encore.
Partie en poussière.
Je ne peux rien faire, je suis incapable de les aider, ils vont vraiment disparaître les uns après les autres... Nino est dévasté, Marinette aussi, j'essaye de faire tout mon possible pour qu'aucun d'entre eux ne m'oublie, mais il suffit de quelques instants d'inattention et...
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Des semaines...
« Chloé ! »
Arrêtez ça. Ne m'oubliez pas, je vous en supplie, ne disparaissez pas ! Restez avec moi, regardez moi, regardez moi, regardez moi !!!
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Des mois...
J'allais devenir fou. Il ne me restait plus que Nino et Marinette. Mais il y avait encore de l'espoir pas vrai ? Tant que je n'étais pas complètement seul, on pouvait encore tout réparer...
« Où est-ce que je suis ? » Se demanda mon meilleur ami.
Je l'attrapai par les épaules.
« Hey ! Mon pote ! Regarde-moi ! Garde mon visage à l'esprit ! »
Il me regardait, l'air apeuré, terrifié.
« T'es qui mec ? »
« Non... »
Parti en poussière.
Ils disparaissaient tous, les uns après les autres.
Il ne restait plus que moi, et Marinette. Tikki ne pouvait plus tenir dans les airs, j'étais toujours transformé... Mais il y avait encore de l'espoir, n'est-ce pas ?
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Un an...
Il fallait bien que ça finisse par arrivé...
Je courrais. Je savais que c'était une mauvaise idée de m'endormir. Depuis la disparition de Nino, Marinette avait tendance à partir faire ses recherches sans moi... Elle résistait tant bien que mal au sort d'Oubliette. Mais il lui arrivait parfois d'avoir des mini-amnésies, et il fallait que je sois là pour qu'elle se souvienne de moi.
Mais je m'étais assoupi. Seulement, quelques minutes, et elle était partie...
Peut-être s'était-elle déjà évaporer avec Tikki ??
Il fallait que je la retrouve au plus vite, avant qu'elle me perde définitivement de sa mémoire.
Alors je n'ai pas cessé de courir, jusqu'à ce que je la retrouve dans une ruelle. La pluie brouillait ma vue, mais après tout, il ne restait plus qu'elle dans ce monde ...
« Marinette ! »
« Chat Noir ! »
Pourquoi ne m'appelait-elle pas par mon prénom de civil ?
Tikki avait disparue, elle n'était plus avec elle...
Je me précipitai alors vers elle, la serrant de toutes mes forces contre moi en arrivant à sa hauteur. Mon esprit se vida alors de toute pensée, et je forçais mon corps a resté accroché au sien. Il ne fallait pas qu'elle me laisse, elle aussi. Elle devait me garder dans un coin de sa mémoire. Alors je l'enlaçai comme si ma vie en dépendait, elle semblait me rendre cette étreinte avec la même envie et la même détermination. Elle aussi, avait peur de m'oublier puis de disparaître.
Des larmes lui montèrent au nez, et les miennes suivirent sans tarder. Se mêlant à la pluie pour former un torrent sourd...
Puis, sans me lâcher, elle annonça ce que je savais déjà et que je refusais d'entendre.
« C'est fini, ça commence »
Mon corps se mit à trembler sans que je ne le contrôle.
Non.
Pitié.
Si elle disparait, je n'aurais plus rien.
« Je t'aime, Marinette. Résiste » La suppliai-je en la serrant plus fort contre moi.
Il y eut un grand silence avant que je ne remarque que son corps était figé et que ses yeux étaient devenus vides. Je posai alors ma tête sur son épaule et lui hurlai de rester avec moi. Je la serrais, encore et encore, pour qu'elle ne m'oublie pas, pour qu'elle se souvienne de moi. Je voulais qu'elle garde en elle la force de cette étreinte désespérée...
« Non, je ne veux pas ! Je ne le supporterais pas !! Pas toi !!! »
Je pleurai toutes les larmes que mes yeux étaient encore capables de produire. Je sentis Marinette resserrer son emprise sur moi.
Soudain, elle hurla. Criant de toutes ses forces. Sans aucune raison. C'était un cri de douleur, de haine, de peur... Tant d'émotions se battaient en elle.
Puis d'un coup, je senti un grand vide entre mes bras. Je tombai en avant, entraîné par ma propre force vers le sol.
Les yeux fermés, je me doutais pourtant bien de ce qui allait se passer si je les ouvrais. Et je ne voulais pas voir ça.
Je ne voulais pas voir cette satané poudre dorée...
« Non... »
Je sentis la pluie couler le long de mes bras, je n'avais plus mon costume. J'ouvris alors précipitamment les yeux comprenant ce que cela impliquait.
« Plagg ! »
« Tu n'aurais pas du camembert ? »
Et il s'éparpilla dans le vent, sous forme de poussière dorée.
Un long silence s'ensuit.
J'étais seul.
Définitivement seul.
Pour de bon.
Je n'avais plus mes amis.
Je n'avais plus Plagg.
Je n'avais plus Marinette.
Je n'avais plus personne.
Toute ma vie, j'ai été seul. Et maintenant que je trouvais des gens à aimer, et qui m'aimaient en retour...
Je me retrouvais encore seul.
Je cognais mon front contre le sol. Hurlant de rage et de peine, les yeux rouges à cause de mes larmes.
Je tremblais.
J'avais peur.
J'étais seul.
Encore.
Et pour toujours cette fois...
Il n'y avait plus aucun espoir.
Je préférais mourir que vivre ici, dans ce monde où j'étais seul...
« Ce n'ai pas fini. Tu n'es pas encore VRAIMENT seul. Adrien.»
Je n'eus pas le temps de réagir qu'un grand éclat de lumière m'aveugla...
J'ouvris les yeux sans comprendre.
Et Paris était de nouveau vivante.
Il y avait des gens qui traversaient les rues, des magasins, de la lumière...
Les choses étaient-elles vraiment revenues à la normale ?
Plagg n'était pas revenu, peut-être était-il retourné dans la Miracle Box ?
Est-ce que j'avais fait une sorte de cauchemars ? Non impossible, tout ce que j'ai vécu cette année était bien réel...
Alors...
Je me décidai à explorer les alentours, demandant aux passants s'ils connaissaient mon visage. Malheureusement, personne ne me reconnaissait...
Il fallait que je trouve Marinette.
Elle, elle ne m'avait pas oublié.
J'en étais persuadé.
Mais existait-elle dans ce monde ? Etait-ce vraiment le même que celui que je connaissais ?
J'arrivai devant le collège, et attendait la fin des cours avant de la voir enfin sortir, la tête un peu ailleurs accompagnée de Nino et Alya.
Jamais encore, je n'ai été aussi heureux de les voir. Ils riaient, souriaient, et surtout... Ils étaient là...
Quand Marinette me vit, elle afficha un air étonné et resta fixée sur moi.
Mais je lisais dans ses yeux de l'incompréhension, du doute...
Alors c'était peut-être ça, mon sort, vivre dans un monde, oublié de tous...
Non, je ne veux pas le croire...
« Je t'en supplie, dis-moi que tu te rappelles de moi... » Demandais-je la voix tremblante.
Elle me fixa un instant, semblant me jauger du regard. Elle s'approcha ensuite vers moi, et me serra dans ses bras avec la même intensité que quand nous nous étions quittés.
« Je ne sais pas qui tu es, mais ne part pas »
Mon cœur explosa et je craquai, m'effondrant en larmes, consolé par cette incroyable personne qu'était Marinette.
Se souviendrait-elle de moi ?
Et quand ?
Tant de questions.
Si peu de réponses.
Et pourtant tant de détresse dans cette simple étreinte....
"Être seul ne signifie pas "ne pas être entouré", être seul signifie être ignoré et oublié de ceux qui nous entourent"
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Salut ! Vous l'aurez comprit, il s'agit de la suite de l'OS d'hier.
Bon alors, est-ce que vous avez a peu près comprit ? Il faudrait le point de vue de pleins d'autres personnages pour avoir précisément tous les éléments mais la plus part sont plus que suggérés.
Donc en fait le rêve de Marinette était bien la réalité, seulement pas de pot elle était victime du sort jeté sur Adrien par la tante akumatisé de ce dernier.
D'ailleurs, akumatisée pour une raison bien précise et pas par Gabriel comme on pourrait le croire, mais par Felix... Ouais bon la, j'avoue qu'il faut être dans ma tête pour comprendre XD Je ferais peut-être un troisième en narrateur neutre pour retracer tout le parcours des personnages dans le bon ordre :O EDIT : Parce que en fait il manque la partie où Marinette était allée faire ses recherches seule avant de courir pour retrouvé Chat Noir. Et c'est justement cette partie qui explique la détresse dont elle fait preuve à ce moment là...
EDIT : Une idée de ce qui est arrivé à Marinette et les autres ? Je le dirais plus tard j'ai déjà assez bossé comme ça aujourd'hui :o xD
Bref, j'espère que ça vous a plu et que j'ai pas fait trop de fautes...
EDIT : Bon j'ai galéré à re-puplier cet Os, je n'ai pas trop compris pourquoi il était parti tout seul '-' Peut-être qu'Oubliette lui a jeté un sort ? Bref, le voici de nouveau en ligne avec quelques modifs (ouais j'en ai profité pour corriger du coup mdr XD)
Bisou <3
Aletheia2112
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