Un peu de repis pour Noël

Méredith Lestrange jeta un coup d'oeil ému à ses enfants, Leo et Aria, assis,sagement sur le canapé.
Entre eux, se tenait leur père. Sirius Black..
Il leur lisait une histoire ou il était question de dragon, de troll, et de sorciers, qu'il agrémentait de bruitages qui faisaient éclater de rire les deux enfants.

Sirius revenait d'une mission de plus d'un an.
Bien que séparés depuis huit ans, ils étaient restes en bon termes.
Sirius avait refait sa vie, mais lorsqu'il était rentré de mission, sa compagne était partie,  lassée de ses trop longues absences. Il n'avait pas l'air d'en  souffrir, cependant, et savourait ces petits repis en famille.
Leo, leur fils, venait d'avoir sept ans, tout comme leur fille adoptive, Aria.

L'année avait été difficile. La guerre contre Lord Voldemort et ses partisans, faisait rage, et occasionnait de nombreux dommage.
Regulus Black, le frère de Sirius, avait perdu son épouse, Fleur. Née moldue, elle s'était attirée les foudres des mangemorts en épousant un sang pur, qui avait été l'un des leur, avant de réaliser qu'il  faisait fausse route. Regulus les avait trahi et il en avait payé le prix fort. La mère de ses deux enfants, Antares, sept ans et Jade, trois ans, avait été tuée dans une embuscade, orchestrée par une bande de mangemorts, un peu plus d'un an auparavant.

Quand à Méredith, l'année avait été éprouvante. La solitude, et les attaques incessantes de ses frères, Rodolphus et Rabastan Lestrange, tous deux partisans,de Voldemort, l'avait affaiblie.
Après le décès de Fleur, Regulus lui avait demandé d'emménager chez lui. Afin de l'aider avec ses enfants.
Ils se connaissaient depuis toujours.
Ils étaient liés par une amitié sans faille, et se considéraient comme des frères et soeur, aussi, avait elle acceptée.

Mais par une nuit trop alcoolsisée, la solitude, le manque de chaleur humaine, les avaient jeté dans les bras l'un de l'autre.
Ça n'avait duré qu'une nuit, mais les conséquences avaient été terribles.
Elle était tombée enceinte, Regulus avait refusé qu'elle avorté, il lui avait promis dneyre présent pour ce bébé, mais lorsque celui ci était venu au monde, il avait pris conscience que cet enfant représentait la trahison envers son épouse défunte, il avait demandé à Méredith de quitter sa maison avec le bébé qu'il avait refusé de prendre dans ses bras, ou même de le regarder.
Elle était rentrée chez elle, le coeur lourd.

Et puis ils avaient attaqués.  Bellatrix Lestrange, la femme de Rodolphus, et Greyback, le loup garou, à la solde des
Mangemorts, avaient fait irruption chez elle. Elle avait eu le temps de mettre ses deux enfants à l'abri, mais ils avaient tué le bébé.
Elle leur avait échappé de justesse.maus,cette perte immense, l'avait plonge dans la  dépression. Elle avait d'abord sombre dans l'alcool, mais un soir, les Lestrange lui étaient d éd nouveaux tombés dessus. Ivre, elle était incapable de se défendre Regulus s'était interposé, gravement blessé, il avait survécu à ces blessures,   et Méredith avait renoncé à l'alcool.

Mais elle s'était alors tournée vers la  Belladone, Une plante toxique, qui avait la propriété d'endormir son pouvoir de Legillimens, dont elle ne supportait plus les visions apocalyptiques, et apaisait ses souffrances morales. Mais à haute doses, ou prise de façon prolongée, elle l'empoisonnait à petit feu.
Averti, Sirius était revenu et l'avait sauvé d'une mort certaine, avec l'aide de son frère.
Et à présent, il s'était installé chez elle. Il dormait dans la chambre d'ami.

Et lorsqu'elle se réveillait en hurlant, il se ruait dans sa chambre, et la prenait dans ses bras. Il lui caressait le dos, lui murmurait des paroles, réconfortantes, essuyait ses larmes.
Elle se rendormait et il se glissait dans le lit, près d'elle, elle se blottissait contre lui, et rassurée par sa présence, s'endormait, apaisée.

Ils s'aimaient depuis toujours, depuis leur enfance. La vie ne leur avait pas  fait de cadeaux ils s'etaient perdus retrouvés, mais Méredith avait été enlevée par ses frères. Torturée et violée  par Dolohov, un mangemort, elle avait perdu le bébé qu'elle attendait, et ne s'en était jamais remise. Abandonnée agonisante près de l'étang ou ils jouaient enfants, Sirius l'avait retrouvée, et sauvée, mais elle n'avait plus jamais été la même après ça.
Elle avait fini par le chasser de chez elle.
Mais ils n'avaient jamais cessé de s'aimer.
Et blottit contre elle, il s'enivrait de son odeur, de sa chaleur, sans toutefois s'autoriser le moindre geste déplacé. S'il devait se passer quelque chose, cela devrait venir d'elle.
Il était rentré depuis deux mois, et goutait sans retenue aux joies de la vie de famille.

Méredith se préparait à fêter Noël. La maison était décorée et étincelait.
Elle se sentait libérée, et heureuse, comme si on lui avait enlevé un grand  poids.
La présence de Sirius y était pour beaucoup.

Le seul regret, était la dissension qui opposait les deux frères.
D'un naturel jaloux et possessif, Sirius, avait du mal à accepter que son frère ait pu coucher avec son ex femme, et Regulus lui en voulait de ne pas,être revenu après la mort de sa femme.
Méredith voulait les réunir pour Noël. 
Un réveillon en famille, afin d'oublier cette maudite année, une occasion de se réconcilier, et de laisser derrière eux, les dissensions et les souffrances, afin de commencer une nouvelle année, dans de bonnes conditions.

Elle avait réussi à convaincre Regulus de venir à son réveillon. Il serait accompagné de sa nouvelle amie, Elizabeth. Pour Méredith c'était une grande victoire.
Elle redoutait la réaction de Sirius, mais elle avait eu tort. Il avait assuré être content, c'était ses mots, que Reg, ait accepté.

Elle rejoignit sa petite famille et s'installa dans un fauteuil, une tasse de thé à la main.
Un feu crépitait dans la cheminée.
Une explosion secoua soudain la maison.
Méredith bondit hors de son siège, faisant tomber sa tasse, qui se brisa  au sol, renversant son contenu sur le tapis.
Sirius se leva à son tour, et sortit sa baguette.
- Mets  les enfants à l'abri.
Elle les prit par la mains, et les conduisit au sous sol.
Ils avaient l'habitude. Le sous sol était aménagé de façon à ce qu'aucun sorcier ne puisse y pénétrer, un endroit súr que seuls les enfants pouvaient ouvrir, une fois à l'intérieur.

Sirius se dirigea vers la porte d'entrée et l'ouvrit à la volée.  Il s'arrêta  net.
- papa !
Cassandra, sa fille aînée se tenait  dans la cour.
Elle lui souriait.
Cassandra avait presque dix neuf ans.
C'était une fury. Un être fait de magie  noire partageait son esprit avec elle, lui procurant une puissance inimaginable.
Depuis qu'elle avait quitté Poudlard, à la fin de sa sixième année, Cassandra luttait avec l'Ordre du Phoenix contre Voldemort. Avec son compagnon,  Ethan, ils avaient eu un bébé. Aiden. A present âgé de six mois. Elle avait disparu avec son bébé et Ethan, pour les mettre à l'abri, tandis qu'elle combattait les monstres de Voldemort, Les détraqueurs, les loups  garous, et bien d'autres.

- Cassy  ? Mais. Qu'est ce que tu fais la ?
- C'est le premier Noël d'Aiden, il est hors,de question qu'il le passé loin de sa famille.
Le regard de Sirius se posa sur Ethan, derrière elle. Il tenait dans ses bras,  un petit garçon,  chaudement vêtu, et autour d'eux des débris de pierres, jonchaient l'allée.
-Sirius,fronça les,sourcils.
- CASSY !
- Oups. Désolé, Papa, mais tu sais à quel point je déteste ces aigles de pierre.
Sirius sourit.
- Hum, moi aussi je les deteste. Mais ta mère va piquer une crise.

A Poudlard, Méredith était à Sardaigle. Cette maison était représentée par un aigle.
Méredith avait placé deux statues en pierre  de ses oiseaux, qu'elle avait ensorcelée.
Placé chacun sur un pilier, il gardaient la maison. Lorsque l'on sonnait au portail, l'aigle de droite lançait.
- Si tu viens en ennemi, passe ton chemin, ou âprête toi à mourir dans d'atroces souffrances.
Si tu viens en ami, donne ton nom et  réponds à cette question.
Le second aigle posait y, une question intime, que seule la personne concernée pouvait connaître.

Lorsque Sirius vivait avec Méredith, il avait placé un lion à côté de chacun des aigles. Après,son départ, Méredith les avaient enlevés.
Au dessus de la porte d'entrée, le blason des Serdaigle trônait. Une guirlande électrique étincelait..

- Sirius tendit les bras vers le bébé, qui s'agita dans les bras de son père. Sirius le prit, le souleva à bout de bras, et l'enfant éclata de rire.
- Alors, bonhomme ? Tu vas bien ? Qu'est ce que tu as grandi !
- Ne m'en parle pas. Répliqua Ethan. Il grandit vraiment trop vite
- fais,un bisou à papi,  Aiden..
- NON ! Cassy, je te l'ai déjà dit. Pas Papi. Sirius. Tu entends Aiden ? Je suis beaucoup trop jeune et BG pour être grand père.
Cassandra éclata de rire.
- Tu changeras jamais.
- J'espere bien. Viens embrasser ton père, au lieu de critiquer
Cassandra se blottit contre lui.

- Tu m'as manqué, Papa.
- Toi aussi mon coeur.
- Salut toi. Toujours aussi beau gosse pour un grand père.
Sirius sourit.
Il.y avait bien.longtemps que la voix de,Velia, l'entité de magie noire qui vivait dans le corps de sa fille n'avait pas raisonné dans sa tête.
- Salut Velia. Je suis content de t'entendre.
- Pas autant que moi. Je commençais à devenir folle, avec ces trois là, toujours à ce bécotter. Beurk !
- Ah Velia, tu m'as manqué.

- Maman n'est pas la ?  demanda Cassandra.
- Au sous sol avec les petits. Tu lui as fichu une sacré frousse.
- Je suis désolée.
- Ce n'est pas grave, elle les réparera en une fraction de seconde, et ils recommenceront à nous agacer.
- Qu'est ce que tu fais là, papa ?
- Je vis ici.
- Q...Quoi ? Mais...Depuis quand ? Vous vous êtes,Remus ensemble ? Et Libie ?
- Libie est partie. Et non, je ne me suis pas remis avec ta mère. Mais..Je me suis installé ici pour...veiller sur elle.
- Et elle a accepté ?
- Je lui ai pas laissé. le choix. Je t'expliquerais.

Ils entrèrent et tandis que Sirius retirait la doudoune d'Aiden, Cassandra descendit l'escalier menant au sous-sol.
- Maman ? Tu es là ?
- Cassy ? C'est toi ?

Méredith n'aurait jamais pensé revoir sa fille de sitôt. Elle se rua dans les escaliers et serra sa fille dans ses bras.
- Mais qu'est ce que tu fais là ?
- On est venu passer Noël avec toi.
- On ? Tu veux dire..?
- Ethan et Aiden aussi.
- Oh ma chérie. Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir.

Avoir ses trois enfants, son petit fils, Sirius et Reg, et ses enfants  réunis, pour Noël, c'était inespéré.
Méredith avait l'impression d'être sur un nuage.

Ce matin la, elle buvait une tasse de thé, goûtant à un peu de calme avant que les enfants ne se réveillent.
Et la vision lui apparut, aussi nettement que si elle se déroulait dans la cuisine

Une forêt qu'elle reconnut pour être celle de Webminster, une toile de tente et un homme à l'air las, qui préparait son départ.
Le coeur de Méredith se serra devant la pâleur de l'homme, et son air  de  profonde tristesse.
Elle redoutait le pire, car si elle le voyait, cela ne pouvait signifier qu'une chose, l'homme allait se faire attaquer.

Sirius, descendait l'escalier, le petit  Aiden dans les bras.
- Mèry, je crois que ce petit diable meurt de faim.

Comme elle ne répondait pas, il s'inquiéta.
- Mery ?
Il posa l'enfant par terre, et posa sa main sur l'épaule de la sorcière.
Elle se retourna et lorsqu'il vit son regard, il sut ce qui se passait.
- Qu'est ce que tu as vu ? Demanda t'il ?
- Remus. Il vont l'attaquer d'une minute à l'autre.
Il blemit.
- Ou ?
- La forêt de Dean.
- J'y vais.
- Je viens avec toi.
- Non. Mèry,  il faut que tu restes là, pour les enfants.
- Ne t'inquiète pas, maman, j'y vais avec lui.
- Cassy ?
- Velia m'a prevenue que tu avaispris Aiden, je suis descendue pour m'en occuper, et j'ai entendu. Donne moi cinq minutes pour m'habiller, et j'arrive.
Elle disparut aussitôt. Et revint quelques, minutes plus tard,
- On y va.

Lorsqu'ils arrivèrent près de la  rivière, ou Remus Lupin avait planté sa tente, la veille au soir, la neige recouvrait la forêt.
Deux mangemorts gisaient sur le sol, Stupéfixés, et Remus faisait face à quatre autres.
Ils n'eurent pas le temps de jeter le moindre sortilège. Ils se retrouvèrent pétrifiés, presque instantanément.
Surpris, Remus chercha ou venait ce miracle.

- Hello Remus.
Il fronça les sourcils, et sourit à Cassandra qui venait d'apparaître.
- Cassy, tu ne pouvais  pas mieux tomber.
- Je sais, c'est Maman qui nous a prévenu
- Salut lunard
- Sirius ?

Ils se donnèrent une brève accolade.
- J'ai jamais aussi été heureux de vous voir. Dit Remus
- On est content d'être arrivés à temps. Lui assura Sirius.
- Mais comment m'avez vous trouvé ?
- C'est Maman qui nous a prévenu, et Velia à fait le reste.
- Vous le remercierez pour moi.
- Tu le feras toi même.
- En fait..Je me rendais chez Andromeda, en prenant des chemins,  détournés, au cas où, quand ces rafleurs me sont tombés dessus.

Sirius les examina.
- Au moins ils ne sont pas morts. Velia à fait des progrès.
- Elle n'a pas le droit de tuer des sorciers
- Hélas, ! Soupira Cette dernière dans la tête de Sirius, qui sourit.
- Et Méredith, comment va t'elle ? Demanda Remus. Les nouvelles que j'en ai eu n'étaient pas très bonnes.
- Elle va bien, elle est passée par des moments difficiles, expliqua Sirius,  mais à présent, elle va bien, même si on les nuits sont encore compliquées.

- Les nuits ?
- Parce papa s'est installé chez elle.
Remus coula un regard interrogateur vers,son ami.
- Vraiment ? Et comment Libie à t'elle prit la Chose ?
- Elle est partie
- Oh, désolé, mais, c'était à prévoir. Quelles qu'aient été tes raisons, elle n'a pas du apprécier  beaucoup,
- Elle était déjà partie. Je suis parti presque deux ans, avec de brèfs retour, elle en eu assez de m'attendre.
- Hum, la guerre ne facilite pas la vie de couple. 
- Non, c'est certain. Et comment vont Dora et Teddy ?
Remus sourit en songeant à son petit garçon.
- Il grandit beaucoup trop vite.
- Oui, ils grandissent trop vite, et on en profite pas assez. Leo va avoir huit ans, tu te rends compte ?
- Oui, et Aiden changé tellement vite ! Soupira Cassandra.
Remus sourit.
- Mèry doit être contente de vous avoir pour les fêtes.
- Elle est sur un nuage. Reconnut Cassandra
- Je la comprends. Soupira Remus. Je vais passer les fêtes chez les Tonks, j'espère pouvoir profiter un peu de mon fils de et ma femme pendant les fêtes.
- On t'accompagne. Dit alors Sirius. Il y a une eternite que je n'ai pas vu Andro et Ted, et puis j'ai hâte de revoir le petit Teddy.
Remus sourit à l'évocation de son fils.
Velia les enveloppa et ils se retrouvèrent devant la maison d'Andromeda et Ted Tonks.

Ce qu'ils découvrirent, leur glaça alors le  sang. Le portail avait été arraché, les décoration de Noël avaient été saccagées, et au milieu de la cour enneigée, se tenait une jeune femme aux cheveux rouges vif, tentait de remettre un peu d'ordre.
Remus se précipita vers elle.
- Dora !
Elle releva la tête et son visage fermé s'éclaira aussitôt. Elle se rua dans ses bras.
Il la serra contre lui, et ils s'embrassèrent.

- Ne me dis pas que c'est à toi qu'on doit se,désastre ! S'exclama Sirius.
Nymphadora soupira.
- J'aurais préféré. Bonjour Sirius, ça faisait longtemps.
Sirius serra sa jeune cousine dans ses bras.
- Que s'est il passé ? Demanda T'il.
- Les Lestrange nous ont rendu une petite visite.
- Tes parents vont bien ? Demanda Cassandra.
- Oui, mon père a pris un Doloris mais depuis qu'il s'entraîne avec Méredith, il résiste mieux. Et maman a salement esquinté Bella.
- Dommage qu'elle ne l'ai pas tué.

Ils entrèrent à l'intérieur.  La maison, d'habitude si nette, si impeccable, était dévastée, les meubles renversés, les bibelots et les cadres de photos brisés, le sapin et ses décorations,  renversés.

Au milieu de se désastre, Andromeda contemplait le désordre, une moue
dubitative sur le visage.
Ted, passa un bras autour des épaules de sa femme.
- Ce ne sont que des dégats matériels, ma chérie, nous sommes tous sain et sauf, c'est l'essentiel.
- Bien dit Ted.
Andromeda se tourna vers Sirius er lui sourit.
- Sirius ! Si je m'attendais. Remus, Cassandra, quelle surprise. J'aurais préféré vous revoir dans de meilleures conditions.
- Comme l'a dit Ted, vous,êtes tous en vie, c'est l'essentiel. Affirme pl à Remus.
- Andromeda donna un petit coup de pied, dans une guirlande, qui traînait à ses pieds.
- Mais le réveillon est fichu.
Sirius soupira.
- Pourquoi ne pas venir réveillonner avec nous, chez Mèry ?
- C'est gentil Sirius, mais on ne va pas s'imposer...
- J'envoie un patronus à Mèry. Elle sera ravie de vous accueillir.
Andromeda soupira.
- Bon, je m'incline, mais,je tiens à participer.
Sirius sourit,,il préférait ne pas imaginer Méredith et Andromeda se chamaillant pour les préparatifs.

Ils nettoyèrent le désordre, et prépareront quelques affaires.
Puis, Sirius envoya un patronus à Méredith pour la prévenir.
Lorsque le chien noir eut délivrer son message, Méredith eut un mouvement de panique, et entreprit un ménage de fond.

Ils arrivèrent peu après.
Méredith les accueillit, avec un large sourire chaleureux.
- Andri, Ted, je suis tellement désolée pour votre maison.
- Elle est debout, et puis, Sirius et Cassandra nous ont aidé à tout nettoyé, et j'avoue qu'une fury est bien pratique pour faire disparaître des dégâts.
- Tu vois, beau gosse, je ne fais pas que provoquer des désastres, je sais aussi les réparer,  pavoisa Velia dans la tête de Sirius.

Il régnait à présent une atmosphère chaleureuse et animée, et Méredith. était comblée.
Et puis,un grand cerf argenté surgit au milieu du salon, ou Sirius, Ted, Remus et Ethan, discutaient au milieu des enfants, qui jouaient ensemble.
Sirius et Remus se levèrent d'un bond.
- Salut Mèry, Sirius est chez toi ? Nous sommes en ville.
Sirius et Remus se lancèrent un regard entendu et aux sourires qu'ils arboraient, manifestement très heureux.
Sirius envoya aussitôt un patronus à James, et ils transplanèrent.
Andromeda et Meredith se regardèrent et sourirent.
- Bon, on a plus qu'à rajouter deux couverts.

Quelques heures plus tard, James Potter et sa femme Lily, prenaient place dans le salon, qui n'avait jamais vu autant de monde réuni.
Lorsque la sonnette retentit, une heure plus, Regulus Black, et sa nouvelle amie, Elizabeth Holmes, ainsi que les deux enfants de Régulus se joignirent à eux.

Méredith observa son  salon, rempli de ses gens qu'elle aimait tant, et sourit
Aucune vision apocalyptique ne venait assombrir le bonheur d'être tous réunis.
Antares  s'était jeté sur James et ne le quittait plus, Leo était assis sur les genoux de son père, et Aria était lovée dans les bras de Régulus.
Lily tenait le petit Teddy, dans ses bras, tandis que Aiden, assis par terre sur le tapis jouaient avec des,cubes magiques. Dora était blottit contre Remus. Et Cassandra et Ethan discutaient avec Les Maraudeurs.

Le verre en plastique d'Aiden s'éleva bientôt dans les airs, et Aiden l'attrapa au vol.
- Bon, approuva Andromeda. Au moins on sait que c'est un sorcier.
- Pourquoi ? Demanda Sirius, tu en doutais ? Après tout c'est un Black.
Il n'y a jamais eu de crackmoll chez les Black.
- Chez les Potter non plus, renchérit James.
- Oh non ! S'exclama Lily, vous n'allez pzs faire-un-don concours d'ego, tout les deux.

Ce jour-là, au milieu des discutions animées, des rires. Et de la joie des enfants découvrant leur cadeaux, Méredith mesura la chance qu'ils, avaient d'être encore tous en vie, et réunis ainsi. Si cette guerre perdurait, combien seraient encore là l' année suivante ?
Comme s'il devinait ses pensées, Sirius lui prit la main. Leurs regards se croisèrent et dans ses pensées elle lut "je t'aime Mèry"
Elle lui sourit.
- Moi aussi. 

Regulus se glissa près d'elle et lui embrasse la joue.
- Merci grande soeur, de nous,avoir tous réunis. Ça faisait longtemps.
Méredith lui sourit
- Vous voir un peu heureux, tous, c'est un grand réconfort.
Regulus lui sourit.
- Oui, Ça fait du bien.

Mais Mèry pensait à ceux qui n'étaient pas là, à Harry, et à ses amis, Ron, Hermione, seuls dans la nature. Ils étaient si jeunes. Elle songeait z tous ceux qui n'étaient plus, et ne rêveraient jamais leur familles.

- C'est juste un repis. Songea t'elle.
Un peu de joie, afin de reprendre son souffle, et de recommencer à se battre

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