Kidnapping

Regulus Black était furieux.
Il jetait des regards noirs à la jeune femme, en face de lui.
- Putain Mèry tu fais chier ! Qu'est ce tu fichais dans ce club ?
Méredith Lestrange lui adressa un regard moqueur.
- Je dansais ne te déplaise.
- C'est ça fiche toi de moi.
Elle soupira
- Tu n'es pas obligé de jouer les ange gardien tu sais. Répliqua t' 'elle avec humeur.
- Ah oui ? Bonne Nouvelle. Dans ce cas, tu me dira qu'elle tenue je dois mettre à ton enterrement.
Elle leva les yeux au ciel et se leva en bottillant. Elle posa les mains sur ses épaules.
- reg, lui souffla t'elle à l'oreille. Je te remercie de m'avoir sauve la vie, encore une fois

Il souffla, et la repoussa.
- Tu as bu ou quoi ?
- Pas une goutte.
- T'as l'air bizarre.
- C'est l'adrénaline.
- Hum. En tout cas faut que ça s'arrête. Tu es trop prévisible. Ils savaient ou te trouver ce soir. Tu as eu de la chance que ce ne soit pas tes frères ou Bella, à la place de ces guignols.

Elle se rassit et posa ses pieds sur la table basse.
- Mes frères me pourrissent la vie depuis ma naissance, mais ça ne m'empêchera pas de vivre comme je l'entends. J'ai besoin de ce club, Reg, la musique, le bruit, ça me permets de me vider la tête. De ne plus voir ni entendre.. Ce qui se passe, ailleurs, de ne plus penser
Avant, j'avais l'alcool, mais, depuis que tu as failli mourir en te jetant devant moi pendant que cet abruti de Rodolphus me lançait un Avada, j'y ai renoncé. Je b e couche plus à une goutte de whisky. Je ne bois même plus de bière.
Il ne me reste plus que ce club.

Il soupira.
- Alors au moins change d'endroit, ils savent que tu viens la, chaque fois que tu n'as pas tes enfants. Et Rabastan et Rodolphus ont juré de te tuer, depuis,que tu as failli tuer Rab.
Elle grimaça.
- Ils essaient de me tuer depuis ma naissance, et regarde, je suis toujours là.
- Mais jusque là. Il voulaient surtout te torturer, aujourd'hui, ils se contenteront d'un Avada.
- Bein, on dirait que j'ai de la chance alors.
- Bon sang !
Regulus tapa du poing sur la table.
Méredith ne cilla pas.

- Tu n'as pas l'intention d'arreter, n'est ce pas ? Lui demanda t'il d'un ton exaspéré.
- Nan. Essaie de comprendre, Reg, nuit et jour, je vois des massacres, des, amis en danger, ça me réveille en pleine nuit. La nuit dernière, je me suis réveillée à trois heures du matin, parce que je voyais James se faire attaquer pas six mangemorts.

Regulus pâlit.
- Il va bien, se hata t'elle de le rassurer. Il a réussi à envoyer un Patronus. Mais j'ai quand même averti l'ordre.
Regulus soupira de soulagement.
C'était étrange ce lien d'amitié qui s'etait tissé entre eux, depuis que Regulus avait quitté les mangemorts pour celui de l'Ordre.
Personne n'aurait pu le prévoir, à l'époque de Poudlard, mais le trio des Maraudeurs avait adopté le petit frère de Sirius Black, et le considérait comme l'un des leurs. James était même le parrain d'Antares, le fils de Régulus et de son épouse Fleur, décédée un an plus tôt, par le fait de mangemorts.

- Bein tu vois, reprit Reg, narquois, il n'a pas,eu besoin de toi, en fin de compte.
- Le problème n'est pas là. Je ne me crois pas indispensable, tu sais, je sais pertinemment que vous n'avez pas besoin de moi, mais cette cochonnerie de malediction, s'en fiche, et elle continue de m'envoyer des images de vous en danger, ça ne s'arrête jamais.
Alors oui, Reg, si je peux, au moins quelques heures, trouver comment me vider la tête, je le fais, et je me fiche des conséquences.
- Mèry, tu es née avec ce don. Et jusque là, ça ne te posait pas de problème.
- Si Reg, mais c'était supportable. Mais... Depuis ma séparation d'avec ton frère, c'est devenu plus difficile.
Et depuis la mort de mon bébé. C'est devenu encore pire.

Il frémit, tandis qu'elle évoquait le décès de leur nouveau né, assassiné par le loup garou Greyback. Il nota qu'une fois de plus, elle avait dit mon et pas notre, comme si elle refusait d'admettre qu'il en était le père.
Il avait suffit d'une nuit, fortement alcoolisée, peu après le décès de Fleur, une seule nuit, durant laquelle. Le chagrin, la solitude, leur avait fait perdre la tête, et un bébé était né de cette brève union qu'ils avaient aussitôt regretté. Il n'était pas question d'amour, entre eux, en tout cas pas de cet amour la. Un lien très fort les unissait, plus qu'une amitié, un lien presque fraternel, même si Regulus, au même titre que son frère, en dépit de leur séparation, se montrait un brin trop possessif et protecteur.

- Très bien, dit il, dans ce cas, je viendrais avec toi.
Elle lui jeta un regard stupéfait.
- Tu plaisantes j'espère !
Mais il avait les bras croisés sur sa poitrine, et son expression fermée indiquait clairement qu'il était serieux et déterminé.
- Tu détestes les boîtes de nuit.
- Je n'y vais pas pour la boîte, j'y vais pour toi.
- Je peux me défendre toute seule, tu sais.
- Rien de ce que tu me diras, ne me fera changer d'avis.

Elle ne le connaissait que trop bien, pour savoir qu'il disait vrai.
Elle soupira.
- Si ça t'amuse.
- Pas vraiment, mais je tiens trop à toi, pour prendre le risque de te perdre.
Elle se sentit émue par ses paroles,qu'elle savait sincères.
- Reg, ça me touche vraiment. Mais.. Tu en auras vite assez, crois moi, et puis tu comptes faire ça combien de temps ?
- Je sais pas, le temps que tu redeviennes toi même.
- Oh,,et c'est quoi, Etre Moi même.? Cette femme triste, et solitaire ? Celle qui s'effondre sur son lit vide, en pleurant ? Celle qui regarde ses amis vivre leur vie de couple heureux et épanouis, tandis qu'elle les envie de loin.

- C'est toi qui l'a chasse de ta vie.
- Je sais, et il n'y a pas un jour, pzs une seconde ou je ne le regrette.
- Tu l'aimes toujours ? Il y avait une pointe d'amertume dans sa voix.
- Je l'aimerais toujours, jusqu'à mon dernier souffle,mais est ce que jexsuus toujours amoureuse de lui ? Franchement, Je sais pas.

Elle était épuisée. Il avait soigné ses blessures, et elle ne souffrait pas, mais, à présent, une chape de plomb pesait sur ses épaules.
Elle Bailla,
Il avait décroisé les bras, et les avait étendus,de chaque côté du dossier du canapé. Elle mourait d'envie de se blottir contre lui. Avant elle l'aurait sûrement fait, sans arrière pensée, il aurait refermé ses bras sur elle, et elle se serait endormie, sereine et rassurée, en sécurité.
Mais depuis cette nuit,,qu'ils n'auraient jamais du partager, elle gardait ses distances.
Elle soupira.
- Rentre chez toi reg, tes enfants ont plus,besoin de toi que moi.
- Ils sont chez James. Personne ne m'attend

À l'amertume dans sa voix elle s'en voulu d'avoir parle de sa solitude. Car elle l'avait choisi, en quelques sortes,
Pas lui. Mais que pouvait elle répondre ? Qu'elle comprenait ? Qu'elle était désolée ? Qu'est ce que ça lui rapporterait ?
Alors,avec un soupir,,elle fit ce qu'elle s'interdisait jusque là.
Elle se blottit contre lui. Et lorsqu'il referma ses bras sur elle, elle ressentit aussitôt un grand apaisement.

Damon  Riordan était une ombre. Un tueur à gage, qui travaillait pour un gropuscule qui portait ce nom, parce que ses agents tuaient rapidement, sans laisser de traces.
C'était un homme froid, déterminé, et sans pitié.
Plutôt bel homme, il dégageait une aura sauvage que la plupart des femmes, attirait.
Mais en dehors du sexe, sans aucun sentiment, elles ne l'interressaient pas.

Orphelin, né d'une moldu et de père inconnu, il avait d'abord été un petit voyou, que ses dons particuliers, la magie. avait propulsé chef de bande, dans les quartiers sud du Bronx aux états unis.
Et puis, une nuit de pleine lune, le loup qui dormait en lui, s'était réveillé.
Il avait alors découvert que son père, n'etait autre que Garret Olson, l'Alpha des loups garous de New York.
Ces loups la, venaient d'une tribue très ancienne, capable de se se transformer, à volonté, en vrai loup, un peu comme un animagus, qu'ils contrôlaient parfaitement.
Cela pouvait s'avérer utile, pour traquer une proie.

Il ne s'était jamais senti ému, ou embarrassé de remord. Et il n'avait jamais hésite.
Discret, rapide et efficace, il était le meilleur dans sa branche.
Mais cette fois, sa proie était différente.
Il y avait quelque chose d'indefinissable, chez elle qui l'attirait irrésistiblement.
Une certaine souffrance qu'elle s' efforçait de masquer sous un air indifférent, et une force de caractère peu commune.
D'habitude, il ne s'encombrait pzs de détails inutiles sur ses victimes. Leur nom, l'endroit où on pouvait les trouver, ça lui suffisait.

Mais il avait eu envie d'en savoir plus sur elle. C'est ainsi qu'il avait su qu'elle était un sang pur, issue d'une grande et ancienne famille, les Lestrange, lesquels s'etaient révélés être des partisans de Voldemort, depuis la première heure, et qu'elle n'avait pas hésité à trahir, envoyant son propre père Azkaban, à laquelle il n'avait pas survécu. Elle avait prit le parti de lutter contre Voldemort et sa propre famille cherchait à la tuer.
C'était ses,frères, Rodolphus et Rabastan_Lestrange suu avaient engagé les ombres pour l'éliminer.
Legillimens,, mère de deux enfants, divorcée, depuis six ans,,et seule depuis.

Seule ? Mais alors qui était ce grand brun, qui semblait la,suivre partout ?
Il était encore là, ce soir. Il ne dansait pas.
Assis au bar. Il dardait sur elle un regard à la fois amusé et féroce et se crispait, chaque fois qu'un homme l'approchait de trop près,

Elle semblait indifférente à tout, sauf à la musique, à laquelle elle s'abandonnait totalement. Elle ne buvait pas d'alcool. Elle était là pour danser.
Puis. Elle vint s'asseoir près du brun et lui sourit. Et Damon ressentit une envie de meurtre.
Il lui sourit en retour
- Tu bois quelque chose ? Lui demanda t'il ?
- Un jus de tomate.
Lui devait en être à son quatrième whisky.
Il commanda d'une voix pâteuse.
Elle le but d'un trait,,et l'entraînaxsur la piste.
Il tenta de protester,,mais il finit par céder.
Il l'enlaca, et elle enfouit da tête contre son épaule, abandonnée.

Un serpent venimeux mordit le coeur de Damon Lui, il le tuerait pour le plaisir.
Il n'avait jamais ressenti ça, pour personne. Cette envie irrésistible de la prendre dans ses bras, de carresser sa peau, de l'embrasser. De l'attirance physique, c'était tout. Une fois qu'il lui aurait fait l'amour cesserait fini. Il se rendrait compte qu'elle était comme toutes les autres femmes.
Elle était belle. Sexy et attirante, mais cf n'était pas la première qu'il croisait. Il en avait connu beaucoup d'autres, et il les avaient tué sans le moindre remord, ce serait pareil pour elle.
Il restait à trouver comment l'aborder. Ce ne serait pas,si facile. Il n'y avait qu'à voir la façon dont elle repoussait ceux qui l'approchaient de trop près.
Et puis, il fallait éloigner le grand brun. Il pourrait le tuer, bien sûr, mais, elle risquait de ne pas apprécier.
Il devait de montrer patient et malin, ne pas la brusquer. Ça prendrait du temps, mais ça n'avait pas d'importance. Les clients necm seraient sans doute pas très contents. Mais la façon dont il gérait son contrat, ne regardait que lui.

La danse était terminée.
Méredith sourit à Reg.
- Viens, le calvair est terminé. On rentre.
Il lui sourit
- Enfin une bonne nouvelle.
Elle rit tout bas, et il quittèrent la boîte.
Damon, leur emboîta le pas.
C'est alors qu'elle se crispa.
Regulus fronça les sourcils
- Qu'est ce qu'il y a ?
Il ne connaissait que trop bien ces signes, qui indiquait la vision d'une catastrophe imminente.
- Une attaque à Greenwich. James et Sirius sont en danger, vas y, vite.
Il la regardait, hésitant.
- Vas y Reg. Je peux rentrer toute seule.
Il transplana, et elle soupira.
Alors, très lentement, elle se retourna.
Il y eut plusieurs crack sonores, et une demi douzaine de sorciers encapuchonnés apparurent au milieu d'eux, une femme brune au cheveux épaix et bouclés, aux traits émaciés, lui lançait un air mauvais.

Méredith fronça les sourcils.
- Tiens, Bella, ça fait longtemps. Tu es,venue en nombre. Je te fais si peur que ça ?
Bellatrix Lestrange éclata de rire

- Peur ? De toi ? Même pas en rêve. Ils sont là pour ceux qui auraient la malencontreuse idée de nous interrompre.
Méredith soupira. Elle n'avait aucune chance, contre six mangemorts sans compter Bella. C'était pour ça qu'elle avait menti à Regulus, pour qu'il ne risque pas sa vie, une fois de plus en essayant de la sauver, et puis elle ne voulait pas qu'il la voit mourir.

Damon hésitait. Elle ne ferait pas me poids, face à ces brutes. Bien sûr, cela pouvait résoudre son problème ils la tuaient, et il se ferait payer quand même.
Pourtant cette idée le révulsait

- Allez Bella, finissons en.

Bella ? Bellatrix Lestrange, sa belle soeur, l'une des mangemort les mus puissante, pour ce qu'il en savait. Il avait vu son portrait sur des affiches de recherche.

Méredith et Bellatrix se lancèrent dans un duel dont l'issue ne pouvait être que fatale.
Elles rivalisaient de puissance et de dextérité, mais les gestes de Bellatrix étaient plus brouillons, plus nerveux, mais tout aussi efficace.
Lorsque Méredith chuta pour la troisième fois, Damon fit un.pas en avant.

Elle fit un effort désespèré pour se relever, sans y parvenir.
Bellatrix n'était pas en meilleur état qu'elle. Elle boittilla jusqu'à Méredith, mais au moment de pointer sa baguette sur elle, Méredith lui envoya un maléfice qui l'expedia à plusieurs mètres.
Damon sourit. "bien joué."
Mais les mangemorts réagirent aussitôt. Elle se protégea derrière un bouclier, mais il ne tiendrait pas longtemps, sous le feu nourris des sortilèges. Ils la tueraient forcément.

Il décida d'intervenir, mu par une impulsion subite. au moment même ou Regulus, furieux, apparaissait à son tour. Les sortilèges fusèrent, de part et d'autres. Profitant de la confusion qui régnait. Damon saisit Méredith et transplana, sous les yeux médusés de Régulus.
- MERY !!!! Hurla t'il.



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