L'ère Sengoku. Une ère de guerre, de confrontation dans le but de donner la puissance à l'armer gagné, lui permettant de réaliser son souhait. Nous avons plusieurs armées, mais qui finisse tous par s'allier pour en former plus que deux.
L'armé du soleil, et l'armé de la lune.
Armé du soleil diriger par Ieyasu Tokugawa.

Secondé par Tadakatsu Honda.

Avec comme allié Masamune Date, accompagné de son œil droit Katakura Kojuro.

Ainsi que Mori Motomori

Et la seconde armée, l'armée de la lune et dirigé par Ishida Mitsunari

Secondé par Yotsugo.

Et en allié Yukimura Sanada, accompagné de Sarutobi Sasuke.

Et enfin Motochika Chosokabe

Chacun a leur objectif propre, chacun a leur espoir, leur vision des choses. Je vais vous conter leurs histoires, et ce qui les relis...
Commençons par Motochika Chosokabe et Mori Motomori. Un pirate et un seigneur du soleil. L'un veut venger ces compagnons morts, et il est le rival de Mori de par leur caractère l'un veillant sur ces compagnons qui l'appelle « aniki » (frère) et l'autre manipulateur voulant conquérir toutes les terres pour propager sa foi.
Yukimura Sanada et Masamune Date. Rivaux depuis leur première confrontation, l'un incarnant un tigre, l'autre, un dragon. Ils participent à cette guerre uniquement pour s'affronter et car ils veulent en finir de cette ère malsaine.
Sasuke et Kojuro sont ennemis de par les relations de leur « maître » mais pourtant semble avoir autant de respect pour l'un comme pour l'autre en combat, tout comme le tigre et le dragon.
Et enfin...Ieyasu et Mitsunari.
Le soleil qui veut unir les forces par la force des liens, des relations, voulant limiter les pertes, avec de belles paroles qu'il dit avec ferveur, prêt à tout pour cela, même à combattre à poings fermés, devant les sabres, flèche et pistolet.
La lune vengeresse, voulant se venger de son ancien ami Ieyasu, qui a tué leur maître Hideyoshi, qui été tout pour lui. Avide d'une vengeance, de haine, et doté d'un cœur sombre, sabre en main s'apprête à affronter son ancien ami, ancien frère...
Revenons alors à cette guerre maintenant que tout cela et clarifier. Nous, nous trouvons au château d'Osaka, l'endroit où réside Mitsunari. L'armée du soleil arrive et décide d'une confrontation frontale menée par Masamune, qui déblaiera le chemin pour Ieyasu.
Ieyasu : Allons-y Tadakatsu. On compte sur nous.
Il saute alors sur son ami, qui se mit à voler alors sans problème, le combattant restant fièrement debout, bras croisé, se concentrant au sol pour se diriger vers le palais central.
Beaucoup d'hommes perdaient la vie. Mais malheureusement tel et le sacrifice d'une telle guerre. Yukimura et Masamune à peine entrevue se sont directement affronté, hurlant des « Yukimuraaaaaa », et « Masamuneeeeee ».
Et au loin Chosokabe, piéger le seigneur du soleil avec son ancre, malgré l'adresse de son opposant, la force de ce dernier eu raison de lui rapidement lui rendant coups sur coups.
Les seconds comme Kojuro, Sasuke, Yotsugo allait briser les lignes ennemies, permettant à leur maître de passer.
Puis arrive l'heure de la confrontation entre les liens construit, et les liens détruits. Ieyasu saute du robot et atterrit face au trône, atteint.
Mitsunari : Ieyasu, tu as enfin cessé de fuir comme un lâche.
Ieyasu : Je ne me suis jamais enfui Mitsunari.
Mitsunari : FERME-LA ! ET QUAND TU AS TUER SEIGNEUR HIDEYOSHI ?!
Le seigneur du soleil regardé celui qui était assis, sabre en main, le visage au sol.
Mitsunari : Rappelle-moi qui t'avais recueilli, héberger, aider ?!

Ieyasu : On n'avait pas d'autre choix, c'était un tyran.
Mitsunari : Il était ma seule famille.
Il relève son visage, avec ses yeux sombre, remplis de larme de sang.
Mitsunari : Il m'avait nourri, offert une vie, une existence et toi, tu as tout gâché, alors qu'il te considérait comme son fils ! On aurait pu changer les choses à nous deux, toi qui parles tant de lien, tu as détruit le plus important pour moi en le tuant ! Et tu as brisé le nôtre ! À présent, il est temps de payer ta dette.
Ieyasu : Il a tué un millier d'hommes, voir million, sans culpabilité, te transformer en marionnette, et tu l'idolâtrais, tout comme maintenant, trop, pour que je puisse te demander de m'aider.
Le seigneur au désir vengeur, se redresse, son second voulant intervenir, vite arrêter par Mitsunari.
Mitsunari : Si tu tiens à ta vie, part d'ici Yotsugo.
La momie partit, vite accompagnée par le robot au loin, balayant le chemin pour leur troupe respective.
Ieyasu : Je suis venu. Pour assumer mes actes envers toi. Alors viens ! Qui de nous deux l'emportera ?!
Mitsunari : TU VAS ME LE PAYER DE TA TÊTE QUAND ELLE ROULERA PARTERRE !
Ainsi commence alors leur ultime affrontement, Ieyasu contrant frappant, mains nues face au sabre ô combien aiguiser pour ce moment, cet instant dont il rêvait tant, depuis toutes ces années.
Cris, hurlements, rage, désespoir, tout y était.
Mitsunari : POURQUOI AVOIR FAIT ÇA ALORS QUE TU AVAIS TOUT ?!
Ieyasu : POUR CEUX QUI ONT PERDU LEUR LIEN À CAUSE DE SON JOUG !
Mitsunari : CAR IL DEVAIT LE PAYER DE LEURS VIES CE QU'ILS ONT FAIT ! TU NE PEUX PAS JUGER CES AGISSEMENTS TOI QUI NE VOIS QUE TON ÉGOÏSTE RÊVE DE CE MONDE EUPHORIQUE OU DE JARDIN D'EDEN ALORS QU'IL N'EN SAURA RIEN !
Il hurlait de toutes ses forces, plein poumon se lâchant.
Ieyasu : Mitsunari...
Mitsunari : REPENTIE TOI ! DEMANDE PARDON A LA PERSONNE QUE TU A TUER DE DOS, LA PIRE DES INSULTE ET DES METHODE DE LACHETE !
Le seigneur de la lumière se recule soudainement, regardant celui de l'ombre. Son sabre n'était point abîme, alors que lui ses poings été en sang.
Ieyasu : Je continuerais à me battre Mitsunari pour te faire entendre raison !
Et dans un ultime assaut, poing en avant, Mitsunari fonce à son tour vers lui, sabre prêt a coupé sa cible, mais...
Il en fut rien.
Une chose le déconcentra.
Un souvenir de lui et Ieyasu enfant ensemble. À cet instant, il baissa sa garde et Ieyasu, continua son attaque et frappa en plein cœur de son poing armé de la lumière qui lui donnait son nom et sa force.
Avant qu'il ne réalise, Mitsunari s'effondre au sol. Ieyasu regarde alors sa main responsable.
Ieyasu : Qu'ai-je fait... ?
Il regarde le corps inerte de son ami et s'agenouilla devant lui, abaissant sa capuche d'or. Entremêlant ses mains et doigts.
Faisant son deuil en silence, de son ami, et de sa malheureuse victoire.
Il voulait gagner...Mais pas ainsi.
Car comme il venait de le faire, il prouva qu'au final...
Il ne valait pas mieux que celui dont il a ôté la vie.
Il a brisé un lien que jamais il ne pourra reformer.