|Assassination Classroom| Nagisa Shiota x Reader

Hiya~ J'ai l'impression de ne pas avoir posté depuis 30 ans XD
Cette commande est pour toi...hum... Bah voilà, j'ai pas du tout oublié qui m'a demandé ça, nooooon XD Désolé, c'est de ma faute de sortir des trucs 30 après aussi, après j'oublie XD
Si la personne qui a commandé se reconnaît, tu dois te manifester...ou pas, tu choisis !
Bref, désolé des fautes d'orthographes et bonne lecture~
















La chaleur du rayon lumineux s'écrase sur ma joue pâle. Mes sourcils se froncent, mon corps à l'apparence frêle se retourne de l'autre côté, mon dos faisant maintenant face au levé du soleil. Je soupire profondément, il doit être tôt, beaucoup trop tôt pour se lever.

Malheureusement, le sommeil ne souhaite pas me reprendre dans son étreinte confortable.

Je grogne légèrement de frustration en me frottant les yeux puis passe ma main dans mes courtes boucles bleu clair en me redressant. Mes iris de la même couleur apparaissent alors, voilées de fatigue. Seulement, mes belles prunelles se retrouvent vite happées par la jeune femme à mes côtés. Mes yeux scrutent le moindre détails de son visage qui est à l'opposé du mien, de ses boucles (C/Ch) éparpillées sur l'oreiller, de la peau (C/Pe) de sa gorge, de sa poitrine qui a prit en centimètres depuis huit mois et enfin, du ventre rond qui protège à l'intérieur de lui la vie de notre premier enfant. Le t-shirt large qu'elle porte remonte légèrement, laissant apparaître le bas de ses reins. Je sens tout l'amour que j'éprouve pour elle bouillonner au font de moi, faisant battre mon cœur à tout rompre. Un sourire apparaît de lui-même sur mon visage. Ma main approche alors ma jeune femme, se posant amoureusement sur son ventre pendant que mon corps épouse le sien par derrière.

Soudainement, ma belle (T/P) bouge. J'ôte alors ma main et me décale quand celle-ci tente difficilement de se retourner. Me faisant maintenant face, les beaux yeux (C/Y) de (T/P) s'ouvrent doucement s'imprégnant immédiatement dans les miens.

- Mm, Nagi..?

Sa voix rauque du matin fait frissonner mon épiderme dorsale. Je lui souris amoureusement, mes joues rougissant légèrement.

- Oui, désolé de t'avoir réveillé... Soupiré-je, me sentant légèrement coupable.

La ravissante femme face à moi rit légèrement puis avance difficilement son corps vers moi, son mari dévoué. Sa tête se niche dans mon épaule et sur mon bras, sa main repose sur mon torse l'autre sur son ventre et ses jambes s'entremêlent avec les miennes. Elle soupire de bien-être puis déclare doucement.

- Ne t'inquiète pas, c'est juste que j'ai l'habitude de me lever tôt.

- D'accord, ça me rassure alors.

Une de mes mains parcoure la chevelure soyeuse de ma (T/P) pendant que l'autre se pose sur son ventre dans lequel le petit semble s'amuser. Je dépose alors un baiser sur son front, récoltant un soupire de plaisir. Alors, contre mes doigts, je sens quelque chose bouger d'avantage, plus fort. Mon sourire s'agrandit pendant que ma compagne rit.

- Il est en forme aujourd'hui !

- Et encore, tu ne le sens pas à l'intérieur de toi. Je crois qu'il organise un concours de danse tellement il bouge.

Je ris d'émotion puis continue de sentir mon enfant se mouvoir.

- Quand tu lui parles, c'est encore pire tu sais. Dit-elle d'un ton doux.

Je me redresse alors en ôtant la couverture. Ma femme s'adosse contre le sommier du lit en sachant exactement ce que j'ai derrière la tête. Je me penche sur son abdomen, mes deux mains le caressant.

- (N/G) ? C'est Papa. Tu sais, j'ai vraiment hâte que tu arrives. Que tu vives avec nous.

Ses quelques mots sont à peine prononcés que le bébé se met à gesticuler davantage. Complètement attendri, je souris joyeusement en regardant (T/P).

- Il m'écoute ! Chérie, il m'écoute !

- Je sais, je l'ai bien senti crois-moi ! Rit la (C/Ch).

Je me redresse alors puis me rapproche d'elle pour déposer mes lèvres sur celles de mon épouse. Mes yeux pétillants de joie se fondent dans ceux de la femme de ma vie.

- Je t'aime. Sourié-je, plus joyeux que jamais.

- Je t'aime aussi. Me répond-elle, heureuse.


La suite de la journée se passe lentement mais agréablement. Je suis en vacances _pour ça, c'est agréable d'être professeur_ et suis donc resté avec (T/P) à regarder une série. La journée s'est passé tranquillement et sans accrocs. Assis dans dans le canapé, je caresse amoureusement les cheveux de ma compagne qui est assise entre mes jambes, son dos contre mon torse. Soudainement, (T/P) souffle de douleur sans que je ne comprenne pourquoi de prime abord. Elle agrippe mon bras, me griffant presque.

- Encore une contraction ? Demandé-je précipitamment, paniqué.

- Oui... Grogne (T/P) de douleur.

Sa respiration entrecoupée de soupires de douleur me fait de la peine et me rend nerveux. Soudain, je l'entends japper de surprise. En regardant au dessus de son épaule, je découvre avec stupéfaction une tâche humide entre ses jambes. La panique me submerge quand je me rends compte qu'elle perd les eaux. Qu'est-ce que je dois faire ?

- Chérie-...

- Emmène moi à l'hôpital, putain ! Crie (T/P) en penchant la tête à l'arrière, ses yeux fermés et ses sourcils froncés.

Je ne prête pas attention à son ton véhément et m'écarte d'elle pour aller prendre les clés de la voiture puis je la porte délicatement dans mes bras. Je ne lui dirai pas parce qu'elle n'y peut rien mais elle pèse vraiment son poids... Je sors de l'appartement en trombe mais en faisant preuve de délicatesse afin de ne pas la blesser.





Dans la voiture, (T/P) souffre et je le sens. La tristesse et l'empathie me tordent le ventre : je ne peux rien faire pour l'aider. J'essaie malgré tout d'être présent et de la soutenir. Les mains sur le volant, je lance un coup d'œil vers elle en lui souriant d'un air compatissant. Elle me rend un regard dédaigneux que je ne relève pas.

- Ça va aller, chérie. On est presque arrivé.

- Fermes-là et conduis, putain ! Ça ce voit que c'est pas toi qui est entrain de te faire déchiré le périnée par l'énorme tête de ton fils !

- Je sais, on y est presque.

Je l'entends grogner en respirant profondément. Je tourne à l'intersection de la rue, l'hôpital est maintenant face à nous. Une fois garé devant l'établissement aux murs nacrés, je sors précipitamment de la voiture et l'aide à en sortir. Ses deux mains sont posées sur son ventre, j'entrevois son alliance argenté pendant quelques secondes mais ne m'y concentre pas davantage : notre fils arrive, je n'ai pas le temps de rêver de notre mariage passé. Nous avançons vers le hall d'entré et une fois à l'intérieur, (T/P) fonce sur la secrétaire d'accueil, les yeux meurtriers. 

- Bonjour Madame, Monsieur, que puis-je faire pour vous-?

- Je suis enceinte et je souffre le martyr, vous pensez que je viens pour quoi ? Faire un casino ?

La secrétaire semble surprise puis, devant mon air désolé, nous accorde un chaleureux sourire. La dame allait nous dire quelque chose quand un maïeuticien qui accompagnait une famille un peu plus tôt s'approche de nous, tout sourire.

- Suivez moi, nous avons une chambre qui viens de se libérer.

Ma main dans la sienne se retrouve compressé et douloureuse par la force que dégage ma femme pour donner naissance. Elle pousse, s'arrête, reprend, pleure d'épuisement. Moi, je ne peux que la soutenir, ne ressentant rien de ce qu'elle endure maintenant. Evidemment, je n'accoucherais jamais. Le maïeuticien lui demande avec douceur de pousser plusieurs fois depuis que nous somme dans la salle d'accouchement.

- Poussez encore Madame.

- Je fais que ça !

Puis après quelques minutes, une dernière poussée, le dernier grognement d'effort et le crie strident d'un nourrisson empli la pièce. L'homme qui a accouché (T/P) se retourne vers moi après avoir enroulé notre fils dans une serviette blanche. Il me le passe délicatement, je m'assois sur la chaise juste à côté de la femme essoufflée et transpirante qui a, durant ces neuf derniers mois, créée ce petit être dont les larmes débordent de ses beaux yeux bleu ciel. Mon épouse se tourne vers moi, la mine fatiguée mais attendrie.

- Je peux le..?

Elle n'a même pas fini sa phrase que je me penche pour placer sur elle notre bébé qui semble calmer ses cries interminables au contacte de sa mère. Je dépose un baiser sur son front, la vision de (T/P) pleurant de joie et tenant dans ses bras notre fils m'arrachant quelque larmes de bonheur. Cette femme est forte, magnifique, génial : comment j'ai fais pour la mérité ? Je nous revois tous les deux, les amis d'enfance jeunes et innocents, nous baladant dans les rue de notre ville pour aller au collège en riant ; sans savoir que nous finirons un jour par nous marier et fonder une famille, même si je l'ai toujours aimé.

- Pleure pas (N/G), Maman est là...

Je place ma main sur une des siennes qui tient notre fils puis pose ma tête sur son épaule, souriant béatement en voyant notre (N/G) nous regarder tour à tour. Nous sommes devenus une si belle famille...

- (T/P) ?

- Oui Nagi ?

- Je t'aime.

- Moi aussi, je t'aime.

Elle se tourne vers moi, me souriant doucement. Je me penche alors un peu plus pour déposer, malgré ma timidité apparente, un baiser sur ses belles lèvres. Une fois le baiser rompu, je pose mon front contre le sien.

- Merci de m'aimer. Soupiré-je, les yeux mi-clos.

C'est avec le plus beau des sourires aux lèvres que notre enfant nous fait savoir sa joie. Oui, notre famille sera la plus belle de toute, j'en suis persuadé. 

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