Demi-frères (part. 1)
* PDV Harry *
Je suis tranquillement en train de lire lorsque ma mère toque à la porte de ma chambre.
- Chéri, il faut que je te dise quelque chose... Dit-elle en entrant.
- Je t'écoute, dis-je continuant de lire mon livre.
- Et bien tu sais que depuis presque un an je vois Mark...
- Oui, dis-je en relevant les yeux et les plantant dans ceux de ma mère.
- Et bien, nous avons décidé d'emménager ensemble, ici, dit-elle les yeux pleins d'espoir.
- Oh... Et bien tant que tu es heureuse maman, je suis heureux, lui dis-je avec un petit sourire.
- Merci d'être aussi... Toi, mon coeur, dit-elle en me prenant dans ses bras brièvement.
Voilà comment, trois semaines plus tard, Mark et son fils sont arrivés à la maison. Ils ont apporté quelques affaires à eux pour le moment et leur déménagement sera définitif à la fin du mois, dans quelques semaines. J'ai fait la rencontre de Louis, le fils de Mark, mon nouveau "demi-frère" et j'ai beau être quelqu'un d'assez calme et poli, lorsqu'il est dans la pièce je n'arrive pas à me contrôler. Ses mimiques de diva me font péter un câble ! Donc généralement nous nous évitons mais lors des repas il faut savoir contrôler nos nerfs.
- Harold passe-moi le sel s'il-te-plait, me demande Louis alors que le petit contenant est placé juste devant lui.
- Tends le bras et attrapes-le, lui dis-je assez froidement.
- Harry enfin ! Tu peux bien passer le sel à Louis, me dit ma mère en souriant.
Je souffle, lève les yeux au ciel et lui tends le petit récipient salé. Il prend le sel et je sens la tension s'abattre sur mes muscles.
- Merci Harold, dit-il en me provocant.
- C'est Harry, dis-je, en grinçant les dents, ne le lâchant pas du regard.
- Je ne fais que t'appeler par ton prénom, tu ne devrais pas être aussi désagréable tu sais, dit-il en me regardant droit dans les yeux.
Je me lève de table d'un coup et laisse tomber ma serviette au sol.
- Tu sais que je n'aime pas que l'on m'appelle comme ça mais tu t'évertues à le faire car tu sais que je ne le supporte pas. Ne joues pas avec mes nerfs comme ça !
- Harry assieds-toi. Tu me fais honte, me dit ma mère en ne me regardant pas dans les yeux.
La déception se lit sur son visage et je me rassieds, tentant de ne pas exploser encore une fois lorsque Louis me fixe de ses orbes bleus. Le repas se termine en silence pour ma part, mais ma mère, Mark et Louis discutent comme si rien ne s'était passé. Une fois la table débarrassée, je monte dans ma chambre et m'enferme à double tours. Encore heureux que notre maison possède une autre chambre car j'aurai vécu l'enfer si j'avais dû partager la mienne avec Louis. Vers 22h, je décide de prendre ma douche et l'eau chaude réussi à détendre un petit peu mes muscles. Je ressors de la douche et me sèche. Une fois cela fait, je sors de la salle de bain et je passe devant la porte de Louis. Je me fige lorsque j'entends de drôles de bruits. On aurait dit des sortes de bruits étouffés. Je continue d'avancer dans le couloir et j'arrive jusqu'à ma chambre, je m'allonge sur mon lit et mes yeux se ferment d'eux-mêmes, me plongeant dans un sommeil profond.
* Ellipse de deux mois *
Cela fait maintenant deux mois que les Tomlinson sont chez nous, qui est devenu aussi leur chez eux. Je m'entends vraiment très bien avec Mark, d'autant plus qu'il rend maman vraiment heureuse. Avec Louis, c'est toujours aussi tendu, ses mimiques s'accentuent avec le temps et j'ai parfois l'impression qu'il en rajoute juste pour attirer mes foudres. Nous nous évitons le plus possible, même si j'ai plus l'impression que c'est moi seul qui tente de l'éviter. À table, je fais en sorte que tout soit à sa portée de main pour qu'il ne me demande rien et lorsque le repas est terminé, je retourne dans ma chambre. Je vois bien que ça peine maman que je ne sois pas proche de Louis, mais je préfère l'éviter plutôt que de lui rentrer dedans et que mes nerfs explosent. J'appréhende les deux semaines de vacances qui arrivent à grands pas. Je sais que ma mère a prévu de partir quelques jours et j'espère que Louis ira chez sa mère pour que nous ne soyons pas seuls tous les deux. Autrement dit, pour éviter potentiellement une guerre nucléaire à la maison.
- Harry, tu veux bien descendre s'il-te-plait ? Me demande ma mère, en bas depuis la cuisine.
- J'arrive !
Je descends les quelques marches qui séparent nos étages et j'arrive dans la cuisine, où ma mère prépare deux sandwichs.
- Chéri, nous avons rendez-vous à la banque à 13h avec Mark et nous devons partir dans une demi-heure. Je vous ai fait une salade et du rôti, tout est déjà dans le frigo vous n'aurez qu'à réchauffer la viande. Normalement, on en a pour une ou deux heures, ne vous entretuez pas s'il vous plait ! Me dit ma mère en emballant les sandwichs.
J'hoche la tête pour montrer ma bonne volonté et elle m'embrasse le crâne avant de monter se préparer. Je m'installe sur le canapé, dans le salon et me mets une petite série. Comme prévu, après une demi-heure, maman et Mark s'en vont et Louis monte dans sa chambre. Je continue ma série et le calme règne dans la maison.
Plongé dans ma série, je ne m'attarde pas vraiment sur ce qui se passe autour de moi et je suis surpris d'entendre du bruit dans la cuisine. Je me lève, sachant que Louis est en haut et j'avance prudemment. Arrivé à la porte de la cuisine, mes yeux s'écarquillent. Louis est devant moi, de dos, vêtu d'une sorte de longue nuisette transparente légère et d'une culotte noire en dentelle. Ma respiration s'accélère ou se coupe car je ne sais pas trop comment réagir face à cela. Je le vois se pencher vers le frigo, toujours dos à moi et mes yeux se posent sur le bas de son... Sur ses... Je déglutis lorsque je me rends compte que je lorgne ses fesses et je retourne silencieusement sur le canapé, faisant comme si je n'avais jamais vu ce qui vient de se dérouler à l'instant sous mes yeux.
J'entends quelques pas se rapprocher et monter les escaliers. Je m'assoie sur le canapé et prends ma tête entre mes mains.
- Mais c'est quoi ce bordel... Dis-je en chuchotant.
Je me lève et retourne à la cuisine me servir un verre d'eau pour me rafraichir les idées. Je m'appuie contre l'îlot central et j'essaie de me sortir les images de Louis en petite tenue de la tête. Je décide de ne pas prendre de risques et de monter dans ma chambre pour être sûr de ne plus le croiser. En passant devant sa chambre, je suis tenté de regarder dans l'entrebâillement de la porte mais je me fais violence pour ne pas m'arrêter et continuer jusqu'à ma chambre. Une fois dans ma chambre, je m'allonge sur mon lit mais à chaque fois que je ferme les yeux, je revois Louis et sa dentelle.
Au bout de quelques minutes, je sens une tension dans mon bas ventre et je me dégoûte de réagir de la sorte et surtout, je me dégoûte de ce que je m'apprête à faire... Je passe ma main sur mon entrejambe éveillée par mes pensées. Je reste en surface, honteux de mes gestes, et je soupire lorsqu'une douce chaleur m'enflamme le bas ventre. J'accentue mon touché et je prends soudainement conscience de ce que je suis en train de faire. Je retire immédiatement ma main et je déglutis.
- Merde...
Je file à la salle de bain et retire mes vêtements avant de me faufiler sous la douche. L'eau froide coule sur ma peau brûlante et la tension chute peu à peu. Je passe un peu d'eau sur mon visage et en fermant les yeux j'attrape un des gels douche au sol et le fait mousser entre mes mains.
Je me stoppe encore une fois en reconnaissant le parfum du gel douche de Louis. L'odeur empli la salle de bain et la tension remonte quand je suffoque sous son parfum. L'eau froide n'a plus aucun effet sur moi et je guette la porte d'entrée de la salle de bain, effrayé que Louis se soit rendu compte de quelque chose ou qu'il sache mon "problème". Je perds complètement pied et une musique retentit dans la pièce à côté, la chambre de Louis.
Je coupe l'eau pour mieux entendre la musique et mon esprit me joue un mauvais tour. Les images de Louis en dentelle, dansant sensuellement dans sa chambre sur cette douce musique, me rendent toute chose. La tension dans mon bas-ventre se réinstalle et je me saisis de mon entrejambe et un soupire s'échappe de mes lèvres. Je débute de doux mouvements, accordant mon rythme à celui de la musique et mes pensées prennent le dessus. Je me laisse aller et mes mouvements deviennent de plus en plus brusques au fur et à mesures des secondes qui défilent.
La musique touche à sa fin et je suis sur le bord de la jouissance lorsque je sens deux coups sur la porte. Ma respiration se coupe et la chute de la tension me frustre énormément.
- Harold ?
Louis.
Je ne sais plus quoi faire et pour une fois, je souhaite qu'il répète ce prénom encore et encore...
- Quoi ?!
- Je dois aller à la salle de bain, dépêche-toi !
Je sors de la douche et enroule une serviette autour de ma taille. Je sèche rapidement mes cheveux et la frustration me tord le ventre. Je me regarde une seconde dans le miroir et une idée me vient à l'esprit.
J'ouvre la porte d'un coup et sous mes yeux, je découvre un Louis, habillé en survêtement et pull large, bien différent de celui que j'ai vu tout à l'heure. Je me place sur le côté et croise mes bras pour faire ressortir mes biceps. Je vois son regard se poser sur ceux-ci et il déglutit timidement. Je souris en coin, voyant que j'arrive à déstabiliser la diva devant moi mais quand il relève les yeux, je capte beaucoup d'assurance et de provocation dans son regard.
- Pousse-toi, je dois y aller.
- Mais je t'en prie.
- Tu as utilisé mon gel douche ? Dit-il en levant ses sourcils fins.
- Pas fait exprès, dis-je en passant devant lui, lui frôlant l'épaule.
Il lève les yeux au ciel et je me surprends à vouloir le déstabiliser et le pousser à bout. Je rejoins ma chambre et je m'installe sur mon lit. Je traine sur les réseaux sociaux et mes doigts bloquent lorsqu'Instagram me propose un profil : celui de Louis.
Ironie quand tu nous tiens...
J'hésite quelques secondes mais je finis par cliquer sur son profil. Je suis immédiatement refroidi lorsque je vois Louis, posant fièrement aux côtés d'un autre garçon. Je clique sur la photo mais aucune identification ne me permet de savoir le nom de ce gars. Je regarde d'autres photos et je suis surpris de voir qu'il ose se montrer en sous-vêtements. Je bug littéralement devant une photo de lui, portant le même ensemble que celui qu'il portait tout à l'heure. Mes yeux glissent sur la cambrure de son bassin et je ferme les yeux en inspirant un grand coup. Je fais défiler les photos et je déglutis lorsque je vois certains clichés très sensuels, voir sexuels, qui me donnent chaud.
J'entends ma mère et Mark rentrer de la banque et je descends pour voir si tout va bien et s'ils ont besoin de quelque chose. Une fois en bas, je prends le thé avec ma mère et nous discutons un peu des semaines à venir. Elle commence à préparer à manger pour ce soir et je me mets à ses côtés pour l'aider, comme on le faisait lorsque j'étais plus jeune.
À 19h, je commence à mettre la table et je vois Louis sortir du couloir, habillé d'un jean slim noir troué, d'un tank top blanc assez large et ses cheveux mi-longs retenus par un bandana noir. Je le regarde et je me rends compte que je le fixe lorsqu'un sourire narquois nait sur son visage. La sonnette retentit et Louis accourt à la porte. Je le suis, en retrait, pour voir qui est la personne qui sonne à cette heure-là et je vois Louis ouvrir la porte sur le fameux garçon d'Instagram. Je serre les dents quand celui-ci le serre dans ses bras un peu trop longtemps et qu'ils se sauvent tous les deux.
- Qu'est-ce que c'était mon chéri ? Me demande ma mère.
- Louis et son pote sont partis je ne sais pas où.
- Oh, je lui enverrai un message pour savoir quand il rentre. Maintenant à table !
Je suis ma mère jusqu'à la salle à manger et nous nous attablons. À la fin du repas, j'aide à débarrasser et ma mère revient et dit à Mark que Louis dormira chez son ami. Je lève les yeux au ciel et une fois tout nettoyé, je monte dans ma chambre et m'installe dans mon lit. Je discute un peu avec mes amis et leur dis que ma mère et Mark ne seront pas là pendant les vacances et que, par conséquent, on pourra s'organiser des petites soirées. Tout le monde semble ravi et ils me demandent si ça se passe mieux avec Louis.
Je reste un peu sonné face à cette question et je ne sais pas trop quoi répondre.
Je change de sujet rapidement et nous finissons par parler jusqu'à tard dans la nuit. Le lendemain matin, le réveil pique un peu et lorsque je sors de ma chambre, le silence règne dans la maison. Je descends dans la cuisine et vois un post-it laissé par ma mère me disant qu'ils rentrent dans la soirée. Je me prépare un petit-déjeuner et j'entends la porte d'entrée claquer.
- C'est moi !
Louis déboule dans la cuisine et s'installe en face de moi sur une des chaises hautes de l'îlot central.
- T'as une sale tête, t'as mal dormi ?
Je ne réponds rien. Je ne sais pas quoi répondre et je ne veux pas me disputer même si l'envie de lui rentrer dedans, du moins verbalement, commence à germer dans mon esprit. Je continue de boire mon thé sans le regarder et je vois bien qu'il tente d'attirer mon attention.
Je finis par craquer et lui balancer froidement :
- Toi aussi t'as une sale tête. Mais ça ne change pas de d'habitude.
Je sens qu'il est vexé car il baisse la tête subitement et quitte la table. Je lève les yeux vers lui et j'observe son dos lorsqu'il monte les escaliers. Je finis par être à nouveau seul dans le bas de la maison et je débarrasse lorsque j'ai terminé mon petit-déjeuner. Je finis par remonter vers les chambres et lorsque je passe devant la porte de la chambre de Louis je me stoppe.
Étonnement, je regrette de lui avoir rétorquer cette phrase, même si la sienne n'était pas particulièrement tendre. Je toque doucement à la porte et attends une réponse de Louis. Aucune réponse ne me parvient et lorsque je suis sur le point de me retirer vers ma chambre, sa porte s'entrouvre.
- Quoi ?! Me lance-t-il agressivement.
- Je...
Je reste sans voix face à la situation. Je ne sais pas exactement ce qui m'a pris d'agir de la sorte.
- Oui ? Dit-il, un peu moins violemment.
- Je suis désolé, dis-je en baissant les yeux.
Je vois un mélange de confusion et de surprise se peindre sur son visage quand je relève les yeux sur lui.
- Tu es... Désolé ? Dit-il, incrédule.
- Oui, je n'aurais pas dû dire ça.
Nous restons tous les deux silencieux et nous baissons la tête, intimidés par la situation. C'est la première fois que l'un de nous fait un réel pas vers l'autre.
- J'accepte tes excuses.
Suite à ses paroles, sa porte se ferme et je reste sidéré par son culot. Je viens m'excuser et lui me ferme la porte au nez !? Énervé par son comportement de diva, je me précipite vers ma chambre et claque la porte.
Je m'allonge sur mon lit et ouvre mes réseaux sociaux. Le profil Instagram de Louis apparait et j'hésite à quitter l'application. Je continue d'observer ses photos et vois qu'une nouvelle publication est sur son profil.
Je sens une tension négative monter en moi en voyant le gars de hier soir poser sa main possessivement sur la hanche de Louis et je ne sais pas trop comment l'expliquer mais en un quart de seconde, j'imagine ma propre main poser sur la hanche pulpeuse de Louis et une chaleur s'installe dans mon bas ventre.
- Non pas encore...
Je balance mon téléphone sur le lit et passe mes mains sur mon visage. Il faut que je pense à autre chose et que je me change les idées. Je récupère mon téléphone et ouvre une conversation avec une fille que je connais depuis un petit moment et avec qui j'ai l'habitude de m'amuser. Nous nous entendons bien car nous sommes sur la même longueur d'onde, nous ne cherchons pas quelque chose de sérieux. Nous convenons que nous nous retrouvons ce soir et je suis heureux de savoir que je vais pouvoir penser à autre chose pendant au moins une soirée.
À 12h, je descends dans la cuisine pour préparer un repas et je vois que Louis y est déjà, en train de préparer le repas.
- Tu prépares quoi ?
- Du poulet et un écrasé de pommes de terre.
- Cool...
Le silence reprend sa place dans la cuisine et je l'observe, accoudé au plan de travail pendant que lui est dos à moi, devant la plaque de cuisson. Je détaille légèrement sa tenue et je déglutis lorsque mes yeux rencontrent ce short lui serrant les fesses et le petit débardeur qui ne couvre pas grand-chose lorsqu'il bouge les bras.
- Tu as besoin d'aide ?
Ces quelques mots m'échappent et je m'avance vers lui.
- Si tu peux m'attraper le plat en verre en haut s'il-te-plait...
Je m'avance vers le placard et lorsque je lève un bras pour récupérer le plat, un effluve du parfum de Louis me chatouille le nez et je ferme les yeux en inspirant silencieusement.
Mauvaise idée.
Je pose le plat devant lui mais je ne me recule pas. Il stoppe ses gestes et pour éviter qu'il ne se retourne, je plaque mes mains contre ses hanches, le rapprochant de moi d'un coup.
- Tu fous quoi Harold ?! Dit-il de sa voix légèrement aiguë et cassée.
- Rien, dis-je en chuchotant.
Je sens sa respiration s'accélérer et j'aime voir l'effet que j'ai sur son corps. Il ne bouge pas et semble paralysé par la situation et étonnement, j'apprécie la chaleur de sa peau sur mes mains.
Au bout d'un petit moment, Louis hésite quelques instants mais finit par reprendre la cuillère en bois et tourner l'écrasé de pommes de terre. Je ne pense à rien d'autre sur le moment que Louis. Il y a encore quelques jours, la seule idée d'être dans la même pièce que lui me rebutait et là, sans vraiment savoir pourquoi, j'ai toutes ces pensées, ces impulsions, tournées vers lui.
Je sens son petit corps s'appuyer contre le mien et un soupire s'échappe de mes lèvres lorsque mon bassin entre en contact avec ses fesses. Je le sens se tendre aussi car il fait tomber la cuillère en bois et quand je la ramasse, il en profite pour s'échapper de la cuisine, me laissant seul devant la casserole. Je remue légèrement et mets tout dans le plat en verre que je viens de sortir. J'enfourne le tout dans le four pour que tout reste chaud et je ne sais plus quoi faire.
Est-ce que je devrais monter et m'excuser ? Rester ici et attendre qu'il descende de lui-même ? Monter et le... Mes pieds se dirigent d'eux-mêmes vers l'escalier et je monte lentement les marches en réfléchissant. D'un coup je me stoppe sur place et me fige.
Ces sons... Ce sont des... Gémissements ?!
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