OS Mesut Özil #72

Voila aujourd'hui je tente un truc nouveau, c'est du style horeur donc si vous êtes sensible passer votre chemin, si vous voulez lire eh bien allez y et si vous voulez plus de frisson autant lire en pleine nuit.

Perso en tout cas je trouve que c'est un peu flippant après je suis surement trop sensible, j'espère que ça ira pour vous et je vous laisse découvrir les sombres bas fond de mon esprit.

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J'arrive dans le lycée/internat où mon école m'as envoyer pour que je puisse étudier dans un cours de biologie avancer.

Dans l'école où je suis scolarisé ils ne peuvent pas m'enseigner cette matière, donc je dois prendre certain cours ici. 

C'est la meilleure solution pour moi  donc je vais devoir y aller chaque jeudi après-midi, pour compléter mon programme.

J'ai déjà des amis à moi qui suivent des cours de sport intensif ici, donc nous avons fais le trajet ensemble.

Lorsque nous arrivons devant le bâtiment où je vais devoir aller seul, un frisson de frayeur prend place dans tout mon corps, le fait que les fenêtes semble barricader ne m'aide pas spécialement non plus.

Je me sens mal à l'aise et j'en fais part à mes amis.

-Les gars, je me sens vraiment pas bien à l'idée de devoir aller  là-dedans tout seul. Vous voulez pas venir ?

-Mes', on ne peux pas. Tu as tes cours et nous les nôtres, on te jure que tout ira bien, puis si jamais tu as un soucit appel nous !

-Oui okay, merci Niklas.

Il sourit et Josh, Mats, Leon et lui partent en direction du gymnase.

Je me rend donc dans le bâtiment principal et là.......

 Une forte odeur me frappe de plein fouet, elle est absolument immonde. On dirais un mélange de chair en décomposition et......de mort.

J'entend des bruits de goûte d'eau et le sol collant et crasseu ne fond que acroître ma peur.

Je fronce les sourcils et regardent autour de moi.  Je vois que les fenêtres son effectivement barricader.

Je pensais qu'elles l'étaient avec des planches, mais celle-ci sont recouvertes d'une substance rougeâtres semblable à de la bouillit.

C'est donc ça qui est responsable de l'infâme odeur du bâtiment.

Je lève la tête et voit au plafond une pauvre ampoule qui pendouille au bout de fil dénudé.

Je ne suis pas serein mais je crois que le plus inquiétant ici, c'est de voir qu'il n'y a absolument personne.

Les couloirs sont seulement empli d'une petite fumée sombre qui donne un aspect morbide au bâtiment.

Je ne sais pas où je suis entrer, mais ça ne me dit rien qui vaille, je pense que je vais tout simplement repartir.

Et alors que je me retourne pour retourner vers la porte d'entrée, je vois un jeune homme, le teint pâle et les yeux.....ses yeux sont totalement sombre.

Il se tient là, sans bouger, sans même me regarder. On dirais que ses yeux sont porter sur le vide, comme si il était aveugle.

Je me recule en paniquant un peu et m'engouffre finalement dans le couloir, dont les fenêtres sont recouvertes de cette substance horrible.

Je remonte mon tee-shirt sur mon nez pour éviter de vomir, vraiment c'ets insoutenable.

Le silence qui règne dans le bâtiment me fais froid dans le dos et je songe de plus en plus fortement au fait que cet endroit est plus que flippant.

Je sors mon téléphone et voit que je n'ai absolument aucun réseau.....super, mais bon il fallait s'en douter.


Je soupire et continue d'avancer, puis finis par voir un chiffon au sol. Je me penche et le ramasse, bon je pense que je vais tenter d'essuyer une fenêtre.

Je pose le chiffon dessus et la matière molle est chaude laisse ma main s'enfoncer. Mon dieu j'ai tellement envie de vomir.

J'essuis tant bien que mal et tape au carreau pour que mes amis entendent. Je sens que c'est peine perdu mais je continue.

Soudain au loin  j'entend un cri et le jeune homme que j'ai vu tout à l'heure commence à courir rapidement vers moi.

Je panique et ne sais pas vraiment quoi faire alors je commence à courir. Je n'entend aucun bruit si ce n'est la forte respiration de ce jeune homme qui se rapproche dangereusement.

Je tourne dans un couloir qui s'enfonce dans les entrailles du bâtiment. Ici les couloirs ne sont presque plus éclairer et les ampoules sont casser.

J'entend des cris rauques et ma panique ne fais qu'augmenter. Je finis par arriver dans la cantine et me refugie dans les cuisines.

L'odeur de mort qui reigne ici et bien plus forte ici que dans tout le bâtiment. Je vois une marmite encore fumante sur le feu.

Je vais renifler les effluves qui s'en dégage et cette fois-ci, je ne peux me retenir et vomis tout mes tripes.

-Ehhhh arrête de dégueulasser ma cuisine !

Je sursaute et me recule en criant.

-Chuuuut t'es malade toi. Ils vont venir te bouffer si ils t'entendent.

Je fronce mes sourcils.

-Comment ça ils ? Et qui êtes vous ?

-Moi je suis la cuisinière. Ils se sont les élèves, enfin les élèves qui ont mutter plutôt.

-Quoi mais comment c'est possible ?

Et alors qu'elle ouvre la bouche pour s'apprêter à parler, un énorme cri vien de derrière nous et je vois le jeune homme arriver en courant.

Je regarde la vieille femme qui me dit de courir. Je me retourne une dernière fois et le vois sauter par-dessus les table.

Putain mais c'est quoi ce bordel.

Je repart donc en courant dans ce labyrinthe de coulor sombre et puant. Je vois une enbranchement et tourne sur la gauche dans l'espoir de retrouver la sortie.

Je dois m'en aller d'ici au plus vite. Les trucs qui envahissent cette école sont plus qu'horrible et je crois que le gars veux réellement me bouffer.

Je vois une porte et entre à l'intérieur sans même prenre le temps de regarder ce qu'il y à l'intérieur.

Je me retrouve donc dans une salle de classe et voit un de ces monstre assis sur une chaise. Je panique et stoppe ma respiration.

Il redresse la tête et je vois son nez frémir, signe qu'il hume l'air pour savoir ce qu'il y a ici et mon dieu je dois puer la peur, littéralement.

Il se lève et commence à avancer en direction de moi. Plus ça va plus il accélère, putain ma seule chance c'est de devoir repartir dans le couloir.

J'ouvre donc doucement la porte et ressort. J'entend des cris derrière moi et aussi certain provenant de la salle.

Je repars donc en courant et commence à m'enfoncer encore plus dans l'école.

J'entend des pas rapide et me retourne et cette fois je remarque qu'ils sont 6 à me courir après. Nan mais c'est pas possible, ils sont combien ici ?

La peur s'immisce de plus en plus en moi et mes jambes commencent à ralentir. Mon souffle devient ératique et je dois vraiment trouver un endroit où je peux me reposer un petit peu.

Je vois la porte du bureau du directeur et décide de m'engouffrer à l'intérieur même si ce n'est pas forcément la meilleure idée, mais bine-sûr ça je ne le sais  pas encore.



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