Ceci est un UA donc les personnages ne sont pas footballeurs !

Maintenant je vous laisse avec l'os

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Marcus Rashford

J'arrives dans l'hôpital psychiatrique qui va dorénavant être ma nouvelle maison.

Les gens qui m'ont envoyer ici ne veulent pas comprendre que je vais bien.

Les nombreuses scarification qui marquer ma peau n'était rien. Juste un moyen d'exprimer mon mal-être.

Il n'y a pas de déclencheur particulier, je ressens juste un irrépréssible besoin de me faire mal.

Voir le sang  s'échapper lentement de mes veines me procure un bien fou.

Mais lorsque mon grand frère m'as surprit un jour, les poignets en sang, il a tout de suite mit notre mère au courant.

Comme je m'y attendais, je fus assaillit de nombreuses questions toute plus débile les unes que les autres.

"Tu te fais harceler ?"

"Tu as était toucher contre ton gré ?"

"Des gens te forcent à te faire du mal ?"

"Tu entend des voix ?"

Mais nan rien de tout sa, si seulement ma mère savait le combat intérieur que je vis chaque jour.

À vrai dire, je ne sais même pas si j'arriverais à mettre des mots sur ce que je vis et ce que je ressens.

Après être passé chez un médecin, puis un psy ma mère a prit la décision.

M'envoyer dans ce centre pour jeunes psychologiquement défaillant.

Mais je ne suis pas défaillant bordel, je suis normal, classique, chiant comme la pluie.

Il n'y a rien à changer chez moi, je vais bien !

J'ai juste ce putain de besoin de me couper !!

Je me retournes et regarde ma mère les larmes aux yeux.

-Pourquoi tu me fais sa maman ? Je croyais que tu m'aimais !

Elle s'approche de moi et caresse mes joues avec ses mains aux ongles bien limer, vernis de bleu roi.

-Mon chéri, tu es malade. Tu dois te faire soigner, c est une nécéssité.

Je me recule et la toise du haut de mon mètre 80.

-MAIS JE NE SUIS PAS MALADE PUTAIN !!!! JE VAIS PARFAITEMENT BIEN !

Elle laisse quelques petites larmes couler.

-Le fait que tu cris ainsi et que tu dises que tu vas bien signifie que justement tu ne vas pas bien.

Elle refais un pas dans ma direction.

-Tu dois y aller, c'est pour ton bien. Puis quand tu rentreras à la maison tout iras mieux pour toi.

Je détournes ma tête, elle fait bien trop propre sur elle.

Toujours sapper en tailleur, jupe droite, chemisier bien repasser et veste bien tailler.

Toujours percher sur de beaux talons aiguilles, coiffure tirer à 4 épingles et maquillage toujours sobre mais chic.

Elle était l'arquétipe de la femme d'affaire toujours la tête dans le travail.

Puis un jour je suis arriver par hasard dans sa vie. Un enfant issu d'un déni de grossesse.

Un total imprévu dans sa vie à 100 à l'heure, j'était aussi inutile dans sa vie qu'une chaussure trop grande.

Elle m'avait mit en internat pour pouvoir travailler plus, soit disant pour me permettre de mieux étudier.

Et maintenant que j'était rentrer elle trouvait une nouvelle excuse.

-C'est pas mieux pour moi. Ça te permet juste de pouvoir continuer de travailler en paix.

Je prend mon sac et n'attend pas de réponse de sa part.

Je rentre dans le centre après avoir enfiler la capuche de mon sweat vert foncé.

Il fait chaud, mais j'ai besoin de me cacher ainsi.

Mes bras ainsi que mon torse, mes côtes et mes cuisses son marquer d'un nombre incalculable de cicatrice.

Je vois plusieurs jeunes qui sont assis dehors ou qui se balade dans les allées du parc de l'hôpital.

Je soupire plusieurs fois alors que j'arrives à l'accueil.

Un homme m'accueil avec un grans sourire aux lèvres et me tend la main.

Je la sert rapidement par pure politesse.

-Je m'appel Olivier, je suis enchanté de te rencontrer. Je suis pose que tu es Marcus ?

-Oui c'est mon nom effectivement.

Il ne perd pas son sourire et me fais entrer dans un bureau impersonnel au mur blanc.

-Je suis le directeur de cet établissement. Sache que si tu as le moindre problème tu peux venir me voir à tout heure. Je loge ici comme tout le personnel qui s'occuperas de toi.

-J'ai pas besoin d'aide, bourrer moi de cachetons et de tranquilisant pour chevaux et voila on en parle plus.

Il plaque ses mains l'une contre l'autre et les met devant sa bouche.

-Ton cas est extrêmement complexe Marcus. Cela va demander plusieurs semaines voir mois de traitement et de surveillance.

Je soupire encore plus fort.

-Mais je vous dit que je vais bien, je ne suis pas malade !

-Ne rend pas les choses plus difficile Marcus. Tu as besoin d'aide peux importe ce que tu penses.

Il se lève et me tend la main.

-Suis moi, je vais te faire visiter et également te montrer ta chambre.

Je ne prend pas sa main.

-Non je ne veux pas, je vous suis mais je ne prend pas votre main étrangement grande.

Il rigole un peu.

-Bon alors suis moi.

Je baisse la tête et commence à suivre cet homme qui va devenir bientôt le  maître de ma vie.

Il va tout contrôler et je ne vais bien sûr avoir aucun droit de parole là-dessus.

Je vais gober médicament sur médicament.

Ils vont m'abrutir chaque jour un peu plus pour soit disant "éviter que je ne sois nocif".

Mais je suis soit disant nocif pour qui ? Pour eux ou pour moi ?

Ils cherchent à sauver ma vie ou à la pourrir encore un peu plus ?

Alors que je le suis dans les longs couloirs blanc, plus flippant les uns que les autres et que je n'écoute aucunement c'est sale explication je me demande ce que je fais là.

L'homme débite un n ombre de parole à la minute incroyable mais je ne l'écoute pas et je ne l'écouterais jamais d'ailleurs.

Tout ce que je veux c'est sortir d'ici et tenter d'avoir une vie normal.

Mais est ce qu'une vie normal existe pour un enfant non désiré qui aime se taillader les veines ?

Franchement j'en ai auc une idée et je ne sais pas si je vais trouver la solution a mes problèmes ici.

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Bon voila un nouvel OS mais comme vous vous en doutez bien il n'ai absolument pas fini, donc je ne sais pas si j'en fais une fic où j'exploite vraiment toute mes idées à fond ou si je raccourcis mes idées et que je fais juste une suite.

Dites moi ce que vous aimeriez le plus parce que je suis sincérement perdue.

Sinon désolé pour mon inactivité que ce soit ici où sur mes fics mais j'étais en vacances et je voulais être tranquille avec ma famille.

Je vous promet de reprendre tout bientôt.

Sur ceux je vous dit à bientôt.