Harry avait pensé à Drago tous les jours de la semaine. Il avait fait du ménage dans son immense appartement pour la première fois depuis des lustres (ce qui était stupide puisque Malefoy ne voyait même pas). Il s'était imaginé au moins huit scénarios différents le soir en s'endormant. Dans certains, Drago le rejetait en découvrant qu'il était son ancien ennemi de Poudlard et l'accusait de l'avoir trompé et manipulé. Dans d'autres, ils faisaient l'amour passionnément toute la nuit. Bref, il se retrouvait à la fois nerveux, coupable et terriblement excité, un assez drôle de mélange quand on y pensait.

Pendant ce temps, il s'ennuyait toujours aussi ferme au ministère et passait ses journées à laisser voyager son esprit. Il réfléchissait à ce qu'il pourrait cuisiner qui plairait à Drago, à comment il devrait s'habiller, à quel vin il allait acheter, à quel genre de sujet il serait préférable d'aborder, à quel film ils pourraient regarder (ou écouter), à...

— Monsieur Potter? Vous êtes dans la lune?

Harry releva brusquement la tête. Il avait complètement oublié qu'il était en réunion et qu'il devait au moins essayer de faire semblant de porter un peu attention.

— Pardon, j'ai eu le sommeil difficile cette nuit, mentit-il effrontément.

Tout le monde savait qu'il avait fait des cauchemars terribles durant son adolescence. Heureusement, ils étaient devenus extrêmement rares. Ça n'empêchait pas qu'il se serve de cette excuse pour que les gens lui fouttent la paix.

Quand samedi pointa le bout de son nez, Harry était presque déjà prêt à accueillir Malefoy. La table était déjà mise depuis le jeudi soir, il avait acheté le vin le plus cher qu'il avait trouvé et il s'était même fait couper un peu les cheveux la veille. Il s'était aussi acheté des nouveaux vêtements et du parfum. Il se sentait légèrement honteux d'en avoir fait autant, mais Drago avait été si parfait la semaine d'avant qu'il voulait être à sa hauteur. Il cuisina donc des côtelettes d'agneaux à l'érable, surmontées de brie fondu. Il prépara également une salade en accompagnement en espérant que tout cela plaise à son invité. Il souhaitait ardemment que tout soit impeccable.

Vers dix-huit heures trente, Harry se tenait debout près de la cheminée au cas où son invité arriverait en avance; au bout de cinq minutes cependant, il se sentit tellement stupide qu'il finit par aller s'asseoir dans le salon. Sans lui laisser de répit, son cerveau se mit à réfléchir aux mauvaises choses: et si Drago ne venait pas? Il pourrait très bien avoir changé d'idée ou avoir eu un imprévu... Il était si stressé qu'il suait abondamment des aisselles et ce n'était pas très sexy. Peut-être qu'il ferait mieux d'aller se changer ou, non, un simple sort de nettoyage ferait l'affaire. Après tout, Malefoy serait aveugle et ne verrait pas ses taches de sueurs. À moins qu'il ne vienne sans le bandeau?! Harry se remit à stresser intensément.

De son côté, le blond n'avait pas tout à fait les mêmes préoccupations. Ce qui tournait en boucle dans son esprit était plutôt le prénom de son fameux inconnu qui n'était plus vraiment un total inconnu. Le sort de confusion qu'Harry avait lancé faiblissait en efficacité de jour en jour et Drago ne cessait de se poser la même question: s'agissait-il de Potter? Des Harry en Angleterre, il devait y en avoir une tonne. Pourtant, il avait comme une intuition, à moins que ce ne soit un espoir? Oui, c'était plutôt cela; il espérait vivement que l'homme qu'il avait rencontré soit son ennemi de Poudlard. Il ne saurait exactement dire pourquoi cependant.

Ce soir-là, il s'était soigneusement préparé, optant pour une tenue plus confortable, une chemise ample et des pantalons blancs. Sans penser à mettre le bandeau, il s'engouffra dans la cheminée et ressortit dans un salon vide. Il prit un bon moment pour observer les alentours n'ayant rien vu la fois d'avant. L'appartement était si grand qu'il se sentait minuscule à l'intérieur. Harry devait être vraiment riche pour vivre ici. Poussant la curiosité un peu plus loin, il alla jusqu'à monter le grand escalier qui menait à l'étage; il était drôlement excité à l'idée de visiter la maison de son hôte. Ne disait-on pas que notre maison était le reflet de notre personnalité?

Harry entendit les pas dans l'escalier et sursauta. Il avait finalement décidé de changer de chemise, car la sienne était imprégnée de sueur. Évidemment, il avait fallu que cela lui fasse manquer l'arrivée de Drago qu'il attendait impatiemment depuis des jours! Rapidement, il attrapa sa cape d'invisibilité et s'en couvrit, faisant aussi apparaître un autre bandeau, car Drago n'en portait pas. Il ne se sentait définitivement pas prêt à affronter le regard du joli blond qui lui faisait face.

— Harry? appela celui-ci en jetant des coups d'œil partout.

Il était mignon avec cet air perdu. Le brun se glissa silencieusement derrière lui et susurra:

— Salut toi.

Il entoura la taille fine par derrière, tandis que son invité sursautait furieusement. La cape glissa au sol à ses pieds.

— Tu m'as fait peur!

Sans pouvoir s'en empêcher, Drago laissa traîner son regard sur les mains qui accrochaient fermement sa taille. Elles étaient d'un brun doré magnifique et semblaient épouser ses courbes avec un naturel prédestiné. Il frissonna en s'appuyant un peu plus contre le corps qui l'entourait.

— Salut... bredouilla-t-il.

— Tu as passé une bonne semaine? continua Harry tout en nouant avec douceur le bandeau autour de sa tête.

— Quand même bien, et toi?

— Affreuse... j'avais hâte que tu viennes, avoua-t-il.

— Tant que ça, rit son beau blond.

Il se retourna dans ses bras, caressa tendrement ses joues et posa un minuscule et bref baiser tout contre ses lèvres. Ils allèrent manger avant de se mettre à faire des bêtises. Ils étaient à seulement quelques pas du lit après tout, pensa distraitement Harry.

À table, l'ambiance était chaleureuse. Drago avait lancé un sort qui faisait jouer une douce musique en arrière plan, tandis que son hôte apportait les plats et lui versait une généreuse coupe de vin. Son cœur s'accéléra sans son consentement. Il avait envie de voir un sourire sur ce magnifique visage de porcelaine. Il voulait aussi l'allonger dans son lit et lui faire l'amour, mais ça, c'était un secret.

Drago trempa le bout des lèvres dans le liquide carmin avant d'en prendre une petite gorgée. Ses yeux s'écarquillèrent sous le bandeau.

— Harry? Combien t'as payé ce vin?

— Euh... haha, cher?

— Combien?

— Quelques centaines de livres..?

C'était un peu embarrassant. Il aurait préféré que Drago ne pose pas la question. Avec le salaire que son travail lui rapportait, il avait largement de quoi acheter cette bouteille. Le ministère lui payait même ce gigantesque appartement en plus de son salaire régulier. L'endroit était équipé de protections magiques très puissantes, empêchant toute personne non-autorisée à entrer et même à connaître l'existence du lieu. Harry n'avait pas le choix de vivre avec ces protections pour se protéger des fans. C'était très ironique.

— Centaines de livres? Tu n'aurais pas dû! Celui de la dernière fois était parfait!

— Je voulais te faire plaisir... soupira son hôte, le ton déçu.

Le rouge monta aux joues du blond.

— Merci... euh, j'imagine que tu dois être vraiment riche.

Il se gifla mentalement, regrettant déjà d'avoir dit un truc aussi nul. Bien sûr qu'Harry était riche! Son appartement devait faire au minimum six ou sept fois la grandeur du sien.

— Oh! Tu sais, j'ai pas vraiment choisi d'habiter ici... c'est un peu grand juste pour une personne.

Il s'interrompit, incertain de ce qu'il devait dire.

— Ça te dérange pas..?

Drago ne put retenir un rire.

— Il faudrait que je sois fou pour que ça me dérange! D'ailleurs le repas est délicieux, c'est toi qui l'as cuisiné?

Un petit changement de sujet bien placé!

— Oui, je suis content que ça te plaise, rougit Harry à son tour.

Il avait tout de même passé tout l'après-midi à le préparer, alors un petit compliment ne faisait pas de mal du tout.

Lorsqu'ils eurent terminé de manger, ce fut le blond qui proposa un film à son hôte. Celui-ci ne comprenait pas comment il pourrait apprécier un film sans image, mais en vérité, il voulait seulement se coller contre Harry. Quelle était l'expression moldue déjà? Netflix and chill?

Cependant, le brun eut un instant d'hésitation. Alors qu'ils s'installaient l'un près de l'autre sur le grand sofa du salon, il se dit que la soirée, jusqu'à date, se déroulait exactement comme la semaine dernière, sauf qu'il ne voulait pas qu'elle se termine de la même façon. Il ramassa ce qui lui restait de son courage de griffon et murmura:

— Drago... hum, la dernière fois, pourquoi... pourquoi t'es parti pendant la nuit?

À l'entente de son prénom, le blond s'était naturellement tourné vers Harry. Même s'il ne voyait pas son expression, il sentait une certaine vulnérabilité dans la question.

— J'avais l'impression qu'on était pas prêt pour ça, se réveiller ensemble je veux dire, admit-il sincèrement. On se connaît même pas, en théorie...

Quand il s'était réveillé dans le noir complet, vers quatre heures du matin, la semaine précédente, Drago avait senti une chaleur réconfortante et des bras forts qui l'entouraient. La soirée avait été si belle qu'il s'était dit qu'elle ne valait pas la peine d'être gâchée par une matinée potentiellement embarrassante.

L'esprit d'Harry, lui, était resté figé sur les mots « en théorie ». Le blond avait dit qu'en théorie, ils ne se connaissait pas. Ce qui signifiait qu'il se doutait d'avoir en face de lui, non pas n'importe quel Harry, mais celui avec qui il s'était battu pendant sept ans. Le brun devait admettre, toutefois, que les regards qu'ils avaient échangés durant leur huitième année à Poudlard n'étaient plus du tout haineux. Peut-être qu'ils avaient une chance.

— Je peux rester cette nuit si tu veux, ajouta alors Drago, car le silence s'étirait.

— Vraiment?

— Tu me crois pas?

—C'est pas ça. Si t'as envie de rester, ça va me faire plaisir.

Ils avaient réellement une chance alors. Cette possibilité l'émoustillait plus qu'il ne l'aurait admit. Il sursauta soudain lorsque son invité s'empara de ses joues à nouveau. Un baiser fut posé une seconde fois sur ses lèvres avant que la voix douce et angélique ne lui dise de mettre le film. Il s'empressa d'obéir, ne pouvant s'empêcher de passer un bras possessif autour des épaules de Drago. Son joli blond ne serait rien qu'à lui pour cette nuit; son cœur s'emballait déjà, ce traître.

Le long-métrage captiva un peu trop Harry au goût de Drago qui aurait préféré un échange passionné plutôt que seulement se tenir la main. Il finit par casser le silence qui planait, en affichant une moue vaguement agacée:

— Harry? J'ai encore un peu faim, j'aimerais un dessert.

En parlant, il avait remonté progressivement ses doigts le long du bras du brun jusqu'à atteindre sa nuque. Ce dernier se redressa aussitôt.

— J'ai des restes de tiramisu dans le congélateur si tu veux! Il est vraiment bon, je l'ai acheté dans une pâtisserie moldue pas loin.

Drago retint un soupir; il n'allait quand même pas dire non à du tiramisu! Peut-être même qu'il pourrait convaincre Harry de lécher de la crème du gâteau sur lui? Un sourire malicieux s'afficha sur ses traits, puis il chassa l'idée à regret; c'était encore trop tôt pour ce genre de choses.

— Je veux bien, dit-il alors. À condition que tu me fasse manger. C'est trop difficile sans voir.

Il mentait effrontément, certes. Il avait parfaitement réussi jusqu'à maintenant, mais il aimait l'idée d'Harry le faisant manger du gâteau. Lorsque le brun réapparut dans le salon, il portait une assiette contenant deux morceaux de tiramisu et une fourchette. Il espérait que Drago ne faisait pas partie des nombreuses personnes bizarres qui préféraient manger leur dessert avec des cuillères.

Les premières bouchées ravirent particulièrement la jolie bouche du blond qui laissa échapper des sons de plaisir absolument indécents. Harry aurait parié qu'il faisait exprès pour l'exciter, surtout qu'il se léchait les lèvres après chaque bouchée. Les deux morceaux furent engloutis assez rapidement et après avoir envoyé valser l'assiette dans la cuisine d'un coup de baguette, le brun se jeta sur son invité, le plaquant contre les coussins du sofa afin de lui délivrer un baiser dont il se souviendrait longtemps. Leurs estomacs étaient peut-être bien remplis, mais leurs bouches, elles, étaient encore affamées. Le goût de café et de sucre se glissait partout, entre chaque caresse et chaque gémissement étouffé.

Harry n'avait jamais goûté un baiser plus délicieux que celui-ci, ni embrassé des lèvres aussi douces. Il glissa envieusement sa langue contre sa jumelle dans une longue danse sensuelle, tandis que les mains de Drago migraient de ses épaules à sa nuque pour le rapprocher encore plus. Leurs corps semblaient maintenant tout autant fusionnés ensemble que leurs bouches l'étaient, se séparant à peine quelques secondes pour respirer. Ils pensèrent tout deux au même moment qu'il s'agissait assurément du meilleur baiser de leur vie.

Ils finirent par se calmer un peu, mais le brun pouvait toujours parfaitement sentir le magnifique corps allongé sous lui. Il pouvait sentir chaque courbe délicieuse et son excitation palpitante.

— Est-ce que tu veux monter dans la chambre? chuchota-t-il, incertain.

Il ne voulait pas faire peur à Drago, ni lui donner envie de partir. Il voulait juste qu'ils soient plus confortables que dans le salon et surtout, que son invité accepte de rester toute la nuit. Il espérait tellement l'avoir dans ses bras au matin, lui préparer un bon déjeuner et le couvrir de baisers sous les rayons éclatant du soleil matinal. Le blond devait être si beau, baigné dans la lumière claire du jour, probablement encore plus magnifique que maintenant. Il poussa un soupir.

— Oui, s'il-te-plaît.

— Quoi?

Un gloussement.

— Dans la chambre.

— Oh!

Il n'en fallu pas plus pour qu'Harry ne le soulève dans ses bras et ne l'amène vers l'étage supérieur, abandonnant le film presque terminé à son sort. Les escaliers grincèrent un peu sous leurs poids combinés, puis son dos rencontra un matelas terriblement confortable imprégné de l'odeur du brun. Des lèvres douces et chaudes se posèrent à nouveau sur les siennes, cette fois plus chastement. Il ne put empêcher ses mains de glisser une énième fois sur ce corps sublime, tiède, et si doux. Il réalisait qu'en seulement une semaine, il s'était attaché très fort à Drago, bien davantage que ce qu'il aurait pu prévoir.

— T'as besoin de quelque chose, trésor?

Les jolies joues pâles se colorèrent d'une teinte plus rosée à l'entente du surnom.

— Je prendrai une douche...

— Okay, je te passe des vêtements propres pour dormir.

Drago les prit, remercia Harry d'un sourire adorable et entra dans la salle de bain qui se trouvait directement dans la chambre. Une fois la porte fermée, il retira le bandeau, aveuglé un bref instant avant de regarder autour de lui. En plus de la douche, il y avait une grande baignoire. Chez lui, son appartement était trop petit pour accueillir une baignoire, mais le blond avait été habitué à ce genre de luxe quand il était jeune et ça lui manquait un peu. Il secoua aussitôt la tête; valait mieux ne pas trop faire attendre son hôte.

Sous l'eau brûlante qui apaisait ses muscles tendus, il se mit à réfléchir. Et si ce n'était pas Harry Potter, mais quelqu'un de vraiment moche? Il aurait dû reconnaître la voix de son ennemi d'enfance et pourtant, il ne l'avait pas fait... Il commençait à le soupçonner de lui avoir jeté un sors de confusion, car à chaque fois qu'il tentait de se concentrer pour se remémorer sa voix grave, son esprit s'égarait presque toujours dans d'autres directions. Puis il pensa, et si ce n'était pas Potter, mais un autre homme vraiment séduisant? Il s'embrouillait, alors il coupa l'eau, s'habilla rapidement et ouvrit la porte afin d'en avoir — enfin — le cœur net.

Harry se tenait dos à lui, allongé sur le matelas. Il avait assurément entendu la porte de la salle de bain s'ouvrir, or il ne bougea pas d'un poil. Drago prit donc l'initiative de contourner le lit, de soulever doucement l'épaisse couverture et de se glisser en dessous contre le corps qui s'y trouvait déjà. En relevant les yeux, il rencontra deux émeraudes familières, scintillantes dans la faible lumière de la lampe de chevet. Ses sourcils étaient légèrement froncés et ses cheveux ressemblaient, comme d'habitude, à un nid d'oiseau: mi-longs, et bouclés dans tous les sens. C'était sexy. Le blond passa ses doigts fins dedans et apprécia leur douceur.

— Salut, dit-il, un sourire étirant ces lèvres.

Harry ne résista pas et les embrassa. Le goût du tiramisu était parti, mais elles étaient toujours aussi délicieuses.

— T'es pas dégoûté? murmura-t-il tout de même.

— Non, je me doutais que c'était toi, avoua Drago. Tu m'as jeté un sort de confusion?

Harry rougit; il avait cru que Malefoy ne s'en rendrait pas compte.

— Euh... ouais. Je m'excuse, c'était un petit sort de rien...

— Pas grave. La prochaine fois...

Il hésita un instant et ajouta en évitant son regard:

— La prochaine fois, tu me feras l'amour pour te faire pardonner...

Il entendit la respiration du brun s'accélérer et un bras l'attirer à lui.

— T'inquiète.

Un ange passa, puis il ajouta:

— Hum, ça veux dire que tu vas revenir la semaine prochaine?

Drago laissa échapper un petit rire.

— Oui, et c'est moi qui vais cuisiner. Ou on peut aller au restaurant.

— Comme tu veux... tu vas rester cette nuit?

— Si tu me tiens fort... et que tu m'embrasses.

Harry ne se fit pas prier deux fois; il enlaça son joli blond de toutes ses forces et lui offrit un baiser décadent.

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Hey~~

Je suis assez fière de ce two-shots! Vous êtes satisfaits ou vous aimeriez une troisième partie? Comme c'est court, je n'ai pas mis trop de détails sur la nouvelle vie d'Harry et de Drago, mais il y aurait toujours la possibilité d'en rajouter.

Sinon j'ai bien aimé écrire cette histoire! D'habitude j'ai de la difficulté à garder ça court (j'ai souvent l'impression que c'est incomplet) mais là j'ai réussi ^-^
Je vais peut-être essayer d'écrire d'autres OS ou TS, je vais voir!

En tout cas merci full de m'avoir lue, et merci à ceux et celles qui ont voté/commenté, ça fait toujours très plaisir <33