J'aurais toujours cette image de toi, un jeune homme souriant, drôle et qui criait souvent. Putain, je me souviens que trop bien de cette journée ! Tu m'avais appeler sur mon téléphone et tu avais crier. Pas des absurdité comme à ton habitude. Non, tu avais crier que tu ne respirer plus, qu'il fallait que je vienne vite. Puis j'avais entendu un bruit de fracas, puis plus rien. J'avais paniquer et j'etais partit comme un fou à ma voiture. J'avais conduit pour arriver chez toi, téléphonant au urgence, leur expliquant que je ne n'était pas avec toi, qu'il fallait qu'ils agissent vite. Quand je suis arrivé chez toi, la porte était forcée. Le samu était devant et des gens regarder. Je poussait tout le monde. Je suis rentré et je t'es vu. Tu étais allonger au sol, ton torse se soulever très peu et irrégulièrement. On te fit un massage cardiaque puis on te déplaça à l'hôpital. Je montait dans le camion pour t'accompagner, je ne voulais pas te laisser. Je pleurait. J'avais peur. Les minutes semblait être des heures. Le camion était arrivé à l'hôpital. Des médecins te prirent en charge. L'hôpital était grand, des ascenseur partout, des panneaux mais surtout des gens qui pleurait. Un des médecins me demanda qui j'étais par rapport à toi. Sachant très bien que si je disais la vérité, il me ferait partir, j'ai dit que j'étais ton frère. J'ai attendu 15 minutes dans la salle d'attente. 15 minutes qui pour moi on était des heures. Après 15 minutes un médecin vint me trouver. Il m'avait dit de le suivre d'une voix calme. Et de cette voix toujours aussi calme, il m'avait annoncer ta mort. Et maintenant, je suis là, habiller d'un costards noir. Devant ton cercueils, des larmes coulant sur mes joues. Je regarde ton cercueils descendre. Tout le monde reste. Les gens pleurent et moi... Je reste. Tout le monde pars et moi, je reste. Je pleurs. Je t'aime