Faithtale!Sans X Reader

Rappels du X Reader :

(T/P) = Ton prénom
(T/N) = Ton nom
(T/S) = Ton surnom
(C/A) = Couleur âme

Ensuite, les personnages ne parleront pas forcément la même langue :

- La langue des humains sera comme ça

- Et celle des monstres comme ça

Commande de booksclover !
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Tu regardais Frisk, qui se trouvait à quelques mètres de toi, flotter dans l'espèce d'eau dans laquelle vous étiez toutes les deux. Aujourd'hui, les scientifiques qui vous retenaient allaient enfin vous réunir dans la même cuve. Tu allais enfin pouvoir parler avec ta grande soeur ! En effet, communiquer par signes était amusant au début, mais il était difficile de se comprendre. Heureusement que vous aviez toujours été proches, et que vous vous connaissiez bien.

Le dialecte monstre était vraiment différent de celui des Hommes, mais toi et Frisk avaient fini par comprendre quelques petits trucs. Et Sans, un des scientifiques s'était débrouillé à l'aide de signes pour se faire comprendre, et pour vous faire comprendre votre réunion.

Mais soudain, tu te sentis fatiguée. Baillant, tu vins au fond de la cuve pour t'y allonger. Tu ne savais pas vraiment d'où venait cette fatigue soudaine et tu n'eus pas le temps d'y réfléchir longtemps que tu t'endormis. 

Lorsque tes yeux se réouvrirent, la première chose que tu vis fut le visage souriant de ta soeur. Te prenant immédiatement dans ses bras, celle-ci te fis un grand sourire alors que tes propres lèvres s'étiraient dans un sourire heureux.

"(T/P) ! Tu m'as manqué petite soeur ! Même si on était juste séparée de quelques mètres !"

Tu ne pouvais qu'être d'accord. Parti comme c'était, tu ne pensais jamais plus pouvoir parler ta langue. Mais Frisk et toi étaient ensemble maintenant. Tu te sentais déjà mieux.

"Toi aussi Frisk ! Je pensais qu'on allait plus jamais pouvoir se parler !" 

D'ailleurs, c'était étrange de pouvoir parler en immersion sous l'eau. Mais vous pouviez respirer, alors pouvoir également parler semblait couler de source. Mais cela n'avait pas été si clair lorsque tu t'étais réveillée dans cette cuve pleine d'eau pour la première fois et tu avais vraiment cru que tu vivais tes derniers instants sur Terre. Chose que tu avais également pensé lorsque Frisk et toi aviez été découvertes en plein territoire monstre. C'était d'ailleurs pour cette raison que vous étiez enfermées dans ce laboratoire. Apparemment, ils faisaient des recherches sur vos âmes, mais tu n'en étais pas sûre. La compréhension du dialecte monstre était après tout très, très fragile. 

Simplement enveloppées dans des bandages qui couvraient vos parties les plus intimes, vous n'étiez pourtant nullement gênées. Bon, chacune de vous avaient tenté de demander aux rares monstres vous rendant visite de vous donner des vêtements plus couvrant, mais aucune de ces demandes n'avait abouti. Vous n'étiez même pas sûres qu'elles aient été comprises. Alors vous aviez simplement laissé tombé. 

Votre discution dura de longues heures, vous aviez tellement de choses à vous dire ! Vous n'aviez même pas remarqué le squelette entré dans la salle qui vous observait avec attention.

En effet, Sans était là depuis une dizaine de minutes et vous regardait parler, notant quelques petites annotations sur le carnet qu'il tenait. Il ne comprenait pas un traître mot de ce vous disiez, mais il était évident que vous étiez heureuses de vous revoir, et il se félicita d'avoir soumis cette idée à Gaster. Bien évidemment, il ne lui avait pas dit que c'était car il n'en pouvait plus de vous voir tenter de vous comprendre à travers vos cuves respectives sans jamais vraiment y arriver. Il avait rapidement compris qu'un lien fort vous unissait. Familial peut être ? Il n'en savait rien mais il supposa que c'était le cas.

Et si c'était réellement le cas, il ne put que se sentir encore plus satisfait de cette réunion. Si Pap's et lui étaient enfermés ainsi, séparés de seulement quelques mètres sans pouvoir se parler pour autant, il était sûr qu'il en serait désespéré.

Mais vous étiez humaines, comment pouvait-il comparer sa relation avec son frère à la votre ? Cela faisait un moment qu'il avait compris que les humains n'étaient pas les créatures égocentriques et méchantes qu'on leur avait toujours dépeint. Et voir vos deux sourires heureux et insouciants ne pouvait qu'aller dans ce sens.

Il soupira. Il savait qu'il ne devait pas se laisser amadouer par ces deux humaines. Elles étaient les deux cobayes qui leur servaient de sujets de tests pour leurs expériences sur les âmes. En effet, c'était assez rare savoir une âme humaine sous la main. Alors deux... Surtout que leurs possesseurs étaient en vie.

Cette chance ne se reproduirait peut être jamais.

Mais c'était plus fort que lui. Les humaines étaient des êtres vivants avant d'être des âmes. Et pourtant, il avait durant de longues heures tenté de se convaincre le contraire.

Soupirant de nouveau, il quitta la pièce. Bien que vous ne l'aviez pas remarqué, il se sentait de trop. Il avait l'impression de briser votre intimité.

Cela faisait à présent trois jours que Frisk et toi étiez réunies. Vos retrouvailles passées, vous faisiez en sorte de tuer le temps. En effet, être enfermées dans des cuves en verre pleines d'eau n'était pas très distrayant.

Puis, les trois scientifiques qui s'occupaient de vous entrèrent dans la salle. Des trois, vous ne connaissiez que le nom de Sans, il avait été le seul à réellement se présenter à vous. C'était d'ailleurs pour cette raison que vous ne collaboriez avec entrain qu'avec lui, faisant l'effort de tenter de comprendre ce qu'il voulait. C'était totalement puéril et vous le saviez. Mais cela vous amusait plus qu'autre chose.

Et puis c'était à eux de comprendre que vous n'étiez pas aussi futiles que de simples cobayes !

Ils s'approchèrent tous les trois de la cuve dans laquelle vous étiez alors que vous descendiez afin d'être à leur niveau. Ils se mirent à discuter entre eux et vous ne captèrent que quelques mots, mais aucun pouvant vous aider quant au sujet de leur petite discution.

"Dis Frisk, ils parlent de quoi selon toi ?

- Je sais pas (T/P)... Oh ! J'ai une idée ! On va inventer ce qu'ils disent ! Cela fera passer le temps au moins !

- Pas bête Frisky ! Je prend Sans et l'autre squelette !

- Ça me va. Je commence ! Donc. Elle se racla la gorge et prit la parole sa voix légèrement plus aiguë que d'habitude. Il fait froid aujourd'hui, vous ne trouvez pas ?

- Je suis d'accord très chère petite dinosaure trop hautaine pour me donner ton nom. Mais comme moi et Sans sommes des squelettes, on ne ressent rien ! Rhalala, ce que c'est pratique d'être un monstre ! On peut même faire des expériences cheloues sur les humaines qu'on a attrapé ! Fis-tu en même temps que Gaster ne parlait. Puis Sans enchaîna et tu repris la parole, changeant légèrement le timbre de ta voix. Oui, je suis d'accord squelette tout aussi hautain que l'autre dinosaure jaune. Mais cela ne nous donne pas le droit de les traiter comme des objets. Moi, je suis gentil au moins, et je leur ai donné mon nom."

Éclatant de rire face à vos bêtises, vous continuâtes à parler ainsi, ne vous préoccupant même plus de qui parlait à côté. L'augmentation des délits du côté humain du mur, les "magnifiques âmes rouges et (C/A)" que vous aviez, ce qu'il se passerait si l'étrange eau dans laquelle vous étiez serait remplacée par de la vraie, le fait que les scientifiques étaient des pervers car ils vous avaient seulement laissé des bandages comme habits, tout y passa ! Une chose était sûre, vous viviez plutôt bien le fait d'être enfermées.

Votre rire commun était instoppable et vous en aviez mal au ventre. Cela finit d'ailleurs par attirer l'attention des trois monstres qui vous regardèrent étrangement.

"Je me demande ce qui les fait autant rire... se questionna justement Sans. Mais cela ne sembla pas préoccuper tant que cela les deux autres scientifiques.

- Peu importe, on a pas le temps. Sans, dis moi comment tu fais pour qu'elles coopèrent avec toi. Coupa Gaster.

- Comment je fais ? C'est à dire ?

- Tu dois bien avoir une technique pour les amadouer, non ? Car elles refusent de faire le moindre effort pour nous comprendre... renchérit Alphys. Alors qu'à chaque fois que tu vas vers les humaines, elles tentent un minimum de te comprendre.

- Mais... Je ne fait rien de spécial pourtant ! Vous savez quoi ? Je vais leur demander !"

Il s'approcha alors de la cuve dans laquelle vous vous trouviez, et dans laquelle vous étiez toujours en train de rire. Puis, il toqua à la vitre, attirant votre attention tandis que les deux autres scientifiques s'éloignaient assez pour être hors de votre vue.

Une fois que votre fou rire fut passé, et que Sans fut à votre niveau, vous lui fites un salut de la main, salut qu'il vous rendit. Tu prononça alors l'un des seuls mots dont tu étais certaine du sens.

"Bonjour !"

Souriant, il prononça son équivalent dans le dialecte humain.

"Bonjour !"

Vos deux accents étaient à couper au couteau, mais l'intention était là. Puis, à coup de gestes et de petits dessins, Sans tenta de vous demander pourquoi vous collaboriez avec lui, mais pas avec ses deux collègues.

Dans l'ensemble, vous comprirent sa question. Après vous être échangé un regard, Frisk pointa Sans du doigt, sous le regard attentif de ce dernier, et mis son pouce en l'air, alors que tu pointais les deux scientifiques dont tu ne connaissais pas le nom que Sans avait représenté avant de baisser ton pouce.

Sans, sympa.
Gaster et Alphys, pas sympa.

C'est la conclusion à laquelle arriva le squelette.

Hochant la tête et vous remerciant, il repartit vers les deux scientifiques qui l'attendaient.

"Merci ? Ça veut dire quoi selon toi ?

- Je sais pas... Peut être une façon de dire merci ! Voire merci tout court !

- Pas bête !"

Fières de votre déduction, vous reprirent une conversation antérieure, tandis que Sans annonçait sa conclusion à ses collègues.

"Je crois qu'elles ne vous aiment juste pas..."

Un soupir leur échappa. En temps normal, il se fichaient de savoir qu'une de leur expérience les aime ou pas. Mais ici, cela rendait vraiment leur travail plus difficile... Ils sortirent finalement tous les trois de la pièce. 

Cela faisait environ trois semaines que vous étiez de nouveau réunies. Environ car vous n'aviez que très peu de moyens de savoir quand était le jour et quand était la nuit. Alors c'était approximatif, en fonction des allées et venues des scientifiques. D'ailleurs, en parlant d'eux, les voilà qui rentraient dans la salle où vous étiez.

Portant alors votre attention sur eux, et particulièrement sur Gaster -Sans vous avait dit son nom- qui tenait une seringue dans sa main. La plupart du temps, les produits qu'ils voulaient tester, ils les injectaient dans l'eau et laissaient vos corps les absorber simplement. C'était la première fois qu'ils enverraient directement le produit dans vos corps...

Sans ne pouvait s'empêcher de stresser. C'était la première fois qu'ils allaient injecter un produit directement dans l'âme d'une des deux humaines, il ne savait pas laquelle. Si cela avait été le corps, il n'y aurait eu aucun problème. En effet, ils avaient remarqué que peu importe ce qu'ils leur injectaient, les corps des deux humaines réagissaient très rapidement, et produisaient des anticorps afin d'appréhender les bactéries injectées, ils avaient d'ailleurs fait en sorte de tester plusieurs types, tout en faisant attention à ne pas injecter de trop nocives pour vous.

Et rien que savoir cela les avait vraiment avancés dans la compréhension du fonctionnement du corps des humains, si différent de celui des monstres.

Mais là, on parlait d'injecter un produit directement dans l'âme de quelqu'un. Certes, on parlait d'âmes humaines, bien plus résistantes que celles des monstres, mais tout de même.

Tu regardas alors deux mains trouées apparaître dans la cuve, l'une d'entre elles tenant la seringue que Gaster avait. Elles se dirigèrent vers Frisk alors que Sans, qui s'était approché, lui fit signe de faire apparaître son âme. En effet, vous aviez tous les trois convenu d'une sorte de code, faisant que chaque action récurrente que vous aviez à faire pour leurs expériences était associée à un signe.

Frisk hocha donc la tête et fit apparaître son âme rouge vive. Les deux mains s'en approchèrent et la seringue se planta dans le petit coeur. Tu vis ta soeur grimacer légèrement, mais elle te rassura d'un sourire. Puis, le liquide fut injecté.

Tout se passa très rapidement.

Tu vis le visage de Frisk se tordre dans une grimace douloureuse, et sous tes yeux désemparés, elle se mit à tousser. Tu te précipitais à ses côtés alors qu'elle se mettait à pleurer. Tu paniquais clairement alors qu'elle se mettait à saigner du nez, à cracher du sang.

Tu ne remarquas même pas la cuve s'ouvrir au-dessus de toi. Tu vis seulement le corps de Frisk être arrachés de tes bras et sortit de l'eau.

Ils n'avaient pas le droit de te l'arracher !

Mais l'entrée était fermée. Tu te mis alors à taper sur la paroi en verre, avec toute ta force. Tu te fichais d'être blessée, tu voulais juste être aux côtés de ta soeur, être aux côtés de Frisk !

La paroi fissurait sous tes coups désespérés.

Tu vis Gaster et Sans transpprter ta soeur dans une pièce adjacente alors qu'Alphys tentait de te calmer, mais même si tu pouvais comprendre ses mots, tu savais que cela ne servirait pas.

Des larmes coulaient, se mélangeant avec l'eau rosée à certains endroits par le sang de Frisk.

Puis, la vitre craqua. Tu tombas au sol, parmi les éclats de verre. Tu te fichais de la douleur qu'ils provoquaient, du sang qu'ils faisaient couler, des profondes coupures qu'ils créeaient.

Tu courus hors de la salle, Alphys à tes trousses, son regard désolé pesant sur tes épaules mortes d'inquiétudes.

La première chose que tu vis en entrant dans la salle suivante fut le corps souffrant de ta soeur. Tu te précipitas à ses côtés.

Tu repoussas les deux squelettes qui s'affairaient autour d'elle et posas tes mains saignantes sur le corps de Frisk pour doucement la réveiller.

"Grande soeur... Réveilles toi... J't'en supplie ! T-tu... T'as pas le droit de m'abandonner !"

Mais ses yeux restaient obstinément clos. Elle respirait, son souffle erratique était assez facilement repérable, mais semblait vraiment souffrir.

Tu sentis ton corps partir en arrière contre ta volonté alors que tes larmes redoublaient d'intensité.

"Je vous déteste...! V-vous vous foutez de n-nous ! T-tout ce que vous v-voulez c'est que vous stupides expériences f-fonctionnent..! P-peu importe ce qui nous arrive... pas vrai ? Je vous hais... JE VOUS DÉTESTE TOUS !"

Ils ne comprenaient évidement pas ce que tu disais. Mais ta voix désespérée, ton ton implorant, ton cri de haine surent briser la barrière des langues. Pour la première fois depuis le début des expérimentations, les trois scientifiques sentirent la culpabilité ronger leur âme. Comment avaient-ils pu être aussi... bêtes ? Vous étiez des humaines, des êtres dotés de sentiments et d'émotions. Ce n'était pas parce que vous étiez des humaines et eux des monstres qu'il devaient se sentir au-dessus de vous. Qu'ils devaient vous traiter comme des objets.

Tu t'étais endormie, sous l'effet du sédatif que Gaster t'avais injecté pour te calmer. Il soignèrent tes coupures avant de t'allonger sur une table, la cuve ayant été détruite par tes poings.

Puis ils repartirent soigner Frisk.

Cela faisait trois jours que Frisk était évanouie. Tu t'étais réveillée depuis longtemps et aidais comme tu le pouvais pour que ta soeur se réveille plus vite. Tu passais la majorité de ton temps avec Sans, lorsque il était là, car même si Gaster et Alphys étaient devenus bien plus aimables, c'était avec le petit squelette que tu te sentais le plus en sécurité.

Ce fut pour cette raison que tu fis comprendre à Sans que tu voulais apprendre sa langue.

Il te regarda, surpris par ta demande. En effet, tu n'avais jamais laissé entendre que tu souhaitais pouvoir parler avec les monstres. Mais il accepta, à condition qu'il puisse apprendre le dialecte humain en même temps.

Cela avait été laborieux. Pendant une semaine, où Frisk était restée inconsciente, vous passiez vos journée côte à côte, apprenant quelques mots dans la langue de l'autre, à l'aide d'images et de gestes.

Puis Frisk s'était réveillée et, après lui avoir fait le plus gros câlin au monde, vous étiez retournées dans une cuve qui avait été reconstruite. Cela ne vous gênait pas, étant donné que vous trouviez amusant de vivre dans l'eau.

Mais tes rendez-vous avec Sans n'avaient pas stoppé pour autant. Vous vous retrouviez tous les jours quelques heures, parfois avec Frisk, parfois seuls, comme à cet instant.

Riant de vos maladresses respectives, vous vous appreniez aujourd'hui comment exprimer des sentiments. L'idée venait de toi, qui après de nombreuses séances avait découvert que tes sentiments envers le squelette étaient plus qu'amicaux. Alors tu pris le crayon par lequel vous communiquiez lorsque vos vocabulaires respectifs devenaient trop limités.

Tu dessinas une personne, puis une autre à ses côtés. Puis, tu fis un coeur entre les deux.

"Comment ça se dit ?" Demandas-tu dans la langue de celui pour lequel ton coeur avait décidé de battre.

En effet, dès que votre maîtrise de la langue de l'autre s'était montrée suffisante, vous vous étiez mis à parler cette langue, comme si cela venait de soi. Depuis, c'était devenu une banalité.

"Je t'aime. Répondit-il. Quand on est "amoureux" on dit "je t'aime" à la... personne..?"

Le dernier mot se dit hésitant, montrant qu'il doutait du mot et de sa signification. Mais un hochement de tête de ta part lui fit comprendre qu'il avait bon.

" Chez moi, c'est "Je t'aime" ! Et l'autre mot... si j'ai compris bien, c'est "amoureux".

- Bien compris, plutôt. Et... (T/P) ?

- Oui ?"

Tu le regardas, légèrement contrariée au fond de toi. Maintenant que tu connaissais le mot, tu voulais te déclarer à lui ! Mais vu la tête qu'il faisait, cela semblait sérieux, alors tu ne montras rien de ton trouble intérieur.

"Je t'aime (T/P)."

Tu clignas plusieurs fois des yeux avant de réellement réaliser ce qu'il venait de te dire. Mais c'était génial ! Ce fut tout sourire que tu lui répondis.

"Je t'aime Sans !"

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