RP dont elle est issue:

« Le Tournois des 3 sorciers - RP Harry Potter », de Hekhan (the ouenderfoule :3)

« 𝘚𝘪 𝘫'é𝘵𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘦, 𝘫𝘦 𝘵𝘦 𝘥𝘪𝘳𝘢𝘪𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘫𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘢𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘢𝘯𝘰𝘮𝘢𝘭𝘪𝘦, 𝘫𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘰𝘳𝘪𝘨𝘪𝘯𝘢𝘭𝘪𝘵é. — ...𝘔𝘢𝘪𝘴 𝘫𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘢𝘴 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘦, 𝘢𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘫𝘦 𝘵𝘦 𝘥𝘪𝘴 𝘫𝘶𝘴𝘵𝘦 𝘥'𝘢𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘵𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘤𝘶𝘪𝘳𝘦 𝘭𝘦 𝘤𝘶𝘭. 𝘝𝘢 𝘮𝘢𝘯𝘨𝘦𝘳 𝘵𝘦𝘴 𝘱𝘪𝘦𝘥𝘴. »

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🅿🆁🅴🅽🅾🅼 : Maelenn

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🅽🅾🅼 🅳🅴 🅵🅰🅼🅸🅻🅻🅴 : Le Goff

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🆂🅴🆇🅴 : féminin. Elle est intersexuée, pas intersexe.

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🅰🅶🅴 : 16 ans (6ᵉᵐᵉ année)

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🅴🆃🅰🅱🅻🅸🆂🆂🅴🅼🅴🅽🆃 🅴🆃 🅾🆁🅳🆁🅴 : Beauxbâtons, elle a été répartie à Urtica.

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🆂🆃🅰🆃🆄🆃 🅳🅴 🆂🅰🅽🅶 : née-moldue (mais sa famille est si nombreuse que, les probabilités aidant, ils sont plusieurs nés-moldus en son sein)

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🅾🆁🅸🅴🅽🆃🅰🆃🅸🅾🅽 🆂🅴🆇🆄🅴🅻🅻🅴 : ne sait pas et n'en a cordialement rien à taper. (Du moins c'est ce qu'elle dit.)

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🅲🅰🆁🅰🅲🆃🅴🆁🅴 : On va partir sur quelque chose de clair : (voir le lien en pièce jointe du chapitre). C'est dur de cerner Maelenn pour la simple et bonne raison que c'est généralement en effet franchement tendu de cerner quelqu'un qu'on peut retrouver à toute heure de la journée en train de chanter « AAAAAH CAN'T DANCE » en marchant au pas comme, effectivement, ...Phil Collins dans 𝘐 𝘤𝘢𝘯'𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘤𝘦, en plein couloir vide. Il y a des gens qui entendent des voix dans leur tête qui leur soufflent d'aller bouter les anglais hors d'un endroit vaguement délimité par de fades frontières. Maelenn, elle, — c'est la 𝘮𝘶𝘴𝘪𝘲𝘶𝘦 qu'elle entend en boucle. Dans son crâne se déroule en continu un concert d'Alestorm qu'elle semble parfois regarder par un genre d'implant rétinien tout en se désintéressant 𝘵𝘰𝘵𝘢𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 de ce que les gens peuvent penser. Cette fille, c'est un immense bras d'honneur au jugement des autres. À la rigueur, elle peut s'avérer capable de faire des choses 𝘫𝘶𝘴𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 pour casser les codes.

Maelenn a grandi dans une famille salement nombreuse dont le nombre dépasse nettement six dans un appart minuscule de six pièces — 𝘰𝘯 𝘦𝘴𝘵 𝘥'𝘢𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥, 𝘪𝘭 𝘺 𝘢 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘶𝘯 𝘴𝘰𝘶𝘤𝘪. Elle est débrouillarde, indépendante à l'extrême — à la limite du survivalisme ; ne vous étonnez pas si vous retrouvez une bouteille de lait dans une chaussette mouillée pendue à la fenêtre de son dortoir — et déteste qu'on lui propose de l'aide.

Se battre avec une cuillère, 𝘰𝘶𝘪. Se faire aider par un 𝘨𝘯𝘪𝘢 𝘨𝘯𝘪𝘢 𝘨𝘯𝘪𝘢 de preux chevalier de mes deux, ...𝘯𝘰𝘯.

Autrement, je ne plaisante pas en parlant de sa famille ; il lui arrive cinq fois par jour au moins de lâcher un « oh, salut machin ! » destiné à un proche croisé au détour d'un endroit totalement random aux quatre coins du monde. (Les Le Goff auraient en vérité probablement envahi la terre que ça m'étonnerait pas.) Grandie à Lannion, dans les Côtes-d'Armor, elle refuse de se dire « française » et raconte à tout le monde qu'elle est « bretonne avant tout ». En ce qui la concerne, la France, c'est un autre pays avec lequel elle n'a rien à voir. On peut même aller jusqu'à qualifier Maelenn d'« indépendentiste bretonne » tant son but ultime dans la vie est d'apprendre le biniou tout en ayant patafixé un exemplaire de Ouest France traitant de l'affaire Fañch au-dessus de son lit. Alors ne buguez pas si jamais elle vous sort royalement des tirades en breton en pleine conversation.

...Concernant quelques infos en vrac ; Maelenn, hors école, — c'est typiquement le genre de personne à porter des tee-shirt de metal (notamment 𝒜𝓁𝑒𝓈𝓉𝑜𝓇𝓂, ces bon sang de GÉNIES) et à passer 90 % de son temps libre à faire des références obscures à des choses plus ou moins elles aussi obscures dépassant rarement les années 2010. Elle a un genre de sens de l'humour un peu noir qui n'a pas trop de limites — le genre d'humour qu'on retrouve généralement, ou bien en prison, ou bien sur les planches du Montreux Comedy Festival. Un côté très théâtral, aussi. Elle a une voix forte et qui porte qu'elle ne maîtrise pas trop et une gestuelle si expressive qu'elle pourrait flanquer une baffe à un passant à trois mètres sans faire exprès. Ça peut être perturbant ; son grand rire à en faire sursauter Squeezie et cette façon qu'elle a parfois de forcer sa gestuelle de camionneuse juste pour montrer à quel point elle est loin d'être fragile et douce et sans défense. Le genre à se trimballer les mains dans les poches et à sortir des blagues gênantes dès qu'on commence à lui faire des remarques sexistes. Le but, c'est de casser un maximum de codes en un minimum de temps. Donc si jamais vous voyez quelqu'un qui saute dans les escaliers en braillant : « 𝘉𝘈𝘙𝘙𝘌𝘡-𝘝𝘖𝘜𝘚, 𝘊𝘖𝘕𝘚 𝘋𝘌 𝘔𝘐𝘔𝘌𝘚 ! » sans aucune raison valable, ne cherchez plus ; c'est un condensé de l'être qu'est Maelenn.

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🅿🅷🆈🆂🅸🆀🆄🅴 : Je déteste commencer par ça mais c'est véritablement le premier signe irréductiblement particulier qui frappe quand on regarde Maelenn ; atteinte d'un dérèglement hormonal dont la cause est encore plus ou moins obscure, il y a comme des poils châtains qui courent en lierre sur sa mâchoire et lui donnent un air plus anguleux. Ça lui confère un air franchement androgyne même si elle porte les cheveux longs — un genre de Gareth Murdock en puissance. On appelle ça : un 𝘩𝘪𝘳𝘴𝘶𝘵𝘪𝘴𝘮𝘦, et celui de Maelenn se développe depuis plusieurs années en silence. De fait son physique est particulier, sans, sincèrement, être 𝘭𝘢𝘪𝘥. Ça lui donne d'ailleurs pour être tout à fait honnête un genre de charme franchement frappant qui oscille aux confins de l'intersexuation (le sujet est chatouilleux chez elle, elle en a fait un puissant militantisme). Ça, c'est ce qui l'agace ; elle est consciente du charme casse-code dont elle est dotée et ne supporte pas qu'on s'avise de se moquer de sa condition sans prendre le recul de l'admettre. Ce trop simple : « c'est différent donc c'est laid », ça vous vaudra une baffe. Maelenn tire, en effet, sur l'androgyne ; silhouette mince, de taille moyenne, de grands pieds, de longs bras fins à la peau noueuse qui suggèrent une pratique sportive régulière et des mains larges où quelques veines dessinent comme des serpents d'eau. Autrement sur le visage mince où les muscles de la mâchoire se tracent comme une légère barre d'ombre à certaines contrariétés, on distingue des yeux très verts pleins de défi dont l'un est marqué d'une épaisse hétérochromie brune ; ce qui donne l'illusion, de loin, que ses yeux son vairons. Taches de rousseur, physique hors-codes mais plein de charme, cheveux négligés et ramassés généralement en queue-de-cheval à la manière d'une metalleuse en plein Hellfest, air ordinairement de défi mais aussi de je-m'en-foutisme et oreille percée d'un unique anneau piratesque, — Maelenn n'en a rien à taper d'attirer les regards. D'ailleurs elle porte généralement l'uniforme masculin de Beauxbâtons. À ceux qui posent la question, elle répond : « t'as vraiment envie de voir mes jambes de faune ? »

Elle a souvent une casquette à la con vissée sur le crâne.

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🅿🅰🆃🆁🅾🅽🆄🆂 : un étalon pie.

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🅱🅰🅶🆄🅴🆃🆃🅴 : Frêne, corne de Jackalope, 30 cm

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🅴🅿🅾🆄🆅🅰🅽🆃🅰🆁🅳 : « 𝘜𝘯 𝘮𝘪𝘳𝘰𝘪𝘳 𝘣𝘳𝘪𝘴é. 𝘊𝘦𝘵 é𝘱𝘰𝘶𝘷𝘢𝘯𝘵𝘢𝘳𝘥 𝘳𝘦𝘱𝘳é𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘔𝘢𝘦𝘭𝘦𝘯𝘯 𝘥𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘥𝘳𝘦 𝘴𝘰𝘯 𝘪𝘥𝘦𝘯𝘵𝘪𝘵é 𝘦𝘵 𝘴𝘰𝘯 𝘰𝘳𝘪𝘨𝘪𝘯𝘢𝘭𝘪𝘵é, 𝘥𝘦 𝘴𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘧𝘰𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘢𝘶𝘹 𝘯𝘰𝘳𝘮𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘴𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘪𝘦𝘳 𝘦𝘭𝘭𝘦-𝘮ê𝘮𝘦. 𝘓𝘦 𝘮𝘪𝘳𝘰𝘪𝘳 𝘣𝘳𝘪𝘴é 𝘴𝘺𝘮𝘣𝘰𝘭𝘪𝘴𝘦 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘭𝘢 𝘱𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘧𝘳𝘢𝘨𝘪𝘭𝘪𝘵é 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘯 𝘦𝘴𝘵𝘪𝘮𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘪, 𝘲𝘶'𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘤𝘳𝘢𝘪𝘯𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘰𝘪𝘳 ê𝘵𝘳𝘦 é𝘣𝘳𝘢𝘯𝘭é𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘳𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘰𝘶 𝘭𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘲𝘶𝘦𝘳𝘪𝘦𝘴. 𝘔𝘢𝘦𝘭𝘦𝘯𝘯 𝘢 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘢𝘶 𝘧𝘰𝘯𝘥 𝘥𝘶 𝘮𝘢𝘭 à 𝘢𝘤𝘤𝘦𝘱𝘵𝘦𝘳 𝘴𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥'𝘩𝘪𝘳𝘴𝘶𝘵𝘪𝘴𝘮𝘦 𝘦𝘵 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘩𝘢𝘳𝘮𝘦 𝘢𝘯𝘥𝘳𝘰𝘨𝘺𝘯𝘦, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘴𝘦 𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘳𝘦𝘫𝘦𝘵é𝘦 𝘰𝘶 𝘪𝘯𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘪𝘴𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴. 𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘢 𝘣𝘦𝘴𝘰𝘪𝘯 𝘥𝘦 𝘴'𝘢𝘧𝘧𝘪𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦𝘳 𝘵𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘲𝘶'𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵, 𝘴𝘢𝘯𝘴 𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘱𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘶 𝘳𝘦𝘨𝘢𝘳𝘥 𝘥𝘦𝘴 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴. » Étrangement et contrairement à pas mal de ses...homologues, son épouvantard n'est donc pas une pleine lune, mais — *raclement de gorge* ...je m'égare.