RP dont il est issu:

« Le Tournois des 3 sorciers - RP Harry Potter », de Hekhan

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« 𝘠 𝘢 𝘭𝘦𝘴 𝘷𝘰𝘪𝘹 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘮𝘢 𝘵ê𝘵𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘮'𝘰𝘯𝘵 𝘥𝘪𝘵 𝘲𝘶𝘦, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘳𝘦𝘫𝘰𝘪𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘈𝘭𝘯𝘸𝘪𝘤𝘬, 𝘪𝘭 𝘷𝘢𝘭𝘢𝘪𝘵 𝘮𝘪𝘦𝘶𝘹 𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘶 𝘴𝘵𝘰𝘱 𝘴𝘶𝘳 𝘭'𝘈1. »

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🅽🅾🅼 : Fossegrim

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🅿🆁🅴🅽🅾🅼 : Leif

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🆂🆄🆁🅽🅾🅼 : ...sérieux, si vous essayez de trouver un diminutif à « Leif », c'est que vous êtes le genre à vous marier avec une monosyllabe.

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🅶🅴🅽🆁🅴 : masculin

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🅰🅶🅴 + 🅰🅽🅽🅴🅴 🅳'🅴🆃🆄🅳🅴 : seize ans, sixième année

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🅴🅲🅾🅻🅴 : Durmstrang (il est Norvégien), réparti à Terpsichora

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🆂🆃🅰🆃🆄🆃 🅳🅴 🆂🅰🅽🅶 : né-moldu (et ce même si Durmstrang n'accueille habituellement pas de nés-moldus, mais étrangement ses parents ont su faire pression)

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🅾🆁🅸🅴🅽🆃🅰🆃🅸🅾🅽 🆂🅴🆇🆄🅴🅻🅻🅴 : ON A ATTEINT UN NIVEAU OLYMPIQUE DE : 𝗥𝗜𝗘𝗡 𝗔 𝗧𝗔𝗣𝗘𝗥 ! ...Mais dans les faits : 𝘱𝘢𝘯 jusqu'au bout des ongles.

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🅲🅰🆁🅰🅲🆃🅴🆁🅴 : Leif est une véritable boule d'énergie viscéralement incapable de tenir en place. Enfin, pas dans le sens où vous l'entendez ; bien sûr qu'il tient assis sur un siège plus d'une heure. Mais il a la 𝘣𝘰𝘶𝘨𝘦𝘰𝘵𝘵𝘦. Une 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘪𝘣𝘭𝘦, 𝘢𝘧𝘧𝘳𝘦𝘶𝘴𝘦, 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦 bougeotte qui vous prend aux 𝘵𝘳𝘪𝘱𝘦𝘴. Leif, c'est le type qu'on a une seule fois dans une vie dans sa classe et qu'on appelle non pas par son nom mais par le qualificatif de : « multi-fugueur ». Leif est fondamentalement un globe-trotteur qui trouve que passer trente-six heures sous la pluie à faire du stop avec un sac de trois fois son poids sur ses épaules, ...𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘷𝘳𝘢𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘱𝘪𝘦𝘥. Pour tout vous dire, la pire torture que vous pourrez jamais lui infliger restera de lui faire fixer le MÊME PLAFOND pendant trente minutes d'affilée. Le genre capable de répondre à la question « 𝘵𝘶 𝘧𝘢𝘪𝘴 𝘲𝘶𝘰𝘪 » à trois heures du matin : « 𝘫'𝘦𝘴𝘴𝘢𝘺𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘫𝘰𝘪𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘚𝘢𝘯𝘵𝘪𝘢𝘨𝘰 𝘋𝘦𝘭 𝘔𝘢𝘳 𝘦𝘯 𝘴𝘰𝘶𝘴-𝘮𝘢𝘳𝘪𝘯 𝘴𝘵𝘰𝘱, 𝘮𝘢 𝘮è𝘳𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘢𝘶 𝘤𝘰𝘶𝘳𝘢𝘯𝘵 ᕕ (ᐛ) ᕗ » (car, OUI, il a déjà noyé un poisson avec sa surutilisation des emojis). Curieux, avide — 𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘪𝘴-𝘫𝘦? 𝘈𝘍𝘍𝘈𝘔É — de nouvelles découvertes et de sensations fortes, Leif tenterait n'importe quelle expérience si ça peut être 𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘢𝘶. Il préférerait qu'on le prenne pour un idiot plutôt qu'on ne le pense pas indépendant ; alors ne vous étonnez pas s'il se ramène avec une tente et un sac de couchage à Poudlard, ...pour lui, c'est normal. Leif a beau être fidèle, doux et attentionné, — malgré tout pour le maintenir en vie il lui faudra une chatière mentale. La certitude de pouvoir sortir à toute heure du jour et de la nuit pour découvrir de nouveaux horizons.

...Même s'il revient toujours.

Ainsi donc, voilà l'une de ses première facettes ; un genre d'as de la débrouille excentrique et multicolore auto-stoppeur rempli d'une énergie de vie de chiot plein de bonne volonté ; rien à taper du regard des autres. Il donne l'impression d'être plein d'une telle vitalité que celui qui en viendra à bout n'est pas encore né. Toutefois, ça cause quelques problèmes de rythme de vie — pour Leif, c'est tout à fait normal de réveiller quelqu'un à deux heures du mat en lui jetant joyeusement des chaussures de rando sur l'estomac tout en criant : « BOUGE TES FESSES, ON VA FAIRE LE CIRCUIT DES SEPT MONTAGNES ! » d'un air sur-heureux. Positif jusqu'au bout des ongles, un peu casse-codes, c'est difficile de louper le jeune homme. (D'autant qu'il donne parfois l'impression de s'habiller avec un patchwork, mais c'est pas la question.) Il a d'ailleurs quelques difficultés pour comprendre les codes sociaux — alterne entre un premier degré un peu gênant, un côté tactile qui peut parfois prendre de court et globalement une logique de « tout le monde est sympa » qui peut être franchement rafraîchissante mais frôle parfois la naïveté. Il a le contact facile. Rectification : 𝘪𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘵𝘰𝘵𝘢𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘢𝘱𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘥'𝘦𝘮𝘣𝘰𝘣𝘪𝘯𝘦𝘳 à 𝘧𝘰𝘳𝘤𝘦 𝘥'𝘢𝘪𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘫𝘰𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘪𝘷𝘳𝘦 𝘶𝘯 𝘵𝘰𝘵𝘢𝘭 𝘪𝘯𝘤𝘰𝘯𝘯𝘶 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘴𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘩é𝘣𝘦𝘳𝘨𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘱𝘪𝘦𝘥 𝘭𝘦𝘷é. Ça peut perturber ; mais en fréquentant Leif on finit généralement par se faire emporter par son propre système de pensée pour se dire trois mois plus tard, perdu le nez dans une bouteille de chsaispasquoi au fin fond de pétaouchnok avec une cravate sur la tête : ...𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘲𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘦𝘴𝘵-𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦, 𝘦𝘹𝘢𝘤𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵, ç𝘢 𝘢 𝘥é𝘳𝘢𝘱é ?

...Personne n'a la réponse à cette question.

Autrement, Leif a quelques particularités qu'il sera bon, je pense, de citer ici. Tout d'abord ; son goût prononcé pour le rock anglais des années 80 ; sa tendance étrange pour le complotisme — même si personne ne sait bien s'il plaisante ou non — qui explique qu'il se trimballe H24 avec un bob en alu dans son gros sac de rando (verrouillez votre esprit critique, il peut sortir des dingueries sur les illuminatis sans vous laisser le temps de vous mouiller la nuque) ; et puis cette sensibilité étrange qu'il a parfois, aux abords des cimetières, et les reflux de l'air qui parfois s'agitent devant lui. Mais le détail le plus intéressant reste : les 𝘷𝘰𝘪𝘹 — dont l'une en particulier est apparue environ un mois et demi après son arrivée à Durmstrang. Parfois il parle tout seul d'un air très joyeux et il ne faut pas poser de questions. L'une d'entre elles, notamment, se manifeste rarement ; et c'est la seule à laquelle il accorde une attention toute particulière entendu que c'est la 𝘴𝘪𝘦𝘯𝘯𝘦.

...La vérité c'est que cette voix-là a exactement la même sonorité que la sienne et lui sert, au fond, un peu de « voix de la raison ». Il est bien sûr le seul à l'entendre. Peut-être que ces hallucinations auditives sont une manière de catalyser sa magie — comme si cet étrange instinct d'hypersensibilité à certaines choses prenait lui-même corps pour le rassurer quant à sa nature. Pour Leif c'est parfaitement normal. Il a toujours entendu ces voix. Sa mère a de tout temps considéré ça comme un genre de don de völva masculine. La seule qui le perturbe, c'est bien cette voix-LÀ, la SIENNE, qui est apparue inexplicablement environ un mois et demi après son arrivée à Durmstrang.

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🅿🅷🆈🆂🅸🆀🆄🅴 : la légende — peut-être est-elle vraie ? Personne ne sait vraiment — raconte que l'arrière-arrière-arrière-...(continuez comme ça pendant huit ans)...-arrière-grand-mère de Leif était une vampire, ce qui expliquerait ses oreilles légèrement pointues, tout comme ses canines ; le fait qu'il n'arrête pas de se lever la nuit, et puis sa peau étonnamment pâle qui lui fait se coltiner une véritable ÉCLABOUSSURE de taches de rousseur en PLEINE TRONCHE, ainsi que ses yeux et cheveux bizarrement clairs qui évoquent presque un albinisme sélénite où se soulèvent quelques reflets d'argent ; en rayons de non-couleurs, et d'anti-lumières. Ainsi donc, les yeux 𝘦𝘵 les cheveux gris pâles, le visage malicieux, constellé d'éphélides moqueuses, — et puis un nez pointu et pleins de pétillements dans le regard. Voilà, en gros, ce qu'on retient de la présence de Leif ; dans les grandes lignes un genre de petit être mince en éclat de rire qui respire l'espièglerie et la joie de vivre. Parce que, oui : pour l'image qu'on se fait d'un V̶i̶k̶i̶n̶g̶ Norvégien, Leif est dans les grandes lignes un 𝘨𝘳𝘪𝘯𝘨𝘢𝘭𝘦𝘵. Du moins en comparaison. Salement hectomorphe, filiforme, taillé en brindille, la silhouette vive et à peu près aussi mastoc qu'un fétu de paille — voilà donc le bonhomme. Les cheveux en bataille que parfois il tente d'attacher, et comme ils sont trop courts, ça fait une p'tite touffe gris argent. Souvent vêtu de t-shirts débiles avec des motifs encore plus débiles ; et plein de couleurs quasi-épileptiques, un sourcil percé et les oreilles souvent ornées tout du long de piercings noirs ; il ne quitte littéralement JAMAIS le gros blouson kaki d'aviateur sur lequel il a cousu une multitude de patches hétéroclites. Aussi, il dégage une lumière de lune et l'air de qui déborde d'une drôle de joie de vivre et d'un nihilisme absurde. Deux petits fun facts ; il a fait du cirque étant plus jeune, et notamment de la 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘰𝘳𝘴𝘪𝘰𝘯, ce qui le rend étonnamment souple. L'autre petit fun fact est un peu plus nul. En fait, on ne sait pas pourquoi pas il se dessine souvent des moustaches au feutre. Juste pour le fun du truc.

(Ça le fait rire.)

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🅷🅸🆂🆃🅾🅸🆁🅴 : ...assez étrange. Leif est né à Bergen, en Norvège — en même temps que son jumeau monozygote, prénommé Helge. Leur enfance a été plutôt tranquille ; nés « de père inconnu » aux yeux de la loi et élevés par leur mère, une femme légèrement perchée croyant aux forces des pierres et à l'occultisme (et s'auto-qualifiant de « seidkona », soit un genre de chamane), ils coulent une enfance sans soucis franchement insouciante aux abords du Sørfjord, du Byfjord, du Raunefjord et du Grimstadfjord. La société regarde leur petit noyau familial un peu atypique — notamment avec les errements mystiques de leur mère ; ledit noyau étant parfois rejoint par un flirt de la susdite mère — d'un œil un peu amusé sans être réellement méchant ; et les jumeaux se trouvent leur place. C'est aux alentours des onze ans de Leif que tout bascule. Le garçon se couche un 21 décembre et se réveille le lendemain...un 21 juin, dans une chambre d'hôpital. On lui affirme immédiatement qu'il ne peut pas revoir sa mère et son frère et est envoyé aussi sec, après son rétablissement du choc que lui a provoqué cet inexplicable glissement de temps à Durmstrang, faisant totalement fi de son statut de né-moldu. Depuis ce jour, Leif n'a plus vu ni Helge, ni sa mère ; et c'est aussi ça le pire ; ...le fait qu'il a fugué aux quatre coins du monde mais n'a même pas pu revoir les seuls gens qui forment sa famille dans sa simple ville natale. Malgré tout il reçoit régulièrement des lettres de ces derniers. Alors il sait qu'ils vont bien. Ça le rassure.

Il n'a jamais eu d'explications quant à ce « trou » dans son existence...tout en ayant la certitude profonde qu'aucune magie n'est derrière tout ça.

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🅵🅰🅼🅸🅻🅻🅴 : un frère jumeau, Helge, une mère, Liv, ...'puis son gros chat mou, Krakk (appelé comme ça parce qu'il n'a que trois pattes et que « Krakk » veut dire « tabouret » en Bergensk, le dialecte norvégien que parle Leif).

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🅿🅰🆂🆂🅸🅾🅽🆂 : l'auto-stop, voyager, les nouvelles choses, le rock anglais des années 80, les oignons rouges crus (...ne posez pas de questions. C'est son plat préféré.), les cailloux (oui oui, c'est un dingue de géologie).

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🅿🅴🆄🆁🆂 + 🅿🅷🅾🅱🅸🅴🆂 : tout au fond, la peur la plus viscérale de Leif est de ne jamais revoir sa famille — surtout son frère, Helge. Il a beau fuir partout où il va. Il sait qu'il ne pourra jamais rejoindre le seul endroit où il sait que son frère l'attend ; et le pire, c'est qu'il ignore pourquoi. Ça lui a fait développer un genre de TOC (𝘛𝘳𝘰𝘶𝘣𝘭𝘦 𝘖𝘣𝘴𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭 𝘊𝘰𝘮𝘱𝘶𝘭𝘴𝘪𝘧) qui le pousse à ériger des cairns partout où il passe. Un biais, peut-être, qui lui est venu comme une façon d'essayer de s'ancrer quelque part. Sans jamais y parvenir.

...Plus platement, il a une peur panique des grosses araignées depuis que l'une d'entre elles lui est rentrée dans la narine quand il était petit. C'est d'ailleurs, avec le grain de beauté qu'il a au coin de l'œil, — les seuls deux signes particuliers qui permettent de le distinguer de Helge.

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🅿🅰🆃🆁🅾🅽🆄🆂 : c'est un point étrange. Son patronus s'entremêle entre deux formes indistinctes qui semblent s'arracher entre elles comme une chimère improbable. Certains y devinent un petit-duc et un ocicat...quoique personne ne soit bien fixé sur le sujet.

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🅱🅰🅶🆄🅴🆃🆃🅴 : Sycomore, crin de Sombral, 29 centimètres.

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🅰🆄🆃🆁🅴🆂 : franchement en vrac ; parfois il est témoin de phénomènes qu'il est le seul à voir avec Krakk, son chat — et ce dernier semble capable de prédire ses « crises » ; il voit inexplicablement les sombrals sans pouvoir se l'expliquer ; il est persuadé d'être multilingue sans aide et être totalement compréhensible par les français alors qu'en vrai, personne ne pane rien à ce qu'il dit — il adore d'ailleurs chanter en boucle H24 la comptine « un éléphant qui se balançait » qui résume, au fond, globalement les seuls mots qu'il sait dire en français ; il appelle généralement les gens par des noms de célébrités plutôt que par leur vrai nom ; il n'est pas latéralisé et dit « est » et « ouest » au lieu de « gauche » et « droite » ; c'est typiquement le genre à pop de derrière des gens sans que prévenir (c'est d'ailleurs généralement comme ça qu'il fait son apparition) en chantant « hypnodancer » de little big ; enfin il a plein d'objets de textures différentes dans ses poches. Apparemment ; ça le calme.