RP dont il est issu:

« RPG : Demi-dieux », de sabaone

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𝐃̲𝐢̲𝐯̲𝐢̲𝐧̲𝐢̲𝐭̲é̲ ̲𝐦̲𝐢̲𝐧̲𝐞̲𝐮̲𝐫̲𝐞̲:̲

𝗣𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁 : Druantios est né de l'amour d'𝗘𝗳𝗻𝗶 et d'une 𝗵𝗮𝗺𝗮𝗱𝗿𝘆𝗮𝗱𝗲 ; un figuier, du nom de 𝗦𝘆𝗸𝗲𝗶𝗮. Contrairement à pas mal d'histoires semblables dans la plupart des mythologie, il y avait quand même une vague notion de consentement (ouahouh) dans leur histoire entendu qu'elle a quand même duré presque trois ans (...eeet n'a trouvé sa fin que lorsque Sykeia a annoncé à Efni qu'elle attendait un enfant, parce que, brisons les codes en faisant une relation saine entre un dieu et une nymphe pour une fois, mais faut quand même pas trop pousser).

...Hé, un dieu des trucs chiants dans la vie, ça pouvait venir que d'Efni.

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𝗗𝗶𝘃𝗶𝗻𝗶𝘁é : techniquement et en observant sa plage d'activité, on constate assez vite qu'il n'est ni plus ni moins qu'un dieu de-tous-les-trucs-chiants-du-quotidien-comme-quand-tu-marches-en-chaussettes-dans-ta-salle-de-bains-et-qu'en-fait-le-sol-était-mouillé. Dans les faits, il se présente parfois comme le 𝘿𝙞𝙚𝙪 𝙙𝙪 𝙎𝙚𝙪𝙢. C'est propre, c'est clair, c'est vite plié.

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𝗣𝗿é𝗻𝗼𝗺 : il a plusieurs noms. De « saleté de pied de meuble ! » à « mais j'ai changé les piles, pourtant ! » ; pour un dieu si omniprésent, il prend en effet toutes les formes...on raconte que son vrai nom est 𝗗𝗿𝘂𝗮𝗻𝘁𝗶𝗼𝘀, ou parfois : Trancos, du brittonique « tranc » et du gaulois « dru-antīs » : le malheur ou l'ennui. Enfin, ça, c'est le nom sous lequel on le prie. Parfois. Enfin, quand on y pense. C'est-à-dire : jamais. C'est un fils d'Efni, il a donc traditionnellement douze mille noms, mais dans le monde humain celui qu'il utilise le plus et qui a sa faveur à ses yeux est 𝗠𝗮𝗲𝗹𝗮𝗻 𝗥𝗼𝗻𝗰𝗲𝘂𝘅. On devine bien le lien entre la nature et l'ennui dans le nom de famille qu'il s'est choisi.

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𝗦𝗲𝘅𝗲/𝗽𝗿𝗼𝗻𝗼𝗺 : la plupart du temps, Druantios est un homme, mais il lui est déjà arrivé d'être une femme au cours de sa longue vie, par phases. Donc « 𝗶𝗹 » au moment du RP, mais ça peut changer. Lui-même va avec le courant ; c'est un fils d'Efni ; les chiens ne font pas des chats (ce qui est profondément con comme raisonnement parce qu'à ce compte-là si les genderfluids font des genderfluids alors les hommes font des hommes, les femmes font des femmes et on est tous des particules quantiques, ce qui n'est après réflexion pas si éloigné de la vérité, mais bref.)

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𝗔𝗻𝗻é𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝗺𝗽 : incalculable. Druantios, c'est typiquement le genre de mec dans la famille qui est profondément infoutu de trouver un job, alors on le place dans la boîte de tonton et personne ne le vire. Après, il fait quand même un assez bon boulot. Donc bon. Peut-être que Monsieur Saule se souvient de son arrivée ; on ne saura probablement pas.

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𝗣𝗼𝘂𝘃𝗼𝗶𝗿 : en tant que fils d'Efni, Druantios est capable d'𝗮𝗹𝘁é𝗿𝗲𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗮𝗴𝗲 ; bien que la plupart du temps il se contente de légères modifications qui lui permettent de rester reconnaissable — comme modifier la couleur de ses cheveux ou son apparence genrée. On ne sait pas, exactement, quelle est l'étendue de ses pouvoirs sur ce point. Le fait est que la question ne se pose même pas puisqu'il ne l'utilise que très peu. Quoiqu'il en soit, le signe particulier qu'il conserve en changeant d'apparence est une tache de naissance qu'il a sur l'arête du nez. Autrement, 𝗶𝗹 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿ô𝗹𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁𝘀 𝘁𝗿𝘂𝗰𝘀 𝗿𝗲𝗹𝗼𝘂𝘀 𝗱𝘂 𝗾𝘂𝗼𝘁𝗶𝗱𝗶𝗲𝗻, comme les orteils qui se cognent, quand il n'y a plus d'encre dans un stylo, les chaussettes mouillées sur le sol de la salle de bain — une foultitude de choses qui seraient trop longues à lister ici et qui s'allongent ces dernières années avec la technologie et les « vu » des messages ouatzap sans réponse et plein d'autres trucs. Il est donc capable de les provoquer ou de les éviter à quelqu'un.

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𝗣𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲 : En tant que fils d'Efni, il est un peu compliqué de tenter de définir une unique apparence pour Druantios. Toutefois, et ce pour des raisons pas encore très claires — est-ce de l'honnêteté ? Une peur de ne plus avoir d'identité fixe ? Ou de perdre en cohérence ? Ce dieu n'a pas la confiance en lui de son père, il a besoin d'un câlin par moments —, il garde quasi-toujours la même apparence, et rechigne à en changer totalement. Ainsi, il apparaît en général comme un homme d'environ trente ans (bien que ça ne soit pas totalement clair ; son être est étrangement atemporel, ce qui peut donner d'étranges troubles aux mortels qu'il rencontre, mais que voulez-vous ? Les tracas du quotidien n'ont pas d'âge), plutôt grand, quoique ce soit peut-être juste une impression donnée par sa haute taille et sa silhouette extrêmement longiligne. Soyons honnêtes ; Druantios (AKA M. Maelan Ronceux sur cette terre) n'est pas seulement doté d'une stature salement ectomorphe ; il frise même le 𝘮𝘢𝘪𝘨𝘳𝘪𝘤𝘩𝘰𝘯. C'est un homme (quand il est un homme, bien sûr ; mais on se placera au moment du début du RP) filiforme comme tracé en coup de crayon, plutôt osseux, — avec de grandes mains de pianiste anguleuses et nerveuses et sans cesse en mouvement. Autrement, le visage éclaboussé de taches de rousseur à en rendre jaloux Jackson Pollock, une figure mince, étroite, — et paradoxalement de ce genre de charme étrange et inexplicable dans le 𝘥𝘪𝘧𝘧é𝘳𝘦𝘯𝘵 et le peu conventionnel. Il a comme de légers sillons dans les joues qui mettent de la joie sur sa figure quand il sourit ; un peu de mélancolie fatiguée dans les légères cernes qu'il a souvent sous les yeux ; et une figure toute en angles doux, avec de la lumière et de la gentillesse, et comme une bienveillance triste et poétique, dans tout le reste. Autrement, des yeux d'un vert étrange. Le vert ; la couleur de la chance, de la nature, ...de la malice de son père. Il y danse parfois comme des ombres d'une limpidité bizarre. Il porte généralement les cheveux longs, dont les mèches s'échappent souvent et lui retombent sur le visage, enfin, d'un genre de longueur négligée plus que d'une réelle volonté capillaire, — et d'un roux d'everose, dont il ne prend évidemment aucun soin (d'où, probablement, cet aspect en vrac et négligé) ; souvent rattachés à l'arrache, mais l'iconographie les représente souvent entremêlés de minuscules tresses et de perles et d'entrelacs métalliques comme des nœuds de lierre. On y retrouve souvent des brindilles et des feuilles ; son sang d'hamadryade tient à ne pas se faire oublier. Parmi les mortels, on le prend souvent pour un étudiant en histoire ; c'est suggéré par cette espèce de prétexte de barbe de trois jours un peu négligée, enfin, vous savez, — ce genre de truc qui donne immédiatement l'impression que la personne en question se nourrit exclusivement de pâtes, de surgelés et du sel de ses larmes. Le tout renforcé par les légères cernes mélancoliques qu'il a sous les yeux. C'est donc au final un homme dont l'apparence évoque un genre de maladresse un peu nostalgique, mais aussi un calme assez net.

(...Vestimentairement parlant, on a déjà parlé de l'étudiant en histoire, je pense que ça résume bien le tout.)

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𝗖𝗮𝗿𝗮𝗰𝘁è𝗿𝗲 : ...C'est compliqué. On sent un peu que l'éternité commence légèrement à peser à Druantios, mais bon, pas au point qu'il veuille y renoncer. C'est juste que ça a nettement influencé sa philosophie de vie. Forcément, il faut voir les choses en face, — il ne va pas passer des siècles à se poser des questions quant à la cohérence de ses actes. Du coup, quand il a une idée, généralement il l'applique, ...mais franchement c'est rarement constructif. Sauf que sa philosophie du « boh, de toutes façons, au point où en est... » (c'est 𝘷𝘳𝘢𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵 son mantra officieux ; l'officiel est 𝘔𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘰 𝘔𝘰𝘳𝘪) un rien dépressive, — autant elle fonctionne bien quand il faut se détacher, — autant c'est moins chouette dans d'autres circonstances ; tout le monde se souvient encore de la tentative des toasts pré-beurrés avant le grillage pour gagner du temps (spoiler alert : ça a fini en petit incendie). Il est terriblement 𝗳𝗮𝘁𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 ; je pense que c'est le mot qui le définit le plus. « De toutes façons, les m*rdes nous tomberont sur la tête quoiqu'il arrive, alors autant arrêter de se prendre la tête ». Toutefois, tout au fond de lui, il a une fidélité sans failles pour le camp, et ferait tout pour le protéger. Un genre de sensibilité pour les autres qu'il n'aime pas trop montrer, mais elle existe. Il peut aussi faire preuve d'un certain cynisme et de mauvaise foi, notamment sur le côté peu conventionnel de ses pouvoirs et de sa divinité. En règle générale, aux demi-dieux qui se moquent de ce point, il répond assez vite : « oui, sauf que moi, je suis immortel, donc dans les grandes lignes je m'en fous un peu de ton point de vue entendu que dans quelques années j'aurai oublié jusqu'aux derniers souvenirs de ton existence révolue ». Et après il se met derrière une fenêtre d'une salle de classe pendant un cours de la personne en question et chante 𝘛𝘩𝘦 𝘕𝘪𝘨𝘩𝘵𝘴 d'Avicii en insistant sur « one day you'll leave this world behind ». (C'est d'ailleurs sa chanson préférée, mais pour d'autres raisons).

...Bon, d'accord, il a un petit problème avec l'âge de raison. Mais malgré ses défauts et sa philosophie de vie bancale, c'est un homme véritablement bon, qui peut être très attachant si vous gagnez sa confiance. Peut-être très « entier » dans son caractère, mais jamais avec méchanceté. Il est fidèle et terriblement attentionné ; il ira toujours aider les autres quel qu'en soit le prix. Bon. 𝘌𝘯 𝘳â𝘭𝘢𝘯𝘵, ...mais il ira. Tout au fond de lui, il préférerait mourir qu'il arrive quelque chose à ceux qui comptent.

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𝗖𝗼𝘂𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 : gris, ocre et vert.

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𝗔𝘁𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁 : un jet de dés en bois dont les faces sont des visages grimaçants, ou plus généralement des 𝗱é𝘀. Il a essayé de convaincre tout le monde de le changer en une brique de lego quand ça a été inventé, parce que pour une fois que les humains inventaient un truc aussi génial que marcher pieds nus sur ce machin, — mais ça a été refusé. Il a d'ailleurs un porte-clef dés accroché au rétroviseur de sa voiture.

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𝗧𝗼𝘁𝗲𝗺 : dans les faits, c'est la 𝗰𝗼𝗰𝗰𝗶𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 ; souvent présente sur les vanités, avec les papillons, — elle représente la fragilité de l'existence humaine, et la balance de la chance quotidienne. Toutefois, Druantios est plus souvent représenté accompagné de deux renards, l'un blanc et l'un noir...mais je parlerai de ça plus tard.

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𝗠𝗮𝘁𝗶è𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻é𝗲 : ...je le voyais bien comme un genre de pion, mais après il pourrait peut-être être palefrenier, qu'en penses-tu ? :3

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𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 : Druantios est 𝗻é 𝗱'𝗘𝗳𝗻𝗶 𝗲𝘁 𝗱'𝘂𝗻 𝗳𝗶𝗴𝘂𝗶𝗲𝗿 ; une hamadryade répondant au nom de Sykeia. Il a donc grandi entouré des arbres d'une forêt, enfin, des nymphes de la susdite forêt, — complètement coupé du monde. Cependant, une fois adulte, il n'est pas allé semer des demi-dieux de par le monde comme la plupart de ses congénères. C'est très tardivement qu'il fait la rencontre d'une nymphe (de la valée ; une Napée, donc) du nom de Lífa, « la vie », avec qui il vivra de nombreuses années et aura des jumeaux : Hlári et Hrygg. Malheureusement, Dynia ne voyait pas d'un bon œil les soucis quotidiens et les frustrations que Druantios opposait à l'un de ses fils demi-dieux, et estimait que sa progéniture n'avait pas à subir les tracas humains (𝘫𝘦 𝘮𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘮𝘦𝘵𝘴 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘳𝘷𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘶𝘯 𝘱𝘦𝘶 𝘶𝘯𝘦 𝘥𝘦 𝘵𝘦𝘴 𝘥é𝘦𝘴𝘴𝘦𝘴, 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘫𝘶𝘴𝘵𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫𝘦 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘢𝘪𝘴 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘫𝘶𝘴𝘵𝘪𝘧𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘪𝘯𝘵é𝘳𝘦𝘴𝘴𝘢𝘯𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘴𝘴é 𝘥𝘦 𝘋𝘳𝘶𝘢𝘯𝘵𝘪𝘰𝘴 :3) ; la malédiction était à l'origine assez malicieuse ; et les jumeaux vinrent au monde sous la forme de deux renards, un blanc, Hlári, 𝘤𝘦𝘭𝘶𝘪 𝘲𝘶𝘪 𝘳𝘪𝘵 ; et une noire, Hrygg, 𝘤𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘱𝘭𝘦𝘶𝘳𝘦. Que ce soit du crû de la métamorphose ou non, — le fait est que Lífa ne survécut pas à leur naissance. Ce deuil, Druantios ne s'en est toujours pas remis. Ce qui lui explique à ce jour un certain alcoolisme — ou du moins une certaine tendance à aller pleurer en descendant des bouteilles. Il quitta donc ses confrères pour trouver quelque part où s'installer avec ses deux renardeaux. Le camp était idéal pour cela. La légende raconte qu'Hlári et Hrygg l'accompagnent très souvent, mais que le premier renard que vous apercevrez en voyant Druantios dépendra de votre capacité à voir le verre à moitié vide ou à moitié plein.

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𝗔𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 : c'est typiquement le genre de personne à mettre la version nightcore de 𝘙𝘰𝘤𝘬𝘧𝘦𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘚𝘵𝘳𝘦𝘦𝘵 à une heure du matin juste pour le fun du truc. Il est notoirement connu pour les idées débiles qu'il peut avoir en pleine nuit alors qu'il vient de se réveiller et est un peu dans le pâté. Autrement, et ce même s'il reste assez impartial, il a comme une rancune envers Dynia et ses enfants. Lífa était quand même un genre d'âme sœur pour lui ; si vous touchez à un seul poil de ses jumeaux, il risque de vous arriver une très, très, grosse m*rde. Très vite. Sans prévenir.

Autrement, il entretient une relation extrêmement compliquée avec les séries. Il est immortel ; alors il a largement eu le temps pour toutes les voir. Mais d'un autre côté, c'est typiquement le genre de personne qui peut se rouler en boule dans son plaid sur un canapé et se faire un rallye Downton Abbey, l'œil injecté de sang, rivé à l'écran, à boire convulsivement des briques de jus de fruit rik & rok pendant deux jours sans manger.

Notons d'ailleurs que c'est un fils de figuier, donc s'il vous surprend à faire du mal à un arbre ou autres, ...ça risque de chauffer sec pour vous.

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Vous l'aurez reconnu : son autre nom est aussi 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗶𝗲𝗻𝘀-𝘁𝗼𝗶 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝘂 𝘃𝗮𝘀 𝗺𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿. Mais chut ; les mortels ne sont peut-être pas prêts à retirer le masque de ridicule qu'ils lui ont mis pour ne pas regarder leur vanité en face...

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