🏰Benjamin Le Gweerez🏰

RP dont il est issu:

« RP Beauxbâtons », de _-ecl1pse-

et « Le Tournoi des Trois Sorciers ~RP~ », de Loutre_Canadienne

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N̲o̲m̲ ̲:̲ Le Gweerez

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P̲r̲é̲n̲o̲m̲ ̲:̲ Benjamin

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Â̲g̲e̲ ̲:̲ vingt-huit ( ? Il a un genre de don pour avoir soudainement l'air plus jeune ou plus vieux en fonction de la situation et de comment ça l'arrange. Vingt-huit, c'est ce sur quoi tout le monde s'accorde. Enfin, la vingtaine, en apparence.)

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É̲c̲o̲l̲e̲ ̲:̲ Beauxbâtons (professeur de métamorphose-sortilèges-transmutation)

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P̲h̲y̲s̲i̲q̲u̲e̲ ̲:̲ Benjamin est un jeune homme à l'air quasi-angélique — une technique qu'il a développée au fil des années, dirait-on, quoiqu'en réalité sa capacité à avoir l'air le plus innocent du monde pour faire passer les pires choses semble lui venir de naissance.Il a cet air bizarrement hors du temps et deux grands yeux bleus qui rappellent successivement l'air parfaitement candide d'un chaton qui vient de péter un vase, mais aussi ce petit reflet bizarrement content de qui a l'avantage même quand vous-même ne savez pas de quoi il s'agit. Ceux qui rencontrent Benjamin associent sans pouvoir l'expliquer ce bleu 𝘵𝘳è𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘶𝘭𝘪𝘦𝘳 aux problèmes. D'où l'expression popularisée au sein de l'établissement de Beauxbâtons : « bleu bordel ».


Autrement, il porte les cheveux courts, quoique bouclés et rappelant innocemment les reflets d'un bouton d'or. C'est formidable à quel point ce garçon rappelle un ange. Le pire, c'est que ce n'est même pas vraiment travaillé. On dirait que l'Éternel l'a bazardé sur terre pour mettre le boxon. Il affiche quasi-constamment un sourire franc et joyeux, qui de loin vous ferait lui donner père et mère sans hésitation (si vous aimez bien vos parents, sinon, ça compte pas, et c'est même plutôt inutile : à ce compte-là faites comme tout l'monde et abandonnez-les sur une aire d'autoroute, c'est plus rapide et ça casse pas les pieds)...et pourtant, de près, il s'avère un peu trop large...et bien trop 𝘥é𝘳𝘢𝘯𝘨𝘦𝘢𝘯𝘵. Le problème avec Benjamin, c'est qu'il est toujours étrangement difficile de se souvenir de ses traits de manière 𝘱𝘳é𝘤𝘪𝘴𝘦. Oui, ils sont frappants d'innocence. Oui, ils rappellent tous les anges du ciel de façon si criante que ç'en est presque malaisant. Mais quant aux détails...


...ce qui lui vaut le surnom (affectueux ?) de Jonathan Teatime par certains de ses frères et sœurs.

...C'est sûr qu'il présente d'étranges similitudes.

Enfin, pas trop.

J'espère.

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C̲a̲r̲a̲c̲t̲è̲r̲e̲ ̲:̲ Benjamin est...incernable. Vraiment. Au premier abord, il a ce côté un peu joyeux, toujours bien poli, brillant de façon terrifiante et enthousiaste et cet air d'𝘪𝘯𝘯𝘰𝘤𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘱𝘶𝘳𝘦 sur le visage. Puis on commence à trouver son sourire trop large...c'est généralement là que les gens se mettent à suer du front et peler des aisselles, sans trop savoir pourquoi — le genre de malaise qui vous prend quand vous n'arrivez pas à trancher entre « quel adorable enfant » et « zarkon de — C'EST PAS NORMAL ÇA ». Est-ce que c'est volontaire ? Totalement. Benjamin est ce qu'on pourrait décrire comme « le point Nemo de la notion d'autorité ». Son cerveau peut passer en l'espace d'une seconde du calme innocent d'un enfant bien élevé au bordel sans nom d'un gamin sous perf de glucose haribo. D'aucuns chuchotent qu'il n'a toujours pas bien intégré qu'il est un professeur. Cette rumeur est fausse, évidemment. Benjamin sait pertinemment son rôle. Il préfère juste qu'on croie le contraire.


Malgré cette tendance — qui parfois peut surgir de nulle part comme un diable de sa boîte de façon totalement impromptue — à tenir parfois plus 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘴𝘰𝘯 𝘦𝘴𝘱𝘳𝘪𝘵 du testeur attitré des limites professorales que de l'adulte responsable, — « Benjamin maîtrise la situation ». (C'est d'ailleurs ce qu'il se serait fait tatouer sur la plante du pied gauche, selon une légende étrangement coriace.) Malgré tout ce qu'on pourrait croire, il connaît le règlement intérieur sur le bout des doigts, et même s'il joue constamment avec les limites, il est passé maître dans l'art de ne jamais les franchir — ou alors, jamais devant témoins. Pour résumer : ce qui caractérise Benjamin, c'est probablement ce mélange bizarre entre un corps d'adulte, un regard d'enfant très sage en uniforme à l'anglaise, — et cet espèce de sourire trop grand et trop enthousiaste capable de sortir à un élève avec un air joyeux : « on planque le corps ? ».


Certains le prennent même parfois pour un élève plutôt qu'un professeur. Malgré tout, passée cette impression étrange de déphasage, la plupart des gens le trouvent sympathique. Les autres...Benjamin ne les aime pas. Et il peut être un peu rancunier. (Le problème reste qu'on ne sait jamais vraiment quand il plaisante. Si jamais il vous lance « on planque le corps ? » fouillez sous les banquettes avant de rigoler. Par sécurité.)


Au jour d'aujourd'hui, il est nonobstant assez bien intégré à l'équipe pédagogique de Beauxbâtons — malgré ce talent incontestable pour sortir dans un sourire royal des âneries plus grosses que lui et son incapacité chronique à reconnaître toute autre forme d'autorité que celle qu'il a décidé (c'est-à-dire : aucune). Benjamin ne fait rien comme les autres, mais avec un air si innocent que ça PASSE. Et avoir sous le coude un professeur capable de les couvrir en cas de souci — quoique de manière totalement random ; il peut tout aussi bien décider de vous accrocher par le col à une gargouille, vous laisser là et vous nourrir en vous jetant des bouts de pain dur et des cailloux s'il décide que vous l'avez contrarié — plaît bien aux élèves, il faut l'avouer. (Sinon, il a pété un portable une fois en voulant faire une playlist trop longue de chansons de Taylor Swift. Je sais pas pourquoi je dis ça. Ça me paraissait important.)


Pour résumer, s'il fallait trouver un adjectif pour décrire le jeune homme, ça ne serait probablement pas, ni « angélique » (surtout pas) ni « complètement taré » (quoique ça tente certains) : mais plutôt 𝘢𝘯𝘢𝘳𝘤𝘩𝘪𝘴𝘵𝘦. Parfois une gravité quasi-morbide peut affleurer quand il s'agit de considérer l'humanité. Il est incernable ; aime démolir les codes dès qu'on les lui met sous le nez ; ce qui le rend si difficile à classer — parce qu'il n'est ni bon ni mauvais, mais plutôt 𝘥𝘦𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘦𝘶𝘳.

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S̲a̲n̲g̲ ̲:̲ Benjamin est sang-mêlé par sa mère, tandis que son père est un moldu. Ce qui a d'autant plus creusé sa différence entre lui et le monde. Puisque sa belle-mère n'est pas plus magique, il vit dans un entourage totalement moldu.

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E̲x̲-̲O̲r̲d̲r̲e̲ ̲:̲ Benjamin a littéralement EMBERLIFICOTÉ la voix du cabinet lorsque ça a été son tour. Il a passé UNE HEURE ET DEMIE à taper la discute avec elle et a failli réussir à lui vendre une chaussette trouée juste parce qu'il trouvait ça drôle. Au final, la grande question est restée une hésitation très nette entre l'Ordre d'Ombrelune et de Papillonlise. C'est dans ce dernier ordre qu'il a fini, mais on raconte que c'était pour la seule et unique raison que c'était parce que BENJAMIN a pris du temps à se décider — le cabinet n'a pas franchement eu voix au chapitre, et il a probablement fait un burn-out dans la foulée.

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M̲a̲t̲i̲è̲r̲e̲ ̲e̲n̲s̲e̲i̲g̲n̲é̲e̲ ̲:̲ Métamorphose-sortilèges-transmutation ; mais il est également très bon en sortilèges informulés — une matière dans laquelle il a déjà assuré plusieurs remplacements lors d'absences de son·a collègue.

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B̲a̲g̲u̲e̲t̲t̲e̲ ̲:̲ bois de vigne, cœur : plume d'oiseau-tonerre, fine, 29 centimètres, assez flexible.

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A̲n̲i̲m̲a̲g̲u̲s̲ ̲:̲ en tant que professeur de métamorphose-sortilèges-transmutation, il est bel et bien un animagus : Benjamin est capable de se changer en hermine.

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F̲a̲m̲i̲l̲l̲e̲ ̲:̲ Benjamin est né à Landéda, en Bretagne, dans le Finistère. Sa mère, exploratrice en montgolfière, s'est tirée peu après sa naissance « soit-disant pour aller faire une année sabbatique avec des ours polaires » (grommelle généralement son père en faisant de très gros et très agacés signes de guillemets avec ses doigts).


La vérité, c'est qu'elle a laissé Benjamin encore bébé dans la bannette à courrier de la maternité avant de se carapater en courant. (Nul ne sait, à ce jour, si elle a réellement rallié le pôle Nord.)


Quoiqu'il en soit, Benjamin — conséquence légèrement prématurée aux grands yeux innocents d'un pari impliquant une baudruche licorne et beaucoup trop d'alcool — a donc dû être élevé tout seul par son paternel dans les derniers hoquets paumés du Finistère et a très vite fait montre d'un certain décalage avec les autres enfants. Ou bien ils l'ennuyaient ; ou bien c'était eux qui étaient pris de court par son enthousiaste et son vocabulaire bizarrement riche pour un gamin de deux ans. Ça n'avait pas l'air de déranger Benjamin. Un genre de charisme un peu fascinant lui permettait de passer d'une bande à l'autre sans trop de souci — on l'écoutait dès qu'il partait en vrille, pire qu'un aimant. Il a toujours eu ce détachement tranquille face au besoin d'amitié. Benjamin n'a pas besoin de grand-chose. Même s'il aime bien être écouté.


Peu importe, au fil des années, son père a finalement fait la connaissance d'une femme — célibataire, pour des raisons qui la regardent, répond invariablement Benjamin. Déjà mère d'une famille salement nombreuse, c'est assez logiquement que le père du petit garçon a fini par l'épouser, — adoptant du même coup toute la ribambelles d'enfants qui allait avec. Oh, Benjamin s'« entend bien » avec ses demi-frères et sœurs. Surtout qu'il y en a eu d'autres par la suite. Il ne s'en plaint pas, même s'il les évite. Il les 𝘵𝘰𝘭è𝘳𝘦, disons. Mais il a toujours été décalé — pour lui...ça n'a pas tellement changé d'être enfant unique. Il loge actuellement dans un appartement minuscule, dans la banlieue de Clermont-Ferrand, — et passe toutefois pas mal de ses vacances en Bretagne.


Il a un genre de détachement bizarre avec ça. Vivre dans son placard à balai à dormir sur le canapé avec un bol de nouilles instantanées sur l'estomac ou rejoindre sa famille, pour lui, c'est du pareil au même. On lui a déjà dit qu'il a un mode de vie de psychopathe. Ça le fait rire.


...C'est super bizarre, comme réaction.

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𝗔𝗨𝗧𝗥𝗘𝗦 :

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S̲u̲r̲n̲o̲m̲ : techniquement, ça serait tentant de lui donner du Benji à tout va. Dans les faits, si vous essayez, il va avoir ce sourire trop large et bizarrement menaçant, — et vous aurez la furieuse impression de risquer un tronçonnage dans les règles du lard. Sans jamais qu'il n'arrive rien, é𝘷𝘪𝘥𝘦𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵. Tout ça n'est que rumeurs. À ce jour, seule Capu est capable de l'appeler « Benji » sans conséquences. (Parmi ses surnoms, on compte aussi Benjamin-qu'il-faut-pas-appeler-tonton-Benji-parce-que-sinon-le-saladier-d'eau-de-mer-se-verra-obligé-de-te-tomber-malencontreusement-sur-la-tête, mais c'est une autre histoire.)

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D̲a̲t̲e̲ ̲d̲e̲ ̲n̲a̲i̲s̲s̲a̲n̲c̲e̲ ̲:̲ 5 juin (gémeaux, et d'autres choses...{{{ B3)

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G̲e̲n̲r̲e̲ : Masculin

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O̲r̲i̲e̲n̲t̲a̲t̲i̲o̲n̲ ̲s̲e̲x̲u̲e̲l̲l̲e̲ ̲:̲ probablement pan. Parfois, il laisse sous-entendre qu'il a déjà eu des expériences poly. Quoiqu'il pousse la chose à un tel extrême que, en plus de n'avoir aucune espèce d'intérêt pour le genre de ses attirances, ce qui lui fait PAR-DESSUS TOUT une belle jambe, c'est le mot qu'il est « censé » mettre là-dessus. Benjamin s'en fout, pour le dire trivialement. En fait, il n'en a clairement rien à taper.

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S̲i̲g̲n̲e̲ ̲d̲i̲s̲t̲i̲n̲c̲t̲i̲f̲s̲ ̲:̲ Benjamin a une longue tache de naissance ( ? C'est ce qu'il raconte, mais certains émettent des doutes quant à sa réelle nature...) qui part de la base de son cou et descend jusqu'à son omoplate. C'est probablement l'une des seules choses sur laquelle il peut exprimer un genre de nervosité. Les cols de ses chemises parviennent généralement bien à la cacher.

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 S̲p̲é̲c̲i̲a̲l̲i̲t̲é̲s̲:̲ foutre le bronx, encourager les élèves à régler des problèmes au couteau (...enfin. Dans les faits, rien ne permet de l'inculper. C'est...simplement ce qu'il dégage...et cet art qu'il a pour laisser traîner des suggestions anarchiques aux élèves.), ne pas être là quand on a besoin de lui, casser les pieds des gens en chantant la 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘴𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘢𝘳𝘥𝘪𝘯𝘦𝘴 à trois heures du mat' avec sa pote prof d'art magique Capucine Babwoon-Legourmelet en tapant par terre avec un bâton, provoquer l'anarchie, la métamorphose.

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P̲a̲s̲s̲i̲o̲n̲s̲ : même si cet espèce de charisme d̶e̶ ̶p̶s̶y̶c̶h̶o̶p̶a̶t̶h̶e̶ inexplicable qu'il a malgré sa bizarrerie donne l'impression qu'il est populaire et de contact facile, on se rend compte, a posteriori, ...que la plupart des gens ne savent 𝘳𝘪𝘦𝘯 de lui (Capu est peut-être plus en tête sur ce point que n'importe qui, puisqu'elle connaît cette anecdote sur Gommette, la chienne mastiff anglais de plus d'une demie-tonne de sa belle-mère.) Il semble donc, bizarrement...n'avoir pas de passion très nette.

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A̲m̲i̲s̲ : Capu. Et Suzanne, sa chatte thaï qui le suit partout. Peut-être qu'un jour, une personne a réussi à lui arracher la confession suivante : « il y a deux personnes auxquelles je tiens. — ...Et c'est Suzanne. »

https://youtu.be/98CFJmoADO0

https://youtu.be/rcLeDztHFwc

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