Résumé du chapitre précédent.

Naruko jeune Kunoichi a fuit des ninjas voulant la punir d'avoir dégrader les visages des hokages taillés dans la pierre. Son père est mort. Son frère est adulé grâce à des bénédictions qu'il aurait reçue. Kushina se rend compte qu'elle a délaissé Naruko et sa sœur. Elle veut se rattraper, mais c'est à ce moment-là, que Tsunade et Jiriya arrivent et mettent un gros stop pour entrainer. Naruko a tout entendu.

Fin du petit résumé.

Je me réveille, je suis furieuse, ils ne veulent pas m'entrainer grand bien leur fasse. Je vais m'entrainer moi-même. Je prépare déjà dans ma tête un entrainement, je vais suivre celui du chauve à la cape. Je vais devenir extrêmement forte. Je dois trouver aussi comment utiliser le chakra, si je pouvais trouver un bouquin pour ça ou même mieux quelqu'un pour m'entrainer, cela serait top. Je dois aussi considérer le fait de faire un régime.... Adieu délicieux ramen, je vous aime tant....

J'entends du bruit en descendant. Je vois mon « parrain » et ma « marraine », en train de se disputer avec ma mère. Je n'aime pas les disputes de familles, je hais ça. Cela doit être dû à mon affiliation d'esprit avec la queue de fée. Je ne vais pas faire mon Luxus non plus.

-Naruko : Vous pourriez faire un peu de moins de bruit, vous allez réveiller Mito...

Je l'ai vu en train de dormir lorsque je suis passé près de sa chambre. La fille la plus réservée de notre famille a une manière étrange parfois de dormir, elle était dans le mauvais sens, la tête en dehors du lit et qui tient juste au-dessus d'une petite descente qui lui fera mal si elle se réveille n'importe comment. Enmu a dû passer par là et l'endormir dans cette position.

Elle n'a pourtant pas pris le train récemment. Bon tant pis.

-Tsunade : Gamine, ne vient pas interrompre la discussion d'adulte....

-Naruko : Bah je ne vois qu'une adulte dans cette discussion et c'est ma mère.

J'entends le verre dans les mains de ma marraine se briser. Elle doit vraiment apprendre à ce contrôler.

-Tsunade : Je suis une adulte, espèce de...

-Kushina : N'insulte pas ma fille !

-Naruko : Sérieusement s'énerver aussi facilement juste à cause de ça.

-Jiriaya : Du calme Tsunade...

La reine des limaces finit par se calmer. Attend, elle boit quoi... De l'alcool, mais c'est le matin. Espèce de caricature de français fait par des Américains. Mais c'est quoi ces français et ces américains, je dois vraiment avoir un problème.

-Kushina : Chérie, ton parrain et ta marraine veulent entrainer ton frère...

-Tsunade : En gros toi et ta sœur vous allez rester des civiles...

Je suis choquée, ils osent me dire ça. Ils n'ont pas à choisir de mon avenir. Ils n'en ont pas le droit.

Je les regarde avec haine et d'un coup, ils déglutissent.

-Kushina : je suis contre, vous allez être entrainer, nous sommes arrivés à cet accord.

-Naruko : Ok, merci de nous entrainer pour que l'on puisse faire de notre vie ce que nous voulons. Ce que mon père aurait voulu.

Je les vois tressaillir, mais je m'en fous. Je sais que c'est bâtard, mais quand je les vois agir comme ça. Cela me donne envie de leur foutre un pain en pleine figure. Que l'on me donne le numéro de Marinette comme ça je commande des baguettes pour leur en foutre dans leur cul d'hypocrite.

-Kushina : Bon aller, il va falloir aller réveiller ta sœur et ton frère.

Les deux Sainins ne sont intéressé clairement uniquement par mon frère. J'aimerais bien avoir les flammes de Genryusai pour les faire cuire ces deux cloportes. C'est clair, on ne peut pas dire que c'est l'amour entre moi et eux.

Ma mère y va. Je vois la photo de mon père poser sur un meuble plus loin. J'aurais aimé le connaitre. Le pauvre, mourir en nous protégeant du danger, cela n'aurait pas pu être un des deux tiques qui se sacrifient à sa place.

Ma mère redescend avec ma sœur. Je vois mon frère derrière ma mère.

On déjeune dans le calme, ma mère fait la remarque aux deux sainins d'arrêter de picoler et de regarder des revues pornos. Merde, Jiriya est pire qu'Issei, c'est seulement possible ça. Tsunade boit tellement de Saké, ce n'est pas possible. Je suis sûr que Popeye prend moi d'épinard, qu'elle ne prend de Saké.

Est-ce que je n'inviterai pas Popeye à venir clash les deux Sainins qui restent ? Comme on dit ce sont les meilleurs qui partent en premier, c'est pour cela qu'eux ils restent.

J'ai encore ces étranges images et connaissance culturelle chelou, cela devient vraiment lourd, je n'ai pas l'envie de supporter un Pokemon baleine.... Attends-je recommence, cela me donne envie de me frapper la tête contre le mur.

On va s'entrainer, maman tente de nous apprendre mais elle se fait tout le temps prendre par les deux couillons, je commence à en avoir marre.

- Jiraiya : Vu que les deux filles se sont entrainées pourquoi ne pas leur faire affronter chacune à leur tour Menma. Même à deux je pense que Menma les ratatines.

J'ai envie de lui faire un bon gros doigt d'honneur. Je sais cependant que ce n'est pas nécessaire.

-Kushina : Ne dis plus jamais ça !

Les cheveux dressés sur sa tête lui donnant un air de lionne. Elle vient de frapper le Sainin sur le haut de sa tête.

-Kushina : Un peu de respect, ce n'est pas parce que tu es un sainin que tu peux tout te permettre.

Tsunade rigole de Jiriya.

Tout le monde rigole devant son air d'enfant effrayé, il en est hilarant.

-Menma : Cela ne sert à rien autant ne pas...

-Naruko : Alors tu te défiles...

Je ne suis pas certaines de le vaincre, après tout, lui, il a été vraiment entrainé, il reste quand même assez fort. Je ne suis pas une idiote non plus.

Nous nous mettons pour faire le combat, j'ai un épisode où je ne me souviens de rien, je me réveille et je me vois attacher par des chaines comme celles de maman.

-Naruko : il s'est passé quoi et pourquoi, je suis attaché par les chaines de maman...

Je vois que cela vient de ma sœur.

Elle aussi va me dépasser. Non, ce n'est pas possible.

Je me fais relâcher, je vois l'attention des adultes et de Menma à son encontre, je vais encore être délaissés.

Je cours, je cours très longtemps. Je ne suis pas Speedy Gonzalès donc sa prend du temps. Je me réfugie dans la forêt. Je n'en peux plus. Je finis par m'endormir à cause de ce trop plein d'émotions.