Chapitre 21
Je pars avec Konan, dans mon labo, je vais tout faire pour la soigner. Un autre orphelin de guerre, je n'oublierais jamais ma colère envers ceux qui font ces guerres. J'éprouve de la pitié et un besoin de protéger ce genre d'enfant. L'injection commence à faire effet, des marques grises apparaissent sur son corps, c'est la réaction normale supposée de ce produit. Je soigne du mieux que je peux la gamine, enfin le souci, c'est qu'au vu des modifications qu'elle subit, pourra-t-on encore l'appeler une humaine ? Je ne dois pas penser à cela, elle est humaine, bien plus que certaines personnes qui se revendiquent encore comme de fidèle membre de la feuille, Danzo Shimura et Orochimaru. J'ai entendu des rumeurs grâce à certains espions que j'ai su créer parmi les membres de la feuille.
Le rêve de tous les services des renseignements pendant la guerre froide, l'espion qui s'ignore.
Je continue de soigner la gamine, son apparence change drastiquement, lorsque sa transformation par le produit est fini, je fais en sorte qu'elle récupère un visage humain au moins.
Elle a un petit air de la sœur de Sora. Merde j'ai fait une copie de No Game No Life zéro. Ne me dites pas que c'est vrai. Putain de merde.
-Konan : Calme-toi, tu as fait ce que tu as pu.
-Narl : Certes mais ce n'est clairement pas suffisant. En plus, nous ne pouvons pas contrer les actions d'Iwa, et non plus nous ne pouvons pas leur mettre une dérouillée...
Je vois Konan qui a l'air en colère.
-Narl*soupire* : Non, je ne parle pas de les tuer, juste de leur montrer que s'ils continuent nous allons nous mettre en colère. Malheureusement on ne peut pas. Cependant, ce que l'on peut faire c'est envoyer une missive à Konoha. Le Sandaime sera ulcérée par l'information. Il va certainement agir, de peur que cela provoque une nouvelle guerre, qui sera en plus juste devant son pays.
-Konan : Je vais demander l'avis aux autres.
Je hoche la tête.
-Narl : Moi, je vais me coucher. Enfin pas trop loin de la gamine, au cas où elle aurait besoin de moi.
Konan rigole légèrement de moi.
-Konan : Toujours aussi prévenant, tu venais toujours nous réconforter dans nos lits lorsque l'on était enfant.
Je lui souris et part chercher un petit lit de camp. Que je pose non loin de la table/lit de mon laboratoire.
Note de l'auteur : Que pensez-vous de mon histoire ? Désolé si je vous dérange en posant si souvent la question.
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