Noyé
Tu marches dans ses couloirs remplie d'ados en tout genre, tu ne daignes même pas les regarder ayant peur de voirs leur regard qui te critique sans cesse...
Dans ce couloirs tu te sens oppressé ... Mais après ou ne te sens tu pas ainsi ? Chez toi ?
Même pas, arrivé chez toi tu dois faire face à tes parents, pas qu'ils ne t'aiment pas ou quoi, juste tu ne veux pas leur faire voir les blessure sur ton coeur... Donc tu les ignores la plus part du temps.
Ils mettent ça sur le dos de la " crise d'adolescence ".
Bref, après avoir réussi à atteindre ta classe tu te place au fond à ta droite, dans l'ombre ou personne ne te calcul. Même le prof ne te jète même pas un regard...
La pause du midi arrive très lentement, tu prend ton dîner que tu ne touche presque pas.
Tu te sens épuisé, ta faim à quasiment disparue, la seule chose que tu veux faire est crier à l'aide.
Mais à qui ? Personne ne peut comprendre ce que tu vis !
Donc tu te réfugie...
Tu te défoule...
Mais seulement quand tu es seul dans ta chambre... Là, où enfin, tu peux laisser libre cours à tes larmes et où...
Grâce à cette lame, chaque soir elle traverse la chair de tes bras pour laisser couler ton sang et te permettre d'oublier...
Au début, tu te disais que jamais tu ne ferais des chose comme ça, mais de fils en aiguille tu n'avais pas pu résister à cet appel, qui te plongeais un peu plus chaque jours dans son cercle vicieux.
Grâce à cette lame tout t'es problème cessait te t'importuner pendant un instant, cependant ils revenaient juste après te forçant à toujours plus couper cette enveloppe de chair.
Tu en veux au monde entier...
Non, pas parce qu'ils t'ont fait du mal, mais parce que pendant que tu souffre et demande intérieurement de l'aide ils rient et s'amusent...
Tu leur en veux de ne pas te voir, de sans cesse te critiquer, de seulement faire comme si tu n'existais pas !
Ton coeur souffre...
Ton coeur cri à l'aide...
Personne ne le voyait...
Personne ne l'entendait...
Et personne ne le saura jusqu'à ce que la lame n'est trop profondément perforée ta chair...
Tu n'avais plus la force de tenir ta tête hors de l'eau et de continuer ta vie... Tu t'es laissé mourrir...
Comme beaucoup dans ton cas...
Tu laisse un vide dans ce monde sans même le savoir...
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