Banalité de la réalité

Les roses sont mortes,
La flamme de notre amour s'est consumée,
Mais les saisons se répètent continuellement sans aucune interruption,
Pourtant tout a changé,
Et à la fois rien.
Si tous nous avions sut ...
Certaines relations auraient existé,
D'autres n'auraient été qu'un sombre songe,
Songe de la clarté la plus obscure,
Et pourtant malgré nos reproches,
Nos incessants problèmes et tout ces changements de routes,
Rien n'a réellement changé.
En bon mensonge le temps s'est arrêté pour nous,
Mais la vérité pur et dur,
C'est qu'il c'est écoulé sans la moindre pause.
Et dans tout se bric à brac,
La vie a poursuivi son cours comme le temps,
Certains ont bu à en perdre raison,
Pour oublier toute cette pourriture et ce malheur,
Les cigares ont continué à cendrer,
Pour tout ceux cherchant à se rassurer de cette immonde société,
Toujours les mêmes joues ont supporté des ruisseaux,
Les mêmes esprits ont été habités par la folie,
Les dents qui se serraient pour ne pas craquer,
Celle-ci ont recommencé à maintes et maintes reprises.
Et les mêmes personnes on dut vivre avec les cris sourds,
Ces cris de douleurs qui n'arrivait à s'échapper d'eux,
Et d'autres ont hurlé pendant que certains frappaient.
Mais tout cela n'était pas seule à agir par habitude.
En effet l'injustice est resté présente comme à son habitude,
Ceux invisible sont restés dans l'ombre,
Les plus audacieux ont crié à l'injustice,
Laissant les plus craintif demeuraient telle quelle.
Tout à demeuré et pourtant ...
Tout est différent.
Néanmoins pour moi,
Cela fait une éternité que rien n'a bougé.
Les paysages ont subi le même cours des saisons,
Le temps a joué de sa baguette,
Et n'en à fait qu'à sa tête.
L'amour a suivit un schéma répété,
Disparaissant aussi vite qu'il est venu.
Et j'ai soufflé sur la bougie de notre amour,
Je l'ai éteinte par ennui mortel.
J'ai tourné les talons et par accoutumance,
Je suis parti en âme errante,
Telle le monde, le temps et la société,
Pour voir la suite de l'histoire.
J'ai tourné une page sans avoir le courage de changer de livre.
L'aiguille a fait le tour du cadran de l'horloge,
Bientôt l'été reviendra,
Et moi je suis là où j'étais avant.
Le renouveau du printemps approche mais l'été déjà vient,
Et tout redémarre encore une fois.

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