Le « nous »
Plénitude ressentie , les longs soirs d'été .
Oui tu frémis , et tu te mets à l'aimer .
Les jours se raccourcissent , comme vos discussions ...
... L'amour s'assoupît et tu n'as plus de questions .
Alors au lieu de poser ton bonheur ;
comme un bouquet de roses , au milieu de la table .
Tu gardes tes rêves dorées et roses , encrés dans ton crâne .
Enfin tu goûtes à l'amer goût de la rupture
Bien loin de cette romance de miel ,
Tu souffles sur la bougie de ta bohème ...
Ton cœur vacille ton corps est pierre ,
Tu ne bouges plus , l'envie te perd .
Tu ne bouges, et tu crains l'après ,
Celui sans elle , celui sans vous ,
Car il est flou.
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